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| [Jour 4] Un réveil inhabituel - pv : Rome et Masque | |
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| Sujet: [Jour 4] Un réveil inhabituel - pv : Rome et Masque Ven 5 Sep - 4:16 | |
Jour 4 - Un réveil inhabituel Lorsqu'il ouvrit les yeux, ce n'était pas du rose et du blanc qui s'afficha. Même si quelques chose de doux était collé à son visage, ce n'était pas son adorable animal de compagnie. Se redressant, clignant une ou deux fois des paupières, plaçant l'une de ses mains en visière, l'homme essaya de s'habituer à la lumière du jour. Analysant très rapidement les lieux il ne lui fallut peu de temps pour comprendre qu'il n'était pas dans sa chambre et s'il n'avait pas l'habitude d'irréel il aurait sans nul doute crut à un rêve. Malgré tout l'idée que tout cela soit un rêve était alléchant. Soupirant il se leva, profitant encore un peu de ses pieds nus dans l'herbe qui l'avait accueillit. Alors qu'il étouffa un bâillement, ses yeux s'écarquillèrent, il baissa la tête et examina sa tenue. Ouf... Même s'il était en boxer, il pouvait remercier il ne sait trop qui d'en porter un noir. Un léger mal de crâne était présent et si certain souvenir était bien vif, il avait l'impression d'oublier des choses, probablement importantes. En contrepartie, il y avait d'autre souvenirs qui lui étaient familier, mais qui ne lui appartenaient pas. Kactus se gratta la barbe, réfléchissant à ce qu'il y aurait de mieux à faire. Sa mémoire lui faisait défaut , c'était un fait tout comme le mal de crâne, mais il ne fallait pas qu'il panique, sans doute un oublie passager. Stoïque donc, il continua d'observer le paysage. À ses pieds, un autre homme semblait dormir. Il était probablement dans un jardin, de nombreuses maisons blanches et bleus l’entourée. Alors qu'il continuait son analyse pour essayer de comprendre où il avait eut le malheur d'atterrir, un enfant le fixa. Quand il le remarqua enfin, il esquissa un sourire avant de comprendre ce qui devait déranger le petit... Son urgence était donc de trouver de quoi se vêtir, malheureusement, au vu de son gabarit, cela ne serait sans doute pas des plus facile. _Excuse moi gamin...Il venait de prendre la fuite, se réfugiant à l'intérieur. Un long soupir, il venait de perdre une chance d'obtenir des informations. Kactus jeta un regard au corps endormit, devait-il partir et le laisser là ? En bon commandant, il se contenta de lui donner deux trois petits coups de pied, histoire de le sortir de ses rêves. Peut-être qu'il en saurait plus, dans le cas contraire, il pourrait toujours voir s'il possédait une ou deux capacités utiles, sinon il n'avait qu'à l'abandonner. Non pas qu'il ne voulait pas venir en aide à une tierce personne, mais pour sa réputation, il valait mieux qu'il se dépêche de trouver une sorti (et avoir un homme en plus inutile serait un poids qui le ralentirait) et retourner prendre son poste au palais. Il n'osait imaginer le chantier que son absence allait engendrer. Enfin il pria pour qu'il soit assez tôt pour que personne ne remarque son absence. Au mieux, ils penseront peut-être qu'il est malade, au pire, ils ne voulaient pas y penser.
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Avatar : Nanna | Makishima Quoi d'neuf ?Coeurs : (172/500)Magasins: Carnet de Bord: | Sujet: Re: [Jour 4] Un réveil inhabituel - pv : Rome et Masque Ven 5 Sep - 6:52 | | C'est un grand délire, une farce! « C'est déjà pas facile d'être une femme, alors imaginez une femme dans un homme? » Tes yeux, baigné par une lumière, se froncent. Ils tentent de s'ouvrir, mais se referment très vite. Tu place ta main droite au dessus afin de les protéger. Bon sens que c'est dure de se réveiller ce matin ! Tu es dans cette pièce, blanche, et bleue. Et seulement ça, il y a le lit sur lequel tu semble avoir dormis cette nuit, une table de chevet bleue, et une armoire bleue aussi. Les murs sont eux blancs. C'est très étrange comme endroit, et surtout, cela ne te semble pas du tout familier. Avec ces couleurs claires, au moins la pièce est lumineuse. Bien qu'une seule fenêtre orne le mur à ta gauche. Petite, mais juste assez grande pour laisser passer suffisamment de rayons solaire pour envahir la pièce et la plonger dans une aura très sainte. À la limite du petit paradis blanc. Sur ce lit blanc, cotonneux, confortable, c'est facile de se croire au paradis. Mais y crois-tu seulement ? Tu tente de te plonger dans un quelconque souvenir pour répondre à la question, mais pas moyen de savoir. Qui tu es ? Où tu te trouve ? Est-ce chez toi cette endroit si propre ? Serais-tu maniaque ? Tu te masse le crâne, toutes ces réflexions te donne mal à la tête. Alors autant arrêter de se poser des colles et partons à la découverte de cet étrange endroit. Tu repousse les draps qui te couvre, encore dans le brouillard, tu part faire un tour du domicile. Tu passe d'abord une porte, une seconde pièce. Aussi blanche que la chambre, avec juste une table bleue et deux chaises bleues. Dans l'angle une cheminée de pierres blanches, avec du bois et une marmite vide et bleue. Le feu est éteint et ne semble pas avoir servis depuis plusieurs jours. On trouve aussi, contre le mur blanc de droite, un évier blanc, et sur le côté un grand meuble blanc aussi. En ouvrant les placards on y découvre de la vaisselle bleue. Tout en double. Deux assiettes, deux verres, de couverts. Tous bleus ! Dans cette pièce il y a une porte bleue à l'entrée, et deux autres portes blanches. L'une donne sur la chambre d'où tu viens et l'autre te conduis dans une sorte de réserve. Tu y découvre de tout, mais surtout de rien. Beaucoup de choses que tu ne reconnais pas. De drôle de fruits ? Ou légumes ? Tu ne sais pas, est-ce que ça se mange au moins ? Mais comment as-tu passé la soirée d'hier pour être dans un état pareil. Jeune fille, désormais, il faudra faire attention à ce que tu fais ! En retournant dans la petite chambre, tu découvre une porte dérobée, blanche ! Tu l'ouvre et découvre derrière une petite salle d'eau. Il y a là, un lavabo bleu et un tout petit placard bleu. Et une glace. Cette pièce est blanche mais plus sombre que la chambre. Il n'y a pas de vitre qui donne sur l'extérieur pour la rendre lumineuse, elle ne compte que sur la pièce voisine. Tu t'approche, la glace est en face de toi, te réfléchit un visage que tu ne reconnais pas. Un visage aux angles assez masculin, mais des cheveux blanc et longs qui lui donne un côté plus doux et féminin. On peut dire par là que tu n'es pas très sexy, mais tu ne l'a jamais été n'est-ce pas ? Maintenant que tu as fait le tour du proprio en baladant le plus simplement du monde ton regard un peu partout, sur les murs, les meubles et ce qui t'entoure, dans les pièces voisines, tu te réveille enfin. Tu te sens bizarre. Comme si il te manquait quelque chose. Tu réfléchis. Tu pense, tu attends, mais quoi ? Tu fouilles tes poches, mais tu ne sais toujours pas ce que tu cherches. Tu sais juste qu'il y a un truc qui ne va pas. Tu te regarde dans une vitre, elle te renvoi ton reflet. Un reflet que tu ne reconnaît pas, et là ça te saute aux yeux. « Bordel, c'est quoi ce délire, elle est passée celle-là ! » Celle-là est ta poitrine. Tu tire sur ton haut. Tu regarde. Bon sens, c'est vrai que là dessous c'est plat. Aussi plat qu'une planche à repasser. Aussi plat qu'un torse de jeune homme un peu musclé. C'est même pire que des œufs au plat, pire qu'une planche à pain, pire que tout. Pourquoi as-tu un torse de monsieur alors que tu es aussi persuadée d'être une jeune femme ? Il ne devait pas y avoir que de l'eau dans le verre que tu as bue avant de t'endormir ! Un doute s'empare de toi. Tu dois trouver un endroit tranquille et vérifier un petit détail. Tu ne sera pas tranquille tant que tu n'en sera pas fixée. Tu trouve un angle sombre. Et tu défais ton pantalon. Avec la plus grand appréhension, et cette angoisse incontrôlable, tu glisse une main dans tes sous-vêtements. Tu as peur, et finalement tu as envie de hurler, de pleurer. « C'est un affreux cauchemar, non c'est même pire que ça... » Tu refermes ton pantalon. Il y a entre tes jambes des bijoux de famille. Tu es donc bien un homme, il n'y a plus aucun doute. Tu retourne te regarder dans la glace. Un jeune homme, assez jeune pour ne pas avoir de poil au menton, c'est déjà ça, tu n'auras pas à te raser, cela aurait été au dessus de tes forces. Tu passe une main sur la peau toute lisse de ta joue, tu es totalement imberbe et pas la moindre trace d'un début de pilosité. Tu retire ton haut. En soit, tu semble être un beau gosse quand même, bien foutu ! Un joli torse un peu musclé et tout aussi dépoilu que ton menton. Alors pourquoi cette sensation d'être une femme. Comme un sentiment très sur. C'est une catastrophe. Tu va vers cette armoire dans la chambre, torse nu, tu l'ouvre pour y voir à l'intérieur aussi bien des vêtements fait pour un homme que d'autres pour une femme. Irrévocablement, tu es d'abord attirée par la jolie robe rose que tu prends en main. Voilà enfin autre chose que du bleu. Dans ce placard, il y en a pour tous les goûts, un arc-en-ciel. Tu soupire et tu repose la si jolie robe. Pour prendre un pantalon crème et une chemise blanche. Tu retourne dans la salle d'eau pour te coiffer, heureusement que tu as les cheveux un peu long pour te sentir un peu femme. Cette glace te renvois un regard miel, sur un visage légèrement hâlé. Si tu avais été une femme dans la rue, tu aurait tenté de te draguer. N'est-ce pas trop bizarre à dire ? Tu as beau continuer de te regarder, de voir ce torse plat, dénué d'un moindre début de poitrine, et savoir que tes attributs plus bas sont ceux du genre masculin, tu reste persuadée être une femme. Alors pourquoi ce corps ? Est-ce un pays où la magie existe ? Un mauvais sort ? Une expérience pour la science ? Tout cela n'a aucune logique pour toi, c'est juste d'avantage perturbant d'y penser. Alors tu pars. Tu quitte cette maison de fou. Une petite maison bleue bien sur, séparée d'un petit champ de blé bleu ? De plus en plus bizarre. Et plus loin, un village bleu ! C'est dingue, il y a du bleu partout ici. Le ciel est bleu aussi, et les nuages blancs, oui logique pour cela. Mais au loin, les maisons semblent toutes bleues ou blanches. Mais si tu veux des réponses, il faut pour cela se rapprocher de ce village bleu et trouver un habitant. Sera-t-il bleu lui aussi ? Tu curiosité est piquée à vif et donc tu prends la direction du village. Tu ne croise pas grand monde, ou alors que des groupes de gens, qui apparemment se connaissent bien. Tu n'ose pas les déranger, tu ne sais ni qui ils sont, ni comment ils vont réagir à ton état. Tu vas dans ce petit parc où tu pense te retrouver seule. Il y aura peut être un enfant ou deux, soyons fous, ils seront trois. Mais pas grand monde pour venir se moquer de la femme que tu es dans ce corps d'homme. Tu pensais croiser seulement des gamins, mais il y a là un homme, allongé, sûrement endormit, et surtout presque nu. Il ne porte en effet qu'un simple caleçon noir, et l'on distingue ce qui fait de lui un homme et dont tu ne peux détourner le regard. Cela t'obsède, toi la femme, tu dois aussi avoir ce genre de petite bosse sur le pantalon. Tu baisse alors le regard vers ton pantalon plutôt slim qui dessine bien tes longues jambes fines, mais aussi le reste. C'en est trop pour toi, tu rougis de façon affreuse et tu t’évanouis. Combien de temps il t'a fallut pour retrouver tes esprits et ouvrir les yeux pour la seconde fois de la journée ? Tu n'en a aucune idée, mais c'est cet homme quasi nu qui t'a un peu bousculé de son pied pour te sortir de tes songes. Premier réflexe à ce nouveau réveil, tu soulève ta chemise pour voir si ta poitrine n'est pas revenu. Mais rien, là dessous, c'est toujours aussi plat. Et tu n'ose même pas songer à ce qu'il y a sous le pantalon. Tu regarde l'homme qui t'a sortit de ton état, et tu rougis. « Vous savez que vous n'êtes pas très habillé monsieur ? » C'est peut être mieux si tu gardes secret pour toi seule le fait que toi sois strictement sur d'être une femme. Il va falloir jouer les mecs ma petite dame ! Et surtout ne pas se faire démasquer. Mais comment réagirait un mec à une situation pareil ? Alors tu rigole. Nerveusement ! Et puis tu te lève pour aller lui taper sur l'épaule. « Hey mon ami, tu sais qu'il est sympa ton caleçon ? » Tu te calme, tu le regarde. Ce n'était peut être pas la meilleure façon d'aborder ce parfait inconnu qui se balade presque nu dans les parcs d'un village bleu tout aussi inconnu. Alors tu te racle la gorge et tu reprends. « Non mais faudrait vraiment songer à te trouver quelque chose à te mettre sur le dos, tu vas bientôt attirer tous les regards ! » Est-ce qu'un homme aurait dit ça ? Tu nage en pleine confusion. Il faut à tout prix que dans ton rôle tu sois parfaite. Personne ne doit deviner que tu es une femme dans ce corps d'homme. On voudrait peut être t'étudier, ou pire, te disséquer comme un vulgaire animal. Et pourtant au fond de toi, cette envie folle de crier au monde que tu es une femme, bordel. Tu veux porter une robe sexy, tu veux te maquiller et draguer les mecs sans penser que tu es bizarre. |
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Avatar : Chloe von Einzbern | Fate/kaleid liner PRISMA ☆ ILLYA Age : 29 Quoi d'neuf ?Coeurs : (36/500)Magasins: Carnet de Bord: | Sujet: Re: [Jour 4] Un réveil inhabituel - pv : Rome et Masque Dim 7 Sep - 8:21 | | Ce lit... Tellement bien... Le petit garçon ouvre rapidement les yeux. Trop bien, il fait jour ! Il saute de son lit et sort de sa chambre en courant et en rigolant. Puis, il s'arrête dans le salon, perplexe. C'est pas chez lui ici. Une petite moue renfrognée se forme sur son visage. Tant pis, il retrouvera son chez lui plus tard. Il baisse les yeux et regarde ses habits. Il est dans un pyjamas de tronck, trop cool ! Mais non, en fait non, il a déjà joué les troncks hier soir. Pas de fois de suite le même déguisement, ah ça non ! C'est pas drôle ! Alors, il s'engouffre dans une pièce au hasard. Tiens, une chambre ! Zut, y a des gens qui dorment dedans ! Le petit garçon se met sur la pointe des pieds, comme il l'a fait des centaines de fois en jouant aux espions, et se dirige vers l'armoir. Là, il trouve un tee-shirt de femme qu'il prend dans sa petite main. Au passage, il pique aussi un soutient gorge et il s'enfuit en courant, ne prenant même pas la peine de refermer la porte. Une fois de retour dans le salon - toujours vide heureusement - il se débarasse de son pyjama de tronck, réussit à enfiler - après un long combat- le soutient gorge et y met par dessus le tee shirt de femme qui le drape comme une robe. Il lui faut quelque chose pour la poitrine. Oui, c'est le plus drôle chez les filles, la poitrine. Il réfléchit. C'est les grandes filles qui ont une poitrine généralement... Lui, il veut faire une grande fille ! La petite boule brune court vers la porte d'entrée et essaie de sortir. Celle-ci est fermée, zut ! Mais pas loin, une fenêtre est ouverte. Il regarde attentivement l'espace. S'il monte sur le fauteuil bleu qui est là, et qu'ensuite il saute sur la table, il pourra escalader la fenêtre et sortir de cette maison qui n'est, visiblement, pas la sienne. Mettant son plan en pratique, il se hisse sur le fauteuil, saute sur la table, glisse et tombe. Roh. Allez, encore ! Il recommence deux fois ça manoeuvre pour réussir à se hisser sur la fenêtre, mais lorsqu'il atteint enfin le rebord, c'est un sourire fier qui s'affiche sur son visage. Comme un grand ! Ce n'est pas une simple table super haute qui va l'empêcher de sortir. Il fronce les sourcils pour se donner un air sévère, tire la langue à la table et saute de la fenêtre, retombant moins d'un mètre plus bas sur un tas d'herbe bleue. Oooooh de l'herbe bleue ! Mais c'est trop cool ! Il l'arrache alors pas poignet et la fourre dans le soutient gorge, pour se donner un petit peu de matière. Puis, fier de son résultat, il éclate de rire. Il remonte ses lunettes sur son nez et essaie de prendre une démarche gracieuse et féminine. Il penche un peu ses épaules en arrière pour montrer sa belle poitrine, ondule des hanches et entreprend de quitter le jardin de la maison bleue. Il déambule dans les rues, fièrement. Aujourd'hui, il est femme. Et il est une très belle femme, il l'a décidé. La tête haute, rejettant parfois ses cheveux en arrière, comme il voit faire certaines dames autour de lui, il avance sans trop savoir où aller. Peut importe où il va, du moment que tout le monde voit son beau déguisement. Puis là, deux monsieurs. Deux étranges monsieurs. Y en a un, il est tout nu. Intrigué, le petit bout de chou se dirige vers eux. Arrivé à leur niveau, mettant sa main sur sa hanche et cambrant un peu le dos, il les coupe dans leur conversation en prenant une petite voix fluette qu'il veut féminine, avec un léger accent bourgeois comme il a pu en entendre en marchant. « Monsieur, pourquoi n'êtes vous pas apprêter ? » Apprêter, il ne sait pas ce que ça veut dire. Mais il a entendu une dame le dire tout à l'heure, alors il répète. Ca fait beau, ça fait classe. Alors c'est cool, ça convient à son rôle. « Vous ne voudriez pas choquer les enfants, allez donc vous habillez ! » Oh oui, là il a la classe. Là, il est féminin. Là, il est belle et forte. |
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| Sujet: Re: [Jour 4] Un réveil inhabituel - pv : Rome et Masque Sam 4 Oct - 19:38 | | Le Maître du jeu n'aime pas la nudité.
Ta. Ta. Tata. Tata. Ta. Quatre "soldats" à l'armure bleue en synchronisation parfaite. Ils arrivent. Ils s'avancent.
Vous enfreignez la loi. Nous devons vous arrêter et vous mettre dans la prison bleue.
La question ne se pose pas. Les soldats embarquent l'homme nu et le calme revient dans la ville bleue. |
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Avatar : Nanna | Makishima Quoi d'neuf ?Coeurs : (172/500)Magasins: Carnet de Bord: | Sujet: Re: [Jour 4] Un réveil inhabituel - pv : Rome et Masque Lun 13 Oct - 22:18 | | Les meilleures blagues sont les plus courtes! « Qui es-tu dans ce miroir, je ne te reconnais point! » Tu parle à cet homme, cet inconnu, trouvé presque nu dans ce parc qui t'es tout autant inconnu. Tu ne reconnais rien, et lui parler à un côté rassurant. Même si ce dernier semble louche de part son accoutrement. Qui irait parler à un homme qui se promène dans un parc en caleçon ? Mais aussi, qui imaginerait une femme coincée dans le corps d'un homme ? Pourtant c'est bien ce qu'il t'arrive. Tu doute. C'est si troublant comme situation. Tu es convaincu d'être cette femme, mais voir sans cesse ce corps d'homme qui se déplace avec tes pensées te trouble. Tu es confuse, alors pour ne plus y songer, tu lui as parlé. À lui, ce premier homme que tu as rencontré. Il est peut être nu, mais il est là, et c'est le seul qui reste là, qui ne se sauve pas. Le seul avec qui tu as tenté de communiqué. Tu ne vois pas trop où il pourrait se sauver dans cette tenue. Tu songe à cette chance que tu as eu de te réveiller dans cette chambre. Et de ne pas découvrir en public cette catastrophe qui t'arrive. Tu en es tellement choquée que quand tu as vu cet homme en caleçon noir, tu as perdu connaissance, c'en fut trop. Il était le seul, tout seul. Il t'a sorti de ton demi-coma et te voilà à lui parler. Et quelle idée as-tu eu pour l'aborder ? Lui parler de son caleçon... Es-tu vraiment sérieuse ? Es-tu folle ? Ça sans doute, tu es certaine d'être cette femme et pourtant tu es cet homme physiquement. Tu lui conseil de s'habiller, un bon conseil selon toi, mais où trouver de quoi l’apprêter ? Il doit bien y avoir une boutique de vêtements dans le coin pour vous aider à le vêtir. Tu ne songe pas que peut être, ce fut son choix d'être ainsi en ce lieux. Que peut être il veut rester seul. Que peut être il cherche quelque chose en étant ainsi et donc n'a aucune envie d'en changer. Que peut être il veut provoquer un mouvement de foule dans cette ville bleue et blanche. Il en sait peut être plus que toi et il se prépare déjà à ce qu'il va arriver. Ton angoisse revient. Que va-t-il se passer ici ? Pourquoi il est nu dans ce parc où viennent jouer des enfants ? Toute cette histoire est complètement folle. Peut être es-tu encore en train de dormir. En train de rêver, et tout cela n'est qu'imagination. Pure invention et mensonge. Tu te prends à espérer, à croire en cette solution. Tu n'ose te pincer pour te réveiller de peur de rester là, ce qui t'ai d'avantage effrayant. Alors peut être est-ce mieux d'attendre un peu pour te pincer et te réveiller. Pour comprendre pourquoi tu fais ce rêve si bizarre. Mais aussi un peu par curiosité de voir comment tout cela peut évoluer. De toute façon, ça ne peut pas être pire que maintenant, n'est-ce pas ? Cette voix fluette t'interrompe dans tes pensées. Cette femme, ou plutôt cette enfant vous regarde tous deux, l'homme nu et toi. Mais c'est à l'homme nu qu'elle s'adresse. Tu en profite pour l'observer. À première vue, il s'agit d'une jeune fille. Mais en détaillant, tu t'aperçoit qu'elle porte un t-shirt simplement drapée autour d'elle et elle a ce soutient-gorge. Tu as cette envie de pleurer, pourquoi elle, si jeune à le droit d'en porter un et pas toi ? Toi la femme bloquée dans ce corps d'homme. Tu aime les regarder, les draguer, flirter avec eux, mais de là à en devenir un, c'est dingue ! Tu n'es pas d'accord, tu es jalouse du décolleté que se trimballe la gamine que tu ne connais ni d'Adam, ni d'Eve, pendant que toi tu te tape cette poitrine plate. Pourquoi ? Comment ? Tu veux son secret ! Envahit par toutes ses émotions, tu as à peine écouter ce qu'elle disait cette enfant. Aucune importance, dans les grandes lignes, elle du sans doute conseiller au bonhomme assez nu d'aller se rhabiller. De plus, cela ne te regarde pas. Peut être même se connaissent-ils ? Il ne te semble pas, la demoiselle lui aurait parlé de façon moins soutenu. Son langage laisse penser à une noble, mais sa robe fait d'un unique t-shirt avance le contraire. Que penser de tout ça ? Tu continue de la fixer. Cette poitrine qu'elle a... Et sans trop de conscience, tu porte les mains sur tes seins disparus. Ni l'une, ni l'autre n'a le temps d'en rajouter pour avertir le monsieur en caleçon noir. Quatre gardes bleus s'avancent. Ces quatre gardes bleus sont impressionnant, au point de t'en faire perdre la voix. Tu les regarde venir vers votre petit groupe, parfaitement synchro entre eux. Ils sont effrayant, ils sont fort, ils t'impressionnent, ils sont beaux. Mais surtout, ils sont là pour arrêter votre camarade qui n'est en fait pas vraiment un camarade, tu ne connais même pas encore son nom. « Vous enfreignez la loi. Nous devons vous arrêter et vous mettre dans la prison bleue. » Il ne vous laisse aucune chance de le défendre, ni l'enfant, ni toi n'avez le temps de réagir. Ni même l'espace d'un instant tu songe à répliquer. Bien trop hypnotisée par la scène qui vient de se produire sous tes yeux. Une prison bleue, quelle originalité dans cette ville bleue ! Tu mets alors tes mains, poings fermés, sur les hanches comme le ferait n'importe qu'elle femme que tu te souviens d'être oubliant ce corps d'homme que tu hante. Frustrée ! « C'est une blague ? Il se passe quoi dans cette ville bleue ? » Et tu te souviens ne pas être toute seule. Tu te retourne vers cette présence, cette fillette à la poitrine de femme que tu veux avoir. Tu te demande si en plus d'avoir une plus grosse poitrine que toi, elle n'aurait pas aussi plus d'informations sur ce qu'il se passe dans cette ville. Tu dois la questionner. Une immense ombre vous survole. Tu en oublie la question que tu avais au coin des lèvres. Tu lève la tête et tu comprends très vite. Il y a là, ce gigantesque bateau qui vole au dessus de la ville bleue. Il semble ''jeter'' l'ancre non loin du parc où vous vous tenez à deux. Sûrement sur la place derrière le grand bâtiment qui vous fait face, une grande agitation se fait sentir parmi la foule qui se dirige vers le bâtiment en question. Que se passe-t-il encore ? Tu ne comprends rien de ce qu'il arrive ici. C'est bien trop nouveau pour toi et tu te décide enfin à te pincer pensant que ça devient dangereux de rester par ici et qu'il est grand temps pour toi de te réveiller. Mais en fermant les yeux et en te piquant la peau, tu ressent juste cette douleur et tu reste là. En ouvrant les yeux, tu vois ce bateau surplombant le bâtiment d'à côté, et dans ce parc en face de toi, il y a toujours cette gamine qui dresse fièrement cette poitrine dont tu es jalouse. Tu la regarde, tu l'observe. « Je suis sur que c'est du rembourrage ! C'est bien joué fillette, j'aurais du faire pareil ce matin ! » Les derniers mots te sont plus adressé à toi-même qu'à l'enfant qui ne doit pas trop comprendre où tu veux vraiment en venir. Mais tu aurais du y penser, tu aurais ainsi put prendre la jolie robe du placard ! C'est trop tard. Tu vois d'autres gardes passer devant le parc. Tu as cette angoisse au ventre, cette peur qu'ils reviennent pour l'une de vous cette fois. Et même si tu ne l'a connais pas, ce n'est encore qu'une enfant, on ne met pas les enfants en prison. Même pour une prison bleue ! Quoi que dans ce pays, peut être. Tout est nouveau. Tu te donne la mission de la protéger. « Comment te nommes-tu mademoiselle ? Je te donne mon nom, c'est Rome, ainsi, je ne suis plus vraiment une inconnue pour toi ! » Tu parle en femme, tu en oublie ton corps, tu ne t'en rend même pas compte. Pour toi, c'est naturelle ce que tu viens de dire, et rien dans cela ne te choc. Tu n'attends pas trop longtemps sa réponse, que tu lui tends déjà une main amicale. « Si tu le souhaite, je te propose de rester toutes les deux et de comprendre ce qu'il se passe par ici. Et si nous commencions par la rue d'à côté où s'est posé le bateau ? Tout le monde semble s'y rendre. » Tu regarde ces gens continuer de passer devant vous, et tu rigole. De ce rire nerveux, mais aussi, à la fois véritablement amusée. « Heureusement, nous sommes habillées ! » Tu songe à ce pauvre homme dont tu ne connaîtra jamais l'identité, à peine réveillé, il fut arrêté. As-tu au moins comprit ce qu'il lui arrivait ? Et que va-t-il lui arriver maintenant ? Tu te demande amusée, si il l'auront habillé pour le mettre dans la prison bleue. Mais à quoi pense-tu donc ? Est-ce bien le moment ? |
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| Sujet: Re: [Jour 4] Un réveil inhabituel - pv : Rome et Masque Mar 14 Juil - 7:40 | | Un petit oiseau sifflote dans les branches. Tout grillerais, il chante la vie. Car la vie, lui, il n'a connaît. Celle de tout le monde, lui qui passe son temps à tout observer. D'ailleurs, il a un message à faire passer ! Il s'envole, s'élève lentement de son piédestal et va se poser sur l'épaule de Rome. Frotte sa petite tête contre la joue de son nouvel hôte. Lui redonne un peu de mémoire.
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| Sujet: Re: [Jour 4] Un réveil inhabituel - pv : Rome et Masque | | |
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