Avatar : The Mole / Hisoka
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Sujet: Le journaliste fou ‗ Scarlett Gauthier Dim 6 Juil - 6:06 →GAUTHIER SCARLETT← feat. The mole | Happy Tree FriendsCARTE I.D ✘ age: 23 ans ✘ sexe: Homme ✘ date de naissance: 21 Décembre 1991 ✘ lieu de naissance: Dole, France ✘ statut: Célibataire ✘ orientation sexuelle: Hétérosexuel ✘ métier: Journaliste ✘ situation financière: Aisé grâce à l'aide familiale et ses articles à scandales. ✘ signe particulier: Aveugle, porte des gants, tatouage sur les deux épaules, toujours équipé de sa canne... il vous en faut d'autre ? ✘ autre: Scarlett a un chien. Scarlett aime tout ce qui touche à l'art. Scarlett aime nager. Scarlett aime les sucreries. Scarlett pourrait aimer les hommes. Scarlett s'aime. Scarlett travaille beaucoup. Scarlett est aveugle mais arrive à faire croire qu'il ne l'est pas, il peut presque tout faire malgré la perte de ses yeux. Scarlett a peur des éclairs. Scarlett n'aime pas les agrumes. Scarlett a un chauffeur. Scarlett a une jeune soeur et un frère plus âgé.
→ J'ai un gros nez rouge Vous savez... je ne suis pas sur que mon avis sur lui sera très objectif... Vous me demandez à moi mais... D'accord. J'essaye. Huu.
J'ai longtemps aimé la chevelure à la couleur si particulière de Monsieur Gauthier. Coupé un peu trop court à mon goût, car oui, j'aime les cheveux qui volent au vent comme des graminées. Oui, bien sûr, c'est mon avis, oui... je continue. Un visage magnifiquement tracé, des traits comme tracé par un artiste talentueux... et amoureux. C'est moi. Je me donne l'importance de l'avoir créé alors que je n'en ai pas le droit. Où est le mal ? Je suis attiré par ce jeune homme que je ne fais que regarder de loin. Au début je ne peignais que ce que mes yeux voyaient. Maintenant, je le peins lui. Cet homme à la double personnalité, cet homme perdu dans ses cauchemars. Pour se venger, il hante mes nuits et mes jours sans relâche. Ses grands yeux clairs et vides lorsqu'il est en transe me font entrer dans la danse.
Oui. Des yeux vides. D'un bleu tellement clair qu'on en a des frissons, se rappelant sans doute des films d'horreur qu'on a pu voir gamin. Tellement vides qu'ils ne voient plus rien. Mon amour est aveugle. Dieu l'a puni. Il le cache cependant derrière de rondes lunettes noires, et ça marche ! Peu de gens ont deviné qu'il était aveugle, surtout aux premiers abords ! Ma pauvre âme perdue, j'aimerai être la canne que tu dirige avec des coups secs dans les rues. Pourtant je ne suis pas sur qu'il ai vraiment besoin d'aide... mais ça, vous le verez plus tard... puisque vous me demandez son physique. Que puis-je dire de plus...
Mon amant secret est une brindille. Un corps finement tracé par un crayon bien taillé. Tellement qu'on doute de sa santé ou de ses capacités musculaires. Et pourtant... Scarlett est au meilleur de sa forme. Son seul ennemi est le soleil. Comme une chauves-souris, cet homme vit la nuit et fuit le soleil. Souvent vêtu de noir, il ne peut se permettre de chauffer sous les Uvs.
Citation : Lorsqu'on devient roi, on commence par le caresser pour former les traits... Mon visage est fin et taillé en triangle. Mon petit menton rejoint simplement mes deux joues absentes de toute forme. Je ne mange pas assez me direz vous... Mais je n'aime que les sucreries et ne prend pas un kilo, est ce si mal que ça ? Mon nez est légèrement courbé vers la gauche, surement dut aux coups trop souvent reçus. Ils ont finit par changer un peu ma morphologie. J'ai de petites pommettes qui sont particulièrement adorables lorsqu'elles finissent enfin par rougir un peu.Mais il faudra ensuite atteindre la beauté. Blanc comme un cachet d'aspirine ? Pâle comme un linge ? Les expressions sont tellement nombreux pour qualifier la blancheur de mon visage. Je préfère blanc calcaire comme les masques que je fabrique. Peut être est ce dut à cela d'ailleurs, d'être trop proche de mes chéris ou d'être trop resté enfermé. Je suis sur que je pourrais faire fureur dans une attraction fantôme... dans le rôle du zombie ou de l'être sans vie. J'aurais ainsi la joie de faire peur aux gamins que j'ai dut mal à supporter.Avec rigueur vous dessinerez ses yeux qui feront tout l'homme. Bon nombre de personnes me reproche leur froideur. Moi, je les aime bien. Ils montrent les côtés mauvais ou bons d'un homme. Un simple coup d’œil et un regard peut tout changer. Mes sourcils sombres renforcent la couleur de mes yeux et mes longs sils noir me donne un air dragueur. Je m'en sert d'ailleurs lorsque je fais un petit clin d’œil et baisse mes paupières lentement. Pour ce qui est de leur couleur, il n'y en a pas vraiment une seule. C'est un peintre qui a choisit d'y mêler du marron, du gris et un peu de jaune mais surtout un très beau vert foret vierge. A vous de voir ce que ça peut donner...Avec douceur vous formerez ses lèvres des vôtres. Mes lèvres sont d'un tracé fin exquis. Je sais que de nombreux hommes ont aimé leur touché et me demande une fois encore de les embrasser... même si tout est déjà terminé. Malgré tout je dois l'avouer, je ne suis qu'un homme et un homme ne peut être aussi parfait que son créateur. Ce n'est pas pour rien qu'il a été bannit. Alors oui, j'ai des défauts même si je refuse l'admettre. J'ai les doigts fins mais un pouce plus petit que l'autre... J'ai une griffure qui me fend un œil et un sourcils en deux. Comment je me suis fait cela ? Nous verrons pour histoire plus tard... A la moindre chaleur un peu trop forte à mon gout, j'ai des troubles. Si je suis prit dans un combat ? Puis vous lui rajouter un pet de pilosité... Mes cheveux noirs, toujours dans un coiffé-décoiffé spectaculaire, ont tendance en frisotter, c'est mignon. Il faut dire que je ne m'occupe pas beaucoup de moi.Et un corps avec ceci ? Bon évidemment, je ne pèse pas lourd, mais ce n'était pas très utile de le préciser en fait. Je ne fais pas de musculation ou autre, mes méninges travaillant assez dur comme ça, disons que je me muscle une fois la nuit tombée, et la ville réveillée. Mes muscles sont finement dessinés, c'est tout à fait remarquable, pour me glisser comme un chat dans les rues de Venise. Vous me verrez souvent avec une sucette dans la bouche, ou en train de manger, ou encore avec une clope au bec -et encore, c'est assez rare- ceci dit je n'ai pas un pet de gras. Je suis fin, svelte et élancé.. Enfin bon, je suis donc plutôt fin et proportionné, ainsi tous mes autres membres sont plutôt longs et fins. En vérité, j'ai des doigts de fées et des bras fait pour accueillir un corps. Des doigts de fées dans le sens où mes doigts et mes mains sont magiques, je pourrai me faire payer pour mes massages, bien que peu de personnes soient au courant de ce genre de pratiques...Je vous en prie, arrêtez vous rayon costumes. Du côté vestimentaire, je m'habille avec ce qui me passe sous la main. Je reste plutôt simple, les fanfreluches et autres trucs à paillettes je les garde pour les grands soirs, ou autres... Les chemises et les jeans suffisent à mon bonheur quotidien. Dans mon esprit torturé ← Main composée de cinq doigts. La voilà qui se fait un chemin dans une poche de jean usé. Elle ressert ses ongles sur un paquet de carton et le tire violemment vers l'extérieur. Le pouce, bien entrainé par ce mouvement répétitif, qu'il fait plusieurs fois par jour, releva le haut du paquet pour laisser des bâtonnets couleur caramel hisser leur tête de là. Viennent la relève de l'index et du majeur qui capture une des clopes, laissant apparaître ses bas blancs. La main monte dans l'atmosphère avant de venir se coller contre les lèvres pour y passer le futur cadavre brûlé. Elle finit son tour de passe-passe en revenant au point de départ, remettant dans la prison de tissu, la boite dromadaire. Il ne restait plus qu'à l'autre main d'allumer cette cinquième clope de la journée et voilà que notre héros de roman pouvait savourer sa clope... s'il la savoure encore... Il sait juste qu'il peut plus s'en passer. Même le geste est devenu essentiel. Le premier mot que l'on attribue à Scarlett, c'est bien incompréhensible. Surtout qu'il l'est sous toute les coutures que ce soit dans les réactions, émotions, paroles, actes... Il ne suivait jamais la normale et passait toujours du coq à l'âne sans raison. Toujours à suivre son instinct ou ce que son corps souhaite faire, il laisse une totale liberté à son cerveau indépendant. Sans être lunatique, Scarlett peut piquer une colère d'un coup ou se mettre à rire alors que rien n'est drôle -donnant une atmosphère assez glauque parfois- mais cela peut aller dans le bon sens : se calmer, se raisonner, pardonner, demander pardon -même si c'est trèès rare- et changer totalement le cours d'une discussion. Ne vous étonnez pas s'il vous demande ou vous parle de choses qui pour vous n'ont aucun sens. Pour lui, une simple bille de verre peut devenir quelqu'un. Une pétale blanche peut devenir la lune... Chaque petit détail auquel vous n'aurez jamais pensé peut être remit en valeur par notre héros de roman. Légèrement autiste et talentueux en sciences, il Scarlett se veut être quelqu'un de très secret et mystérieux. Il ne parle que très peu de lui-même et jamais de son passé. Même ses amis proches ne peuvent se flatter de le connaître beaucoup plus que la majorité des gens. Oui, avec il se montrera plus ouvert, mais il n'aime toujours pas parler de lui-même. Il préfère entendre ce que les autres ont a dire: il n'a pas besoin de repenser à ses histoires, il les connaît déjà. Puis, aussi surprenant que cela puisse paraître à l'indifférence qu'il manifeste aux propos des autres, il se montre souvent intéressé par leurs histoires, jusqu'au point de compatir dans certains cas. Il ne donne pas beaucoup son opinion et semble de ficher de tout, mais c'est juste les apparences. Il n'aime tout simplement pas penser, ni se casser la tête. C'est le genre de personne qui se fait des réflexions sur un ton morne, jamais surpris. De toute façon, il déteste les surprises et il l'a bien fait comprendre à ses fêtes d'anniversaire. Les crises qu'il vous a piqué... Maintenant, il n'est plus trop du genre à se mettre en rogne, mais plutôt à aller bouder dans son coin, une cigarette à la bouche et un air meurtrier au visage. Dans ce temps-là, il vaut mieux le laisser tranquille: il pourrait bien vous botter les fesses d'un coup de pied. Après, chose peut-être inattendue, il est un peu fleur bleue et se plaît bien dans les scénarios de romance passionnée. Peut-être a-t-il lu trop de romans et de mangas, mais il aime bien toutes ces histoires d'amour impossible, peu importe le sexe des deux individus. D'ailleurs, son plus grand rêve, outre échangé son pouvoir contre quelque chose de moins ridicule, serait de rencontrer la femme de ses rêves, de l'épouser et de fonder une petite famille. Il croit dur comme fer à l'âme sœur et compte bien la trouver, malgré sa restriction à vivre là où il est à cause dudit malheureux pouvoir. Enfin, la femme qui aura droit à ses faveurs sera choyée entre toute, car il est attentionné et très fidèle. D'un autre côté, il est carrément possessif et jaloux, alors gare au type qui oserait toucher à sa copine. Même s'il ne s'agissait qu'un vieil ami d'enfance, il garderait sa méfiance. Non, il n'aime pas qu'on touche à ce qu'il considère comme sien et encore moins quand quelques habiles tours pourraient détourner l'objet de son amour de lui. Enfin, il faut le comprendre: ce pauvre garçon est du genre à s'apitoyer sur une déception amoureuse pendant des lustres. C'est qu'il est loyal, il ne trahira jamais un ami, encore moins l'être aimé ou sa sœur. D'ailleurs, elle est sa plus grande fierté, sa plus précieuse pierre... Tout son bonheur, il le donnerait volontiers a sa jeune sœur dont il espère préserver l'innocence et la pureté de son être... « Impassible, je ne ressens que peu de choses, enfin c’est surtout que je ne peux les nommer. Je sais que j’aime les gens, leur présence, leurs regards, leurs discussions, sans forcément y être mêlé. J’aurais adoré pouvoir analyser tous les comportements, différencier un tel de un tel, j’aime la socialisation. Peu commun, mon originalité me permet de ne pas passer inaperçu, les gens remarquent souvent que quelque chose est différent chez moi. Éduqué par la rue et la misère, je sais pourtant bien me tenir, bien parler, et me fondre dans la masse. J’aime la musique, en jouer, comme en écouter, j’écoute tout ce qui passe, étant curieux par le monde et ce qu’il offre je m’intéresse à tout et à n’importe quoi. Je joue du piano, j’ai appris de mes propres moyens au long des longues heures dans ce bar peu fréquentable. Très curieux de nature donc, mon comportement peut être parfois étrange. En effet, ne sachant pas délimiter ce qu’on peut ou ne peut pas faire, il peut m’arriver d’être pris un drôle de spécimen. Légèrement fou, je sais qu’il y a quelque chose qui cloche à l’intérieur de ma tête. N’ayant eu aucun remords après avoir collé une balle dans la tête d’un inconnu, il doit bien avoir quelque chose d’étrange en moi. Je n’ai aucune idée de ce que je vais faire de mon avenir, ni même de demain, je réponds à la devise Carpe Diem, et vis au jour le jour. Je n’attends rien de la vie, je sais juste que je vais continuer mon train de vie, passer tous les obstacles, et mourir pour en finir. Je n’ai ni croyance ni superstition, je vis juste au milieu d’un monde inconnu, qui ne demande qu’à être découvert. J'aime aussi fumer, j’aime boire, j’aime tous ce qui à un attrait illégal. Non pas par l’excitation que cela peut apporter, juste parce que mon corps aime cela. Aussi étrange que cela puisse être, j’entre dans ma bulle et je distingue plus de réponses à mes questions existentielles.» Il a du mal à s'ouvrir aux autres, c'est pourquoi il supporte assez mal les personnes bavardes et très chaleureuses. Un peu comme s'il était jaloux de leur facilité à sympathiser avec les autres. Enfin, dès le départ, c'est un très mauvais mélange, car ce genre de personnes ont trop souvent la fâcheuse tendance de taquiner les êtres un peu plus coincés comme lui et monsieur est très irritable, voir susceptible. Non, il n'aime pas qu'on le titille sur son impassibilité et ses manières distantes. Et ce qu'il supporte encore moins, c'est qu,on se moque de ses amours. Sujet à ne pas aborder d'ailleurs. Dans ces cas-là, il peut se montrer assez violent, voir un tantinet sadique envers l'imprudent qui se serait aventuré dans ces eaux marécageuses. Cette intolérance aux plaisanteries cacherait-elle une adorable gêne ou un manque d'estime de soi? Aucunement. Le journaliste est plus du genre à considérer que tout le monde est égal et peut même se placer ... bien plus haut que quelqu'un. Cela lui joue trop souvent des tours. Heureusement... l'écrivain est courageux ! Il n'hésitera pas à vous venir en aide dans n'importe quelle situation, il est près à aller parcourir les bois tout nu en pleine nuit, il est capable de ... oui de défendre un criminel au péril de sa vie. Une qualité mais aussi un défaut lorsqu'on oublie sa propre vie au dépend des autres... Enfin j'exagère un peu. Sauver les autres? Oui mais seulement lorsqu'il en a envie. Il sait être doux, attentionné, mais protecteur est plus rare et il ne vous aidera pas à chaque fois. Dépend quel pied a été le premier a se poser sur le parquet au pied du lit au matin de votre malchance ~ Toujours droit comme un I, il ne parle que quand il en voit l'utilité. Jamais de paroles en l'air. Ce n'est pas être réservé mais plus ne pas utiliser trop de salive. Pourtant quand il s'agit d'art, tout change. L'artiste est acharné, prit dans son truc, attentionné... On dirait qu'il oublie tout ce qui l'entoure, il est dans son monde et c'est très dur de l'en faire sortir... mais je dirais que c'est ce que j'aime le plus chez lui. Sa façon de me regarder entre ses coups de crayons quand il me dessine, ses évasions poétiques en un regard vers le ciel, ses yeux perdus dans le vide... Enfin mon aimé est un talentueux journaliste. Curieux, assidu, consciencieux, sportif, courageux... Même si parfois il me fait peur à prendre des risques un peu trop grands pour son simple travail. J'ignore si c'est vraiment la richesse qui l'attire. Je dirai plutôt que c'est l'adrénaline et la popularité, pourtant discrète. Scarlett utilise un pseudonyme. Perroquet Noir. Me demandez pas pourquoi...
→ PERE CASTOR ← Anonyme a écrit: Nous sommes deux dans la voiture. Le train n'est plus. Et moi, j'ai la chance de passer un instant avec elle. Doux Scarlett si vivant et si doux.«Quand on est à côté, tu as les lèvres serrées. Quand on est à côté, tu me raconte ton passé.»
Mon précieux n'a pas toujours eu de chance. Déjà son nom. Il le déteste :« Mon nom est celui que voulait donner mes parents à leur perroquet. C'est pour vous dire comme je suis heureux de porter ce nom... » me dit-il avec un sourire triste. Mon doux est né dans le Jura, en France. Je ne le connaissais pas encore. Vous pouvez respirer. En tout cas il ne m'en parlera pas de ses chutes d'enfant, de ses déceptions amoureuses. Il doit avoir oublié tout ça. Il a grandit. Pourtant j'ai déjà vu ses larmes couler. Es-tu heureux maintenant mon Scarlett ? Je ne lui demanderai jamais. Mais dans son carrosse, le beau ouvre la bouche pour chanter son passé, me chanter sa vie au son de la pluie... « Je pense être la preuve vivante qu’il ne faut pas se fier aux apparences. » Mais avant tout ça, c'est une femme pleine de vie. Un caractère bien trempé mais qui ne me charme pas moins. Il sait ce qu'il veut. Il sait ce qu'il aura. Rien ne lui échappe et rien ne peut lui être interdit. Le jeune aveugle ira jusqu'au bout pour avoir ce qu'il souhaite. Curieux en plus de cela, Scarlett pose souvent des problèmes à ceux qui l'entourent. Ils râlent. Ils s'énervent. Et un jour il aura des ennuis. Mais ce jour là, je serai là.«Quand il quitte le train, je finis pas le suivre. Quand il quitte le train, je le regarde au loin.»
Le train. Chaque jour il quittait l'université pour rentrer chez lui. Ce n'était pas ma route. Pourtant je faisais ce détour. Je l'accompagnais comme pour le rassurer. Sauf qu'il ne le sait pas. Jusqu'au jour où il a quitté cet établissement. Je ne sais pas trop pourquoi. On dit qu'il était trop odieux ou intelligent pour avoir besoin de continuer d'apprendre. D'autres disent que c'est ses riches parents qui devaient lui payer un professeur particulier. Je ne sais pas vraiment les raisons de ce départ. Faut dire que c'est assez mystérieux ce qui tourne autour de cette famille... « J'aimais ma grand-mère paternelle. Je l'aime toujours. Elle me manque, je suis une enfant, n'est-ce pas... ? » termina t-il avec un sourire tellement triste que je ne put rester silencieux : Non monsieur. Pleurer le départ d'une personne ne devrait pas avoir de fin. Les autres vous diront peut être que c'est ridicule comme vous avez l'air de le penser. Mais c'est une force. Ça veut dire que vous avez un cœur gros comme la lune.Je rougis presque lorsque je le vis sourire. Challenge réussis. Mais sa réponse me perturba plus que je l'aurais voulu...« Vous êtes gentil et très poétique Monsieur. Merci de vos paroles. » Vous pouvez vous moquer à votre tour mais ces mots me touchèrent en plein cœur. Mais poétique, moi ? Gentil, moi ? Non, je suis lâche. Car si tu savais Scarlett, si tu savais depuis combien de temps je te connais, je te suis, sans bruits. Je suis faible, je fais peur, ne dis pas tout ça, je ne suis pas aussi bien.La voilà qui continuait son histoire pendant que je ruminai intérieurement.« Malheureusement maintenant qu'elle n'est plus, il me semble que personne ne cherche à me comprendre, à m'écouter, ni même prendre la peine de me parler. La famille est une notion tellement hasardeuse... » Un instant de silence. Une parole. Il s'excuse de parler. Je lui dit de continuer, j'aime l'écouter. Un soupir. Quelques secondes sans sourire puis il s'affiche à nouveau. Ouf.« … Mais tu sais, je suis pas si parfait que ça hein... Même s'il y a des jours ou j'aimerai vraiment être plus rebelle que ça. » dit-il en riant. Tiens.Il utilise la deuxième personne du singulier. Sommes nous devenus intime au travers du voyage ? J'aurai tant aimé. Mais je ne savais pas qu'à ce moment, j'aurai pu tout arrêter...« J'ai volé l'album photo de mes parents quand je n'étais qu'une enfant. Ce n'est rien je vous l'accorde et pourtant, c'est sûrement un des éléments qui m'a permit d'aimer autant le domaine dans lequel je travaille. Oh oui au fait, vous savez quel est mon métier ? Je suis... » ▬ Journaliste. Flûte. Crotte. Oh et puis... merde ! C'était sortit tout seul. Je n'ai pas contrôler. Maintenant je le sentais. Même si je devais regarder loin devant moi, la route interminable, je pouvais sentir ses yeux baignés d'étonnement posés sur moi. Par crainte, j'ai posé le pied sur l’accélérateur. Un peu nerveux. Pourtant il ne demande pas pourquoi. Il ne prit pas peur et... me félicita presque :« Oui ! C'est exactement ça, je suppose que je n'ai pas besoin de vous dire dans quel établissement, on a déjà dut se croiser. Désolé si je ne me souviens pas de vous. » Non. Pitié. Ne vous excusez pas comme ça. C'est moi. Tout vient de moi.« En tout cas, je le fais avec passion ! Et comme je le disais, l'album de mes parents y est pour quelque chose. Ce sont de vrais trésors, les albums ! Pleins de photos sépia ou noir et blanc ou encore couleur... où toute l'histoire est racontée ! Je crois que j'aime le souvenir. Sous toutes ses formes. Sans distinction. Ahh... je passais des heures à regarder ces photos que je connaissais déjà par cœur en essayant d'imaginer différentes histoires pour arriver à prendre ce cliché. Cela allait à la situation de la famille aux aventures du photographe. » doucement le voici qui riait de temps à autre. Un précieux rire. Un doux sourire. Beaucoup pourraient lui tourner autour. Vous aimer. Mais je refuse. Je souhaiterai vous gardez à jamais dans mon coffre fort. Je fais un sourire. Il me regarde et m'adresse un doux sourire.« Oh donc vous savez sourire ? » dit il avec une douce ironie qui ne se voulait pas méchante. Pourtant, je ne sais pourquoi... j'ai à nouveau tout cassé. A croire que c'est ce à quoi je suis destiné.▬ Vous avez une petite amie ? Qu'est ce qui te prend abruti ! Il va mal comprendre... il va croire que...« … Non. » Je risque un regard pour voir le visage qui s'ajoutait à une voix si triste. Mon cœur me fit mal autant que sa réponse me fit du bien. Il avait l'air tellement solitaire d'un coup. Je reportais mon regard sur la route, rapidement, comme une fuite. Je ne voulais pas qu'elle continue. Cela était méchant pour lui. Ou qu'il change de sujet. Mais bon Dieu, il n'en fit rien.« Je suis amoureux. » Nouveau coup de poignard mais cette fois, entièrement pour moi.« Lizzie... » prononça t-il difficilement dans un soupir. Il ne donna pas son nom. Sont-ils intimes ? Quel monstre je suis. Elisabeth Williams. Ou plutôt Lizzie comme il avait l'habitude de la nommer depuis qu'elle lui en avait donné l'autorisation. Je suis un hors la loi. Je crache sur ces hauts placés. Une riche anglaise. Une femme qui n'avait rien à faire sur la scène de l'histoire de mon amour. Mais je sais, j'avoue que ma haine envers elle est aussi par jalousie. Ce sentiment tellement faible. Tellement humain. Il l'aimait. Oui, mon doux douce était amoureux de cette femme au cœur de pierre. Je le savais, ses envies se lisaient sur son visage. Et pourtant je n'a rien put empêcher. Que pouvais je faire. Je n'étais qu'une groupie, que certains appellent pervers, cachée dans l'ombre. Je n'allais pas arriver comme une fleur bleue sur le devant de la scène et lui dire que son bonheur n'allait pas durer. Je n'avais aucun droit et cela me détruisait. Comme par hasard cette femme lui offre une place de journaliste. Je suis sur que ce n'était que pour le faire taire. La voilà donc journaliste de talent. Ravissant. Joyeux, il est apprécie de ses collègues. Passionné, il arrive à partager ses ambitions à tous et devient un journaliste reconnu. Je ne suis plus un enfant, j'attends simplement la fin de ses heures de travail pour le raccompagner chez lui. Bien. Je te trouverai et je te tuerai, obstacle de mon amour. Car ils allaient finir par être ensemble. Mais que dis je. Ils le sont. Mais il ne l'aime pas, je le sais moi ! Pas autant que moi en tout cas.« Je l'ai rencontré à dix ans. » Si lointain que ça ? Son amour est-il indéterrable ? Affreux. Je secoue la tête. « … vous allez bien ? » Je hoche la tête. Il continue bien malgré moi. « C'est une femme curieuse... J'ai toujours souhaité qu'elle ne manque de rien, qu'elle puisse continuer dans ses projets sans que rien ne l'empêche. Pourtant un jour, j'ai été repéré et ai abandonné mon rêve. » J'aillais le soutenir, ouvrir un peu la bouche, à nouveau … enfin. Pourtant il me précéda :« … mais ça ne me dérange pas, vous savez. J'ai put l'aider comme j'ai put... et puis c'est lui qui m'a offert la chance de devenir journaliste ! Et c'est quelque chose qui m'est précieux. Surtout que cette fois je sers à quelque chose en fin de compte... » J'aurai voulu lui dire que c'était parce qu'il était charmant, gai et gentil. Mais le 'vous' m'a glacé le sang. Alors c'est la fin. Ma chance de l'avoir enfin à mes côtés et pouvoir évoluer m'était passé sous le nez. J'avais tout brisé par gourmandise. Mes yeux se perdaient dans la route. Comme le destin est affreux, comme Dieu est malicieux... la route aussi me montrait que je n'étais qu'un imbécile : nous arrivions devant chez elle. Alors, pas fureur contre moi même et... pour l'homme qu'elle aime depuis si longtemps, je lui demande une dernière fois : ▬ Et où travaille t-elle, elle ? « Elle est flic... tellement de chemin... si elle savait qui je suis...» Bien. Je te trouverai et je te tuerai, obstacle de mon amour. Car ils allaient finir par être ensemble. Mais que dis je. Ils le sont. Mais il ne l'aime pas, je le sais moi ! Pas autant que moi en tout cas. Mais là encore, j'ai écarté un doute qui aurait du me faire virer de bord. Qui il était vraiment. Si elle savait. Flic. J'aurai du comprendre. J'aurai pu tout arrêter...« Bonne journée à vo... » Je n'attendis pas la fin. Quand je vis qu'il disait au-revoir, quand j'entendis un début de cette seconde personne du pluriel que je hais tant, je détallais comme un lapin trop pressé. Un coup d'accélérateur et me voilà déjà loin. Des larmes ? Non. Impossible. Je suis plus fort que ça. Son chauffeur. En plus de travailler à l'école, il devra étudier à la maison. Il n'aura une pause qu'entre quatre et cinq heure de l'après midi. C'était l'heure magique. A chaque fois que l'heure affichait quatre heures, l'enfant courrait dans la maison pour sortir prendre l'air et surtout, rejoindre sa cachette. Dans le bas d'une colline, cachée dans les fourrées, une grotte inoccupée avait accueillit le jeune homme. Ce dernier avait sa maison à lui et venait y dessiner ce qu'il voulait. D'ailleurs, il était malin le garnement, pendant que ses parents ne le regardaient pas ou changeaient de pièce un instant, il montait sur une chaise et avançait l'heure. Au retour, il la retardait avec un sourire fier aux lèvres. C'est lors d'une de ses escapades, qu'il rencontra celle qui fera son bonheur mais aussi sa détresse : Lizzie. Cette jeune demoiselle, un peu trop curieuse, avait trouvé la cachette de l'artiste et observait avec un doux sourire. Ryan courrait comme à son habitude jusqu'au lieu en compagnie de Scarlett. Son frère le couvrirai de ses parents pendant qu'il pourrait dessiner comme il le souhaite à la grande joie des yeux admiratifs de Lizzie et Ryan. Pourtant aujourd'hui, il paniqua quand il vit un trou dégageant les ronces vers sa grotte. Son jeune frère était surement plus courageux que lui. Le futur journaliste ne se fit pas demander longtemps. Malgré son essoufflement. Il s'avança prudemment et s'arma d'une branche un peu trop humide et décomposée pour vraiment servir à quelque chose... Mais il n'allait pas se laisser faire. Ici c'était son seul endroit secret, son coin de paradis même, alors il allait montrer à l'intrus de quoi il était capable. Seulement voilà, quand il eu passé le couloir vert, il n'avait plus du tout envie de virer le visiteur. Face à lui se trouvait une adorable jeune fille à la chevelure dorée. Première personne de son âge qu'il rencontrait en dehors de l'école, il ne sut que dire. La jeune fille sourit et lança la discussion. Pendant une heure ils parlèrent peinture, magie, aventure... Il autorisa la jeune fille à revenir et couru jusqu'à la maison. Pendant un an, les deux jeunes gens se cachaient dans cette grotte. Mais une fois, la fois de trop, la discussion s'éternisa, dépassant l'heure de retour. Le manque de soutien ne l'aide pas... pourtant il fait de son mieux en terme d'éducation. Mais le garçon laisse toujours son imagination s'exprimer sur une feuille de papier. Plus tourné sur l'écriture de roman et sur l'écriture de script, le métier d'écrivain l'intéresserait plutôt aussi ! Parfois il lui arrive d'écrire des romans ou quelques nouvelles. Mais il est aussi un professionnel en matière de musique c'est donc vers là que le jeune homme va continuer de charmer son amie : l'écriture, le dessin et les animaux. Il peut encore se souvenir des nombreux morceaux jouées à sa jeune soeur Colleen grâce à sa flute, et notamment les "Quatre Saisons" de Vivaldi qu'elle adorait. Depuis il les chantonne dans les rues et les joues régulièrement sans pour autant s'y reposer pour gagner sa vie. Pas besoin de vous raconter dans quel état se trouvaient les parents. Il ne pouvait plus sortir, plus aller voir ses peintures... et la jeune fille. Pas besoin de vous faire un dessin, notre jeune homme était amoureux. Pourtant tout se déchira un beau jour... Un soucis majeur va tout contrecarré le plan des parents et basculer ce qu'ils avaient cochés comme validé : la disparition de leur seul fils et descendant. Il n'en pouvait plus, il étouffait dans cette famille qui ne le regardait même pas. Le jeune rebelle ne voulait plus être ce petit être parfait, presque robot qui suivait n'importe quelles restrictions de ses parents. Respirer. C'est tout ce qu'il voulait. Alors il choisit de vivre une seconde vie. Loin de la nouvelle maison de ses parents, maintenant installés dans la capitale française. Une vie cachée, une vie éclairée par les projecteurs. Malgré le côté risqué, la dangerosité de sa vie, il la préfère à la seconde. Au début, ce ne sont que des sorties cachées en ville, des balades sans but dans les forets du pays. Puis cela devient plus fréquent et tout se concrétise. Il finit par découvrir les côtés sombre de la populace. Il se perd dans la drogue pendant un moment, utilise des armes... avant de ne plus pouvoir rentrer chez lui. Scarlett perd la tête. Il démonte toute une vie créée de toute pièce mais n'a pas la force de s'en créer une nouvelle. Alors il se délaisse. Il se perd dans les rues sombres de Paris. Pourtant, alors que pendant plusieurs mois, il s'est rendu compte à quel point la société pouvait être sombre et ne jamais vous venir en aide, alors qu'il pensait être perdu à jamais, alors qu'il ne demandait plus rien... une présence s'est fait une place à ses côtés, sur un pont, une demoiselle se baladait sous son parapluie, son bras dans celui d'un homme. Alors que la pluie tombait sur ses chevaux dépareillées, Le jeune homme observait la jeune femme. Il savait qui c'était. Élisabeth. Il était sur que c'était elle. Il était venu dans cette rue et s'était simplement assis là. Il n'allait pas lui courir après, le jeune artiste savait qu'elle était amoureuse de cet homme. Sans un mot. Il s'est échoué sous le pont. Jamais il ne pourrait être ce que ses proches voulaient de lui. Jamais il ne pourrait arriver à faire sourire ceux qui l'entourent. Car personne ne cherchait à le comprendre. Dans cette société, personne ne prend soin de l'autre ou ne cherche à comprendre plus loin que ce qu'il voit. C'est ainsi que notre héros de roman dramatique est devenu un homme sans lois. Il ne pouvait suivre aucun chemin. Chaque route qu'on lui donnait ne lui allait pas. Il échouait toujours. Mais alors il revint. Le jeune homme avait vu dans le journal la vue de Lizzie. Elle était devenue flic. Elle était parvenue à devenir une femme de talent. Il ne pu s'empêcher d'être heureux pour elle. L'homme silencieux replia le journal, le redonna au vendeur même s'il avait payé et partit dans un mot. Ce soir. Ce sera le grand soir. Scarlett sortit une clope à l'entrée du magasin et eu un mauvais sourire. Il aura sa vengeance. Il appela son chauffeur et entra dans la voiture jusqu'à sa bâtisse, une grande -trop grande- maison pour un seul homme. Il dit au revoir au chauffeur mais celui-ci donna un coup d'accélérateur avant de s'enfuir comme un voleur. Le journaliste haussa des épaules. Décidément, il ne comprenait plus le monde autour de lui. Une journée avec des événements nouveaux et particuliers ? Cela voulait dire nuit agitée. Tant mieux, il devait à son tour jouer sur l'échiquier... La nuit tomba pendant que Scarlett sortait doucement de son bain en marbre. Il s'étira, totalement nu et regarda la fenêtre sombre, agissant comme un réveil dans l'esprit du jeune homme. C'était l'heure. Il alla doucement jusqu'à sa chambre pour se vêtir d'un ensemble discret et sombre. Alors qu'il allait enfiler ses gants blancs, il changea d'avis. Le sang coulera ce soir, il ne voudrait pas tacher ses gants coûteux... L'homme, déjà louche dans les rues, marche pourtant doucement et entre les passants. Eux non plus ne savent pas ce qui se passent alors qu'ils auraient put tout arrêter. Lizzie était là. Dans une des rues malfamées où le jeune homme lui avait donné rendez vous. Un cul de sac. Une rue étroite. Il arrive, dos à elle. Toujours aussi malicieuse, intelligente, maligne... elle entendit facilement l'arrivée du journaliste et se retourna vivement, un couteau pointé vers lui. Ses yeux s'écarquillèrent quand elle reconnu le jeune homme :▬ Sc...scarlett ? Tu... es le crimine...el ? Sa voix se perdait pendant que toute l'enquête qu'elle avait mené passait dans sa tête... et un peu plus douloureusement sans doute avec le visage de son bien aimé sur l'image du tueur en série. Même si le jeune homme n'avait pas prévu de parler du tout, il fallait qu'il corrige cette idée qui lui donnait une affreuse image, pour le jeune homme élevé qu'il était :« Non. C'était une invitation pour te voir, pour que tu vienne seule. » Les épaules de la flic se baissèrent, rassurée de voir ses craintes s'envoler... mais elle resta maître d'elle même :▬ Mais... alors pourquoi m'avoir amenée là ? Et surtout, pourquoi après tout ce temps ? Oh alors elle voulait d'heureuse retrouvaille ? Le choix de l'homme vêtu de noir n'allait pas à la princesse ? Il s'en moquait. Comment osait-elle encore faire croire qu'ils pourraient siroter autour d'un verre ensemble. Plus un mot. Il ne parlerait plus. Sûrement pour ne pas souffrir, ne pas revenir en arrière sur sa décision. Tout le reste se fit rapidement. Et je suppose que vous avez tout compris à présent pour devoir tout vous raconter. Je peux résumer cela en vous disant que le journaliste s'est battu avec Lizzie jusqu'au point de la tuer. Mais la demoiselle était forte et Scarlett en a perdu la vue, un coup de couteau au niveau du visage. Pissant le sang, le jeune homme a tout de fois réussis à se cacher le temps que les policiers retrouve le corps de sa belle. Fort mais pas assez. Il finit par s'évanouir et un jeune médecin le trouva. Il le soigna, bizarrement sans poser de questions, et l'écrivain pu hurler de douleur dans l’hôpital. Au final... il n'était pour eux qu'un homme sans histoire... comme les autres...I.R.L ✘ pseudo: Pwaar. / Fubu ✘ age: bientôt 20 ✘ sexe: femme ✘ découverte du forum: Ajou m'a fait craquer D8 ✘ autre: Je veux des M&M's
ALTER EGO sexe indifférenttranche d'âge > 16 ans nature du changement de caractère indifférentAcceptes-tu une histoire "trash" ? O