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LECHAT Simon ▬ Simon says... | Terminé.

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Simon L. | Kaym
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MessageSujet: LECHAT Simon ▬ Simon says... | Terminé. LECHAT Simon ▬ Simon says... | Terminé. Icon_minitimeMar 13 Mai - 0:02

→ Lechat Simon ←



feat. Miyuki Kazuya | Diamond no Ace
CARTE I.D

age: 20 ans.
sexe: M.

date de naissance: 10/01/94
lieu de naissance: Paris.

statut: Célibataire.
orientation sexuelle: Hétérosexuel.

métier: Etudiant en commerce.
situation financière: Aisée.

signe particulier: Piercings aux deux oreilles. Il est également très myope et, ne supportant pas les lentilles ni l'idée d'une opération, il ne peut rien faire sans ses lunettes.

autre: Il arrange tout ce qu'il peut par six. Les livres, les bijoux, les rayures... C'est souvent casse-pied, pour lui comme pour les autres, mais il n'y peut rien.

→ J'ai un gros nez rouge

Simon a l'allure typique du mec typiquement lambda et parfaitement normal. Pour ceux qui ne l'auraient pas compris : il ne sort pas du lot. C'est un garçon d'un mètre soixante-quatorze qui assume sa taille, qu'on le trouve trop petit ou trop grand ; d'un poids moyen, qui laisse entrevoir ses muscles sans le transformer en Rambo du métro. Il a l'allure élancée mais ferme des sportifs qui se respectent – ce qui est tout naturel puisqu'il joue au football de manière fréquente et adore la natation. Son physique n'a rien qui tape à l’œil. Rien qui le fasse être particulièrement populaire, rien sur quoi on puisse taper pour rigoler. Il n'est pas gros, pas laid ; pas canon, pas mannequin. Il est dans la norme, au milieu de toutes ces autres personnes qui comme lui font tout ce qu'elles peuvent pour se hisser au-dessus de la moyenne et enfin pouvoir regarder les autres de haut, bien en sécurité derrière la rambarde. Sauf que lui, s'il grimpe, c'est sans rien pour le retenir. La chute serait longue et douloureuse.
Des cheveux bruns ramenés soigneusement sur son front et sa nuque dont il prend grand soin et de jolis yeux bleus font ce qu'il a de charme. Le contraste entre clair et foncé est plutôt plaisant, le tout s'accordant comme il se doit avec sa peau ni claire ni bronzée. Il sort beaucoup mais brûle plus qu'il ne dore : pas de chance. A la lotterie génétique, papa et maman ne lui ont pas évité quelques tâches de rousseur sur les pommettes et sur les bras, ainsi que sur les épaules. C'est discret et personne ne lui en a jamais fait la remarque, donc il s'en moque. Son nez est droit, son menton volontaire sans être imposant ; il a les dents à peu près droites et s'en occupe bien pour qu'elles restent blanches, même si elles ne le seront jamais autant qu'il le voudrait. Ses mains sont grandes, ses doigts un peu abimés mais néanmoins longs et jolis ; ses ongles, coupés courts, sont parfois surmontés d'un peu de vernis quand il lui prend l'envie de rigoler en se peinturlurant les doigts. Ça ne le rend pas moins viril, selon lui, et puisque c'est marrant pourquoi se priver ? Ça va avec ses boucles d'oreilles, trois de chaque côté – deux au lobe et une à l'autre extrême – et ses colliers ou autres bracelets et bagues ; le jeune homme est très porté sur les bijoux, les foulards, les écharpes et les ceintures. Il adore accessoiriser, même s'il n'en fait pas trop.
Dos droit, sourire au visage, air insensible... Simon est très expressif quand il parle, et étonnamment détaché quand il écoute. Il a toujours cette même expression tranquille et placide au visage, indéchiffrable.
Inatteignable.


Dans mon esprit torturé ←

Simon s'en fiche. Ça ne l'intéresse pas. Il n'écoute pas. Il est ailleurs. Il ne ressent rien et ne compatit pas. Il se moque de savoir ce que vous pensez. Il ne parle jamais. Il n'a aucun avis propre. Il est inintéressant et amorphe. Rien ne le touche. Il ne cherche pas à rester en contact. De toute façon, il n'aime rien – c'est bien ça, non ?
Peut-être. Sans doute. Et au fond, qu'est-ce que ça peut bien changer, si ce ne sont que des impressions infondées ? Il n'ira pas vous contredire si, énervé, vous lui jetez un livre à la figure en lui criant qu'il n'a aucun cœur et sûrement pas besoin d'amis. Vous ne seriez pas le premier ; pas le dernier non plus, à priori. Jamais ses pas ne suivront les vôtres. Il n'ira pas s'excuser. N'attendra pas anxieusement que vous reveniez le faire, non plus. Il se contentera de rester devant son bureau, comme si rien ne s'était passé, aussi las et blasé qu'il l'était avant. Alors, souvent, personne ne revient. Parce qu'il n'en vaut pas la peine. Il ne vous contredira pas non plus sur ce point : il ne le fait jamais. C'est aussi bien comme ça.
Simon, quoi qu'il en donne l'impression, n'est pourtant pas tout-à-fait insensible et isolé dans son monde. Il n'a pas toujours été comme ça, non plus. C'est juste qu'il n'a pas le choix – ou, plutôt, considère ne pas l'avoir. Au fur et à mesure, il a fini par développer une vraie aversion envers les sentiments ; aujourd'hui, c'en est arrivé au point où l'on serait en droit de se demander s'il est seulement capable de ressentir quoi que ce soit. C'est le cas. Parfois, son cœur se serre – parfois, lorsqu'il est seul, ses pieds viennent violemment heurter le mobilier. Mais jamais en public, et jamais pour des raisons moins que graves. Le reste... Non, il s'en fiche. Vraiment.
Ceux qui pourraient penser que cette indifférence n'est qu'une façade pour se protéger seraient autant dans le faux que ceux le croyant dépourvu de personnalité. Son empathie est réellement très limitée ; voir quelqu'un pleurer le laisse perplexe, entendre quelqu'un l'insulter le laisse de marbre. Il ne comprend pas. Ça le dépasse. A quoi bon s'embrasser et pleurer toutes les larmes de son corps ? Et pourquoi est-ce si triste, au juste ? Pourquoi s'énervent-ils tous d'un rien, pourquoi rient-ils sans arrêt... Est-ce que ça a seulement un sens, tout ce méli-mélo d'émotions mélangées et incontrôlées ? Lui n'en voit pas. C'est juste... Bordélique. Sale. Détestable.
Maniaque, le jeune homme ne supporte pas que sa maison soit en désordre. Il ne peut pas. Ça l'empêche de se concentrer, de se reposer – c'est impossible, il doit ranger. La seule chose qui ne soit pas calé au millimètre près, chez lui, reste sa propre personne. Au milieu de ces pièces parfaitement rangées et aussi brillantes que possible, il fait presque tâche. Ça n'a pas l'air de le déranger. Mais le reste, non. Tout doit être propre. Toujours. Il tient à ce que tout soit immaculé, et ce du sol jusqu'à son cœur ; alors il ne veut pas qu'on l'approche, qu'on le touche et qu'on le salisse.
Parce que les émotions, l'amour ou la colère, c'est uniquement superflu et inutile. Ça fait mal et ça laisse des traces partout, des traces indélébiles qu'il ne pourra jamais enlever même en frottant le plus fort possible. Alors il ne s'attache pas. Alors quand on s'attache à lui, il évite l'autre. Alors il est seul. Et tout est rangé. Et c'est parfait.
Oh, il ne faut pas croire. Il a crié, lui aussi. Voulu se faire entendre. Mais ça n'a pas marché. Au contraire, même. Depuis, il se tait et répond succinctement aux autres lorsqu'ils lui adressent la parole ; pas uniquement par monosyllabes, mais sans jamais s'engager réellement dans la discussion pour autant. Il ne va que rarement vers les autres de son propre chef et ne retourne jamais le chercher ensuite. Globalement, il préfère la compagnie des livres. Ou des objets inanimés de façon générale. Il n'est pas jaloux, pas irritable, pas violent. Quand on le bouscule, il ne réagit pas. Se défendre ne lui passe par la tête que si les risques deviennent trop grand – et c'est rarissime.
Simon ne veut pas pleurer. Il ne veut pas qu'on le touche. Il n'aime pas être seul. Il ne veut pas être entouré. Il ne supporte pas le désordre. Il n'arrive pas à sympathiser. A nouer des liens. A s’intéresser aux autres. Il ne sait pas comment faire et ne veut pas apprendre. Son cœur est d'un blanc immaculé et ça lui va.
C'est très bien comme ça.


→ PERE CASTOR ←
« Simooooon. »

Scritch, scritch. Le crayon ne cessa pas son manège ; les traits noirs, toujours aussi soignés, se courbèrent complaisamment pour tracer les contours de lettres serrées et monotones. Avachie contre le bois du comptoir, l'adolescente souffla.

« Hiroooor ! Tu devrais sortir de temps en temps. Ça fait combien de temps que t'as pas souri, hein ? »

Le bruit de l'horloge murale prit le relais sur le silence quand, une main perdue entre le vide et le papier, le jeune homme daigna enfin lancer un regard indifférent à sa cadette. Son dix-septième anniversaire ne l'avait pas rendue plus mature ; dans ses grands yeux dorés, sur son visage couvert de tâches de rousseur, derrière son sourire timide et par-delà sa voix fluette, l'adulte peinait à prendre le pas sur l'enfant. Il ne s'en inquiétait pas. Ça viendrait avec le temps.
Machinalement, ses doigts gantés lissèrent les pages blanches d'un carnet parfaitement entretenu. Il ne comprenait pas cet entêtement qu'elle avait à venir l'ennuyer chaque milieu de semaine. Stupide caprice d'enfant. S'il en avait été un, il ne se souvenait pas les avoir un jour compris ; la joie, la tristesses, les émotions sans honte ni gêne... On ne naît pas tous égaux, c'est un mensonge.
Et quelle importance, au fond ? Il vivait. C'était le seul miracle dont il se sente capable.

« Tu étais trop petite pour t'en souvenir, Michelle.

-N'iiiimporte quoi. »

Déjà replongé dans ses comptes, il ne la vit pas passer une main anxieuse sur son amulette. Bientôt, il lui dirait de partir et reprendrait ses reliures ; bientôt, elle partirait aider leurs parents ou s'amuser en ville.
Mais avant, inévitablement, comme une mécanique parfaitement huilée...

« Tu devrais changer, tu sais. »

Il ne releva pas la tête, ne releva pas les yeux – ne haussa pas les épaules, ne cessa pas de barrer et d'entourer et de penser à quel point cette discussion ne menait jamais à rien, si ce n'était à une profonde lassitude de sa part et un désintérêt de plus en plus grandissant. Il savait parfaitement de quoi elle parlait. Il savait qu'elle n'avait pas tort, sans pour autant avoir raison. Son inquiétude était sincère. Du moins l'imaginait-il.
Pourtant, aucune réponse ne s'échappa d'entre ses lèvres.

La porte se referma sur un soupir.


Étant enfant, Simon pleurait souvent.
Ça a commencé par une chute dans les graviers. Puis une coupure au bras. Puis des bleus aux genoux. Puis un petit oiseau mort retrouvé au bord de la route. Puis un bouquet de fleurs fané dans un vase. Puis des rires. Puis une lettre d'amour déchirée. Puis des mains écorchées. Puis des portes fermées. Puis, puis, puis...
Plus rien.
Les larmes se sont envolées.
Quand certaines de ses affaires ont dû être donnés à sa sœur, il n'a rien dit. Quand un garçon plus âgé l'a bousculé, il n'a pas bronché. Même s'il s'est tordu le poignet. Quand on a commencé à l'oublier, à l'école, il est resté en retrait. Quand ses parents ont critiqué son manque d'ambition et de talent, il n'a pas protesté. Il ne pleurait plus. Ne souriait plus, non plus. Parce que ça ne servait à rien, de toute façon – oui ? Si on peut vivre sans, c'est que c'est superflu – inutile et décoratif, c'est bien ça ? Comme la peinture, comme les bibelots, comme les bijoux et ces sourires hypocrites et l'amour et les mensonges et ces personnes qui se font du mal sans raison et –
D'avoir trop pleuré, il s'est rendu compte que ça ne le touchait plus.
Plus du tout.

Ça s'est sûrement fait petit à petit, à force d'être trop sensible et trop bousculé par les autres, mais il s'en est rendu compte d'un seul coup. Quand, assis au bord de l'eau, il a bêtement tiré sur les ailes d'une libellule,

Et que ça ne lui a strictement rien fait.

Mince. Je crois que je me suis cassé.



« Chéri, c'est assez propre comme ça. »

La voix un peu rude de sa mère stoppa net Simon dans son nettoyage. Main serrée sur son chiffon, il lui jeta un regard terne ; puis, dans un haussement d'épaule qui ne voulait rien dire, il se remit à cirer le bois. Elle soupira. S'il continuait, c'était que ce n'était pas tout à fait propre – et ce quoi qu'elle puisse en penser. Il avait l’œil pour ces choses-là. Une sacré obsession, aussi. Ses parents avaient une idée du rangement et du nettoyage parfois assez sommaire que lui, mains cachées derrière ses gants, ne supportait pas. Alors quand il venait, c'était toujours la même chose. A force, on s'habituait.
Pas que madame s'en plaigne. Après tout, ça ne faisait pas de mal au salon de briller.

« Tu as vu Michelle aujourd'hui ? Elle est partie comme une flèche ce matin... »

Frotte frotte frotte.

« Une gamine aussi timide qu'elle... Je sais pas ce qu'elle trafique depuis une semaine, mais ça a l'air de l'intéresser. »

Simon tiqua légèrement. Ce tissu était bon à relaver.

« Alors ? Vue ou pas ? C'est fou ça, t'as toujours l'air fatigué. »

Forte du pendentif caché sous son chemisier, la quinquagénaire raviva le feu qui brûlait dans l'âtre. Le jeune homme se contenta de hausser les épaules.

« Elle est passée ce matin. Repartie aussitôt. Je ne lui ai pas demandé où elle allait.

-Tu m'étonnes. »

Le reproche à peine voilé sous ce commentaire ne le blessa pas. Il était habitué. Ses deux parents étaient des fortes têtes. Indépendants, assez bruyants. Tout le contraire de sa sœur. Tout son contraire. Ils adoraient lui rappeler à quel point son indolence leur tapait sur les nerfs et lui, sans chercher à se justifier, acquiesçait vaguement.
Le chiffon s'attarda longuement sur un pan de bois parfaitement propre.
Ce n'était jamais assez propre pour lui.

« Simon, ce que tu peux être... »

Pas assez, pas assez, pas assez, pas assez...



A douze ans, Simon ne pleurait déjà plus. Il s'asseyait dans son coin et lisait. Toujours, sans arrêt ; parce que les livres, contrairement aux autres enfants, ne se moquaient de rien. Ils se contentaient d'être. Blancs et noirs. Simples. Vrais. Propres.
Lorsqu'il il pleurait encore, des années plus tôt, on se moquait souvent de ses vêtements un peu froissés, reprisés mais parfaitement mettables. Ses parents n'aimaient pas gaspiller de l'argent pour rien.
Alors, il s'était mis à frotter ses mains et son visage le plus fort possible. C'était le mieux qu'il puisse faire.

Frotte frotte frotte.

« Arrête, tu t'écorches ! »

Et puis, un jour, il s'est caché dans une boutique pour lire à l'abri de la pluie. Juste le temps que l'averse passe. Que les garçons qui s'amusaient à jeter ses livres dans l'eau soient partis, aussi. Caché sous le bureau, indifférent et renfermé, il a attendu. Attendu. Attendu. A été débusqué par le propriétaire, un vieil homme affable et passionné de livres, qu'il reliait et réparait avec une passion admirable.
Ce vieil homme lui a tendu la main et, sans lui demander ce qu'un garçon de son âge pouvait bien faire là, lui a proposé de plutôt s’asseoir dans un fauteuil. C'est lui qui a enfilé des gants sur ses mains irritées. Lui qui lui a prêté la plupart des ouvrages qu'il a eu l'occasion de lire.

Lui qui lui a dit, « Un jour, tu guériras »

Mais les années passent et rien à faire, ça ne vient pas.
Je ne guéris pas.




« … Tu sais quoi. A te voir, on pourrait croire que faire la vaisselle c'est le truc le plus éclatant au monde. »

Il haussa les épaules.

« T'as vingt ans, tu devrais t'amuser ! »

Nouveau haussement d'épaule.

« Ahhh... A quoi ça sert de te parler, je me demande... »

A rien.

Alors fermez ce livre, s'il vous plaît. Il n'est pas intéressant. Il n'y a presque rien dedans. Aucun dessin, presque pas de sourires et on y apprend rien. J'ai trop donné et j'ai tout perdu – si la vie est un jeu j'ai mal bluffé, qu'est-ce qu'on y peut ? Ça arrive et c'est comme ça. La couverture en dit suffisamment long. Arrêtez vous là. L’égoïsme nous sied bien mieux que l'hypocrisie.
Fermez le avant de le salir.
Ne me touchez pas.


I.R.L
pseudo: Nii'
age: 19 ans
sexe: XXY
découverte du forum: Top site
autre: J'ai en partie repris ce perso d'un personnage à moi sur un autre forum. Donc pas de soucis, je n'ai plagié personne.
ALTER EGO
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homme - femme - indifférent
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10/15 -  16/19 - 20/30 - 30+ - indifférent
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Avatar : Are (OC) - Littleulvar
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Ajay





MessageSujet: Re: LECHAT Simon ▬ Simon says... | Terminé. LECHAT Simon ▬ Simon says... | Terminé. Icon_minitimeSam 24 Mai - 2:47
Plop petit Simon,
Alors tout d'abord je tiens à dire que j'adore ton personnage, vraiment. Il a un vrai caractère, une véritable personnalité, etc. J'aime beaucoup. Son histoire est, elle aussi, attendrissante, surtout la partie avec le vieux monsieur *aime beaucoup les vieux messieurs des histoires*. J'adorerais que nos personnages ai un lien, même si je penses qu'un tel caractère ne va pas plaire à mon Ajay. M'enfin vu ta charmante façon d'écrire, je serais ravi de pouvoir rp avec toi un jour *W*
Bref après ce petit blabla inutile, je t’annonces que tu es validé et que Noami passera bientôt pour te faire ton AE !
Wala.
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Maxime W. | Swatch
Avatar : Suzuno Fuusuke - Inazuma Eleven
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MessageSujet: Re: LECHAT Simon ▬ Simon says... | Terminé. LECHAT Simon ▬ Simon says... | Terminé. Icon_minitimeLun 9 Juin - 22:29
BIENVENUE PARMI NOUS \o/Fufuh, désolée pour l'attente mais comme je te l'ai dis par MP on avait quelques petits point à régler par rapport à ton AE et ça a prit un peu plus de temps que prévu ;x; pardon pardon ;x; en tout cas, j'espère qu'il va te plaire ! Aller, LET'S GO PLACE A TON AE \o/

Kaym ( se lit Kaïme ) ▬

age: 10 ans
sexe: Masculin
orientation sexuelle: Trop jeune nah mais oh é_è mais il aime bien embêter les filles.
situation financière: Il vit dans les quartiers pauvres, sous la tutelle d'Anastasie ( pour en savoir plus sur ce personnage, c'est ici ) qu'il aide au restaurant.

signe particulier: //

Traits de caractère: Timide - Gentil - Serviable - Souriant - C'est l’innocence à l'état pure - Il a du mal à comprendre certains sacrifices que la vie oblige à faire - Il manque de maturité sur le point de la compréhension des sentiments des autres - Cependant il est très mature en ce qui concerne la politique d'Irréel et l’injustice des différentes classes sociales.

autres informations: C'est le fils d'Emérite ( ici ) mais il ne comprend pas le sacrifice qu'à du faire sa mère. Il considère d'ailleurs Ana comme sa vrai mère et l'appelle Maman, au grand désespoir d'Emérite, sans se rendre compte à quel point ça affecte sa mère biologique.

avatars possibles: Citron ( aussi appelé Lem' ) (Pokémon) / Yukine (Noragami)

/!\ Si l'avatar choisit ne correspond pas à la description, le staff à le droit de demander au membre de le changer, s'inscrire à Irréel c'est savoir ce qui nous attend, à savoir un personnage quasi "imposé". Mais comme on est des gentils (*auto-lancé de fleurs*), si vous avez une quelconque réclamation par rapport à votre Alter-Ego vous pouvez la faire par MP au membre du staff qui vous a validé !


Maintenant que tout est dit, tu peux enfin vagabonder comme bon te semble dans les plaines verdoyantes d'Irréel. Mais avant tout, laisse moi te donner quelques petites indications. Je te conseilles d'aller recenser tes avatars avant ton départ, et pour être bien préparé de ne pas oublier de t'afficher avec ton Alter-Ego dans ta signature. Si tu veux on a préparé un petit codage par ici pour qu'on voit bien de qui il s'agit ! Ensuite tu pourras enfin partir pour l'aventure ! Les premières étapes conseillées sont simple, se faire des amis et ennemis par , créer ton obligatoire cahier de suivi pour Alter-Ego et si tu le souhaites, chercher un compagnon de route pour un instant dans les demandes RP. Pour ce qui est du reste, c'est à toi de tout découvrir !


UN PEU DE DÉCORATION

Ta chambre est située dans un bâtiment juste à coté de celle d'Anastasie. C'est une chambre de petit garçon, avec des jouets un peu partout, des peluches. Des cartes représentant divers animaux d'Irréel avec marqué dessus des points de compétences et des attaques. Un lit avec sur la couverture un dessin d'un garde royal qui chevauche un chevache. Sur la table de chevet, un cadre avec une photo d'Emérite et Anastasie, un bout de papier coller sur la tête d'Emérite lui cache le visage, ne laissant apparaître qu'Ana.
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LECHAT Simon ▬ Simon says... | Terminé.

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