Anicée L. -La fiche dont vous êtes le héros-
Auteur Message Avatar : France | Axis Powers: Hetalia// Perona | One Piece
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Sujet: Anicée L. -La fiche dont vous êtes le héros- Mar 20 Mai - 2:36 « Mais putain, je te dis que je bosse ici ! »
Le gorille vacille un peu devant l'entêtement du type ; mais foi de vigile, il ne cédera pas, surtout pour son premier jour. On lui a déjà tout fait dans ses boulots d'avant. Le coup du « je bosse ici » fait aussi partit de ce ''tout''. Encore que généralement, les freluquets comme celui là n'insistent pas autant : ils cèdent face à ses 110 kg de muscles saillants qu'un costume trop petit fait paraître encore plus impressionnants. Ils ne vont pas jusqu'à l'agacement. Mais le type là, soupire, passe une main dans ses cheveux et reprend d'une voix calme.
« Bon, écoute, je veux pas te faire perdre ton d'job, ok ? J'te file ma carte I.D, tu vas la montrer au boss et voilà ! C'est qu'un malentendu, pas de quoi en faire un plat. »
Il lui donne sa carte et de ses gros doigts, Théodore la prend. Il peine à ne pas la froisser, heureusement, celle là est plastifiée. Il y jette un coup d’œil suspicieux, comme à la recherche d'un élément qui crierait « au faux », grommelant dans sa barbe.
« Elles sont pas très ''pro'' vos réponses. »
Les joues du type prennent une belle teinte rosées.
« La vérité, c'est que je pensais pas spécialement que c'était sérieux. Or, c'était hyper sérieux, le patron à noté chaque parole. Je crois que ça l'a fait rire. »
Mouais. Excuse bidon il pense, le Théodore.
Pourtant, de bonne grâce, le Vigile accepte d'aller voir le patron... Allez en paragraphe 2
Non, décidément, on ne lui la fait pas à lui. Non seulement le Vigile n’accepte pas d'aller voir le patron... Allez en paragraphe 3.
→ Léonard Anicée ← feat. France | Axis Powers: HetaliaCARTE I.D ✘ age: 36 ans. ✘ sexe: Homme. ✘ date de naissance: 17 avril. ✘ lieu de naissance: Vierzon, France. ✘ statut: Célibataire. ✘ orientation sexuelle: Je trouve vos questions vachement intrusive quand même. Hétéro il semblerait. Mais je me demande... Quoi ? Oui, 36 ans, et pas encore fixé, mais ça évolue tout le long de la vie, ok ? ✘ métier: Barman de nuit. ✘ situation financière: Critique. C'est que c'est cher, Paris. ✘ signe particulier: J'ai quelque tendance claustrophobe. Et j'ai quelques cicatrices, mais comme je suis couverts de la tête aux pieds, on ne les voit pas. Oh, et si t'es tenté de m’appeler « An' », t'oublie direct. Car oui, Anicée, c'est mon prénom. Pas Léonard. Mais on confond souvent, j'ai l'habitude. ✘ autre: J'aime me promener à poil chez moi, j'aime geeker devant les jeux vidéo et je trouve que vous avez d'beaux yeux vous savez ? Minute. Vous tapez pas vraiment ces réponses, hein ?
Ce qu'il est. Paragraphe 2 : : Pourtant, de bonne grâce, le Vigile accepte d'aller voir le patron. Il montre la carte et comprend la méprise à l'éclat de rire lancé. Quelque peu honteux, il retourne à l'entrée où le gringalet l'attend, une clope électronique à la bouche et, de mauvaise grâce, marmonne une excuse à la victime. Ce dernier ne semble finalement pas mauvais, sourit et tapote l'épaule. Voilà, voilà, la bavure est oubliée. Il passe, entre dans le bâtiment, fin de l'histoire. « C't'a cette heure ci qu't'arrive ? Lance le boss avec taquinerie. -Très drôle. -Le p'tit Théodore te fait des misèèères ? -Le nouveau vigile ? Ouais, bah, la prochaine fois, montrez la tête de tout vos employés ! » Le patron rigole, Anicée file au vestiaire rapidement. Personne en vue, il se permet de s'asseoir et souffler, prendre une dernière bouffée de tabac et ranger la cigarette dans son sac à bandoulière. Puis finalement, il se lève pour se poster devant le miroir et s'examiner. Les chaussures noires parfaitement cirées, d'une confortable pointure 44, sont impeccables. Par dessus, un pantalon un peu serré, selon les demandes du patron. Parce que ça met en avant le paquet de devant, et moule les fesses du derrière. Anicée n'aime pas ça, lui. Lui, il préfère quand c'est large. Alors, ce genre de pantalon, il les supporte uniquement quand il va travailler. Habituellement, il préfère les pantalons droits et simples, chemise ou tee-shirt avec veste par dessus. Il aime bien manier les couleurs et sait plutôt bien s'habiller, mais là, pour le boulot, il fait ce qu'on lui demande. Point. Il soupire et boutonne correctement sa chemise blanche, enfile le bas dans le pantalon, pour faire pro et serre la ceinture. Il a l'impression d'être trop carré dedans. Il l'est un peu, légèrement, juste assez pour ne pas avoir à rougir. Comment l’appelait le vigile déjà ? ''Gringalet'' ? Ok, peut-être qu'à côté d'un gorille de deux mètre, il fait gringalet, mais il ne faut pas exagérer non plus. Avec son mètre quatre-vingt, il se considère comme plutôt grand. Et plutôt pas mal fait. D'un geste négligé, il attache un nœud papillon autour de son cou, qu'il laisse volontiers détendu, n'aimant pas la sensation d'étaux qu'il sentirait sinon. Sa main passe sur sa mâchoire carrée, dure, où il sent les prémisses d'une barbe. Il grommelle car merde, il s'est juste rasé ce matin. Putain de pilosité trop active. Un coup d’œil à sa bouche, lèvres fines, rosées et propres qu'il retrousse pour voir sa dentition, correctement alignée et bien blanche. Son nez est un peu long, droit et osseux. Petit, il remportait souvent le rôle de Cyrano, mais n'en complexe pas pour autant. Ses pommettes sont hautes et tandis qu'il sourit, une fossette apparaît sur sa joue. Ses yeux bleus sont vivants, frais et ne témoignent pas de la nuit courte qu'il a passé. Alors, il passe l'une de ses larges mains dans ses cheveux blonds pour les attacher en catogan, laissant libre de nombreuses mèches qui viennent encadrer son visage. Entièrement détachées, sa chevelure lui arrive juste aux épaules. Mais libres, ce n'est pas professionnel, ni pratique. Le coiffeur ? Ha ha. Voilà, ce sera très bien. Il remonte vite fait, passe derrière le bar où il attrape un tablier noir qu'il noue à sa taille. Il se tient droit, prêt à travailler, charmant, avenant, disponible. Pro. D'ailleurs, voilà déjà une femme qui approche. « Salut, moi c'est Nina. - Bonjour mam'zlle, je te sers quelque chose ? -On fait connaissance ? » Ok, pourquoi pas, il se dit que ça n'engage à rien, allez en paragraphe 4. Non, il ne se sent pas assez bien luné pour ça, allez en paragraphe 5.
Paragraphe 3: Non, décidément, on ne lui la fait pas à lui. Non seulement le Vigile n’accepte pas d'aller voir le patron, mais en plus il attrape le gringalet par le col, agacé par le comportement de ce dernier, et le pousse avec une presque violence qui fait perdre l'équilibre à sa victime, le faisant tomber sur les fesses. Ses paumes de mains en sont écorchées. « Mais merde, ça va pas bien ?! Je te dis que je bosse... Oh et puis crotte, tu t'expliqueras avec le patron comme un grand ! » Anicée se lève, trouve un mouchoir pour s'essuyer les mains et retourne chez lui, énervé (et vexé). Passé le pas de la porte, il la claque et file dans la salle de bain pour se nettoyer mieux. Il retire son pantalon sale, sa chemise qui s'est prit quelques gouttes sanguine et reste comme ça, en caleçon. Il se regarde dans le miroir. Oui, niveau pilosité, il n'est pas raté. Heureusement que son blond naturel rend le tout très discret. Et puis, à quelques endroit, il n'y a rien ; juste vielles cicatrices qui restent vierges de tout et qui ont grandie avec lui. Il regarde ses côtes qui se devinent sous sa peaux, repense à jadis. Il baisse les yeux sur sa jambe gauche marquée par une longue cicatrice. Son bras gauche aussi en a une. Il bande un peu les muscles, pour voir ce que ça fait et... Et ça fait rien. Juste des muscles gonflés et voilà. Pas de douleur, pas de tiraillement, elle est vielle cette histoire aussi. Il tourne les talons, change de salle. S'il va pas bosser ce soir, alors, ce sera soirée jeux vidéo et voilà. Il attrape une bière, un reste de pizza froide et va se caler devant son ordinateur, au milieu de son grand salon. Ça le fait chier car pas bosser ; c'est un salaire en moins. Sans salaire, il se demande s'il pourra garder longtemps son appartement de luxe qu'il peine déjà à conserver ; preuve en est ses meubles sporadiques et miteux. Un grand appartement vide. Et alors, hein ? Déménager pour plus petit ? Il sait qu'il ne pourra pas. Qu'il paniquera et angoissera. Ses pieds s'agitent en réponse à l'anticipation de stress. Ses doigts pianotent avec plus de force sur son clavier. Il s'agace et tente de sa calmer en pensant à autre chose. Il se demande ce que dirait les gens s'ils le voyaient ? Que penserait ses amis s'ils savaient qu'en privé, Anicée est sans doute plus proche de la loque que de l'humain ? Qu'il aime se laisser aller, ne rien faire, rester tranquille et paresser ? Lui sur qui une chemise va si bien, il aime être à poil. Il aime laisser ses gambettes à l'air, avoir le cul à l'air et tout le reste pareil. Il n'aime pas les vêtements, à l'impression rapide étouffer. Mais il faut bien bosser, il faut bien vivre et de préférence, sans se faire arrêter par les flic pour exhibitionnisme. Alors, il ne sait pas quoi faire. Alors, il écoute les autres. Alors, il revêt l'attitude de play-boy qui plaît tant, car il a le physique qui va bien. Il bosse en barman car il plaît aux femmes, il a été engagé surtout pour ça et le sait très bien. Et aux bonhommes de temps en temps, il peut leur plaire aussi. Qui sait ? Si en publique il se tient bien, en privé, il est négligé, laisse sa barbe pousser, ses cheveux emmêlés, sans entretient, voir gras quand il n'a pas besoin de sortir. On lui dit que ça lui va bien les cheveux long, hein ? Bien, c'est juste par flemme de se les faire couper qu'il les as longs. Secret secret, sale petit secret... Il se foutrait bien de mettre un tee-shirt sale, d'avoir des manières de porc, d'avoir les pieds sur les tables. Il vivrait à son rythme, jouerait, mangerait quand il a faim, dormirait quand il a sommeil. Il hibernerait. Mais y'a le boulot. Y'a les potes. Y'a ce qu'on appelle « la civilisation ». Il se prend une clope, une vraie cigarette, et l’allume, la fume en regardant le plafond avec un regard morne, sent la cendre encore chaude qui lui tombe dessus mais s'en fiche pas mal pour autant. Il aurait été prêt à pioncer si son ordinateur ne faisait pas un « tudut ! » pour lui dire qu'une personne Skype le demandait en ami. Il fronce un sourcils et se penche sur son écran, en boule sur son siège -car fuck au bon maintient-. Mince, Skype s'est lancé seul, encore. Et voilà un emmerdeur. Une emmerdeuse ? Et si c'était le patron ? Il accepte la demande et fixe la fenêtre de conversation avec méfiance et humeur. Nina Bonjour. Moi c'est Nina. Prince Toad Heu, salut ? Nina On fait connaissance ? Ok, pourquoi pas, il se dit que ça n'engage à rien, allez en paragraphe 4. Non, il ne se sent pas assez bien luné pour ça, allez en paragraphe 5.
Ce qu'il pense. Paragraphe 4: Ok, pourquoi pas, il se dit que ça n'engage à rien.Alors, il se présente calmement, poliment, doucement. On dit souvent de lui qu'il est charmant. Parce qu'il à l'air gentil, plutôt inoffensif et bien pacifique. C'est vrai qu'il ne cherche pas spécialement les complications, se dérobe avec un joli sourire et cherche à couler une vie simple et paisible. On le dit simple, aussi. Parce qu'il accepte plutôt facilement les choses, s'adapte semble-t-il facilement et fait les choses, simplement. Tout semble simple avec lui. Parce qu'il n'aime pas le compliqué. Parce qu'il se cache facilement quand ça se complique. Parce qu'il a une attitude un peu détachée de tout. Il semble aimer prendre son temps, comprendre les choses, les gens, savoir comment ils réagissent et pourquoi. Il semble savoir un peu tout faire, et facilement. Il apprend vite à se dépatouiller, à trouver des solutions et c'est souvent bien arrangeant. Après, il fait un peu tout, oui, mais pas forcément très bien. Ni même bien tout court. Mais on ne peut pas tout avoir, n'est-ce pas ? Les gens l'apprécient facilement, aime sa compagnie tranquille et rigolarde. Il aime taquiner, il aime rire gentiment, il aime sourire à un peu tout. Les potes parce que les femmes le regarde bien. Parce qu'il est drôle à s'aventurer dès qu'on l'y encourage et à s’enchaîner aussi bien les râteaux. Car il drague, oui, mais comme un pied. Il lancera une banalité, une réplique kitch et se la reprendra dans le nez sous forme de rire dans le meilleurs des cas. De claque dans le pire. Il est beau-parleur, pour le meilleur et pour le pire. Les femmes arrivent à l'apprécier car il n'est pas désagréable à observer et parce qu'il ne les regarde pas mal, n'insiste jamais. Puis parfois, il dira un compliment qui semblera sincère, perdu au milieu des banalités affreuses. Et puis, il y a quelque chose. Quelque chose qui fait qu'on y croit pas vraiment à son jeu de beau-parleur. Le côté mystérieux attire ? Il se retrouve asséné de question, se dérobe d'un rire discret. Mais là, il est un bon jour finalement, alors, voilà, il sourit simplement et se décide à jouer le jeu avec elle. Qu'elle pose ses questions. Il y répondra. Peut-être. La question apparaît : « Parle moi de toi ! » La réponse vient après : « C'est vague, ça... Mais ok, essayons ! » Paragraphe 6 La réponse vient après :« C'est vague, ça... Tu peux pas être plus précise ? » Paragraphe 7
Paragraphe 5: Non, il ne se sent pas assez bien luné pour ça. Il n'a pas envie, il soupire et se dit qu'il va décliner. Il décline même. Poliment, certes, mais retourne faire autre chose. La jeune fille semble déçue. Tant pis pour elle. Car quand il est des mauvais poil, il est mauvais tout court. Il devient grincheux et de mauvaise foi. Pire encore, il semble se complaire dans sa mauvaise tête et insiste. Puis il se calme. D'un coup. Heureusement, ces états de colère sont plutôt rares. Anicée n'est pas parfait. Pas parfait du tout. Bien souvent, on pourrait dire de lui qu'il est paresseux, procrastinateur de l'extrême et que c'est par fainéantise qu'il est ainsi. Les gens le disent simple, mais c'est par envie d'être tranquille. Il ne cherche pas la bagarre car il trouve ça fatiguant et vain. Il a cette attitude détachée qui fait de lui quelqu'un de facile à vivre trouve-t-on souvent, et parfois, on le trouve un peu trop détaché. On se demande s'il est vraiment peiné quand il dit l'être. On se demande s'il est vraiment content quand il sourit ou si ce n'est qu'une façade pour être bien vu. Pour ne pas chercher les ennuis, encore. Pour ne jamais attirer l'attention sur lui. Il est plutôt asocial dans le fond, n'aimant pas toujours la compagnie et pourtant, ne pouvant vivre sans. Ses aspects simples, ses aspects qui cherchent à lui éviter des ennuis, des tracas, c'est une défense pour ne pas en avoir plus. Il se pose des questions, sur lui, sur les autres, sur tout. Il se mets tout seuls des bâtons dans les roues, comme un grand. Se place bravement devant des problèmes auxquels il ne voit pas les réponses. Il ne cherche pas vraiment non plus. Il se demande souvent qui il est. On le dit homme à femme. L'est-il vraiment ? Il ne sait pas. Il se demande, ne sait pas et ça l'exaspère un peu. Alors, il ne cherche plus vraiment la réponse et se laisse transporter paresseusement par les pensées des autres. On lui dit que. Alors, il sera. Il essaye au moins. Et rate, souvent. Parfois, un coup d'un soir, souvent rien, mais rien qui dure très longtemps finalement. Trente-six ans, bien célibataire et des fois, il se dit que c'est aussi bien ainsi. Il a déjà du mal à s'occuper de lui, alors d'un autre ? Des autres ? Et pourtant. Pourtant, parfois, la solitude le pèse, alors il est bien content de l'avoir, son boulot. Parfois, il est bien content de les voir, ces amis. Alors, même s'il fait sa mauvaise tête, même si c'est pas un bon jour, il revient s'excuser auprès de la jeune femme. Il n'est pas parfait, mais pas mauvais non plus. Un sourire, c'est pardonné. Alors, pour essayer de se faire pardonner son coup de mauvaise tête, il dit que d'accord, il va répondre à une question de son choix. Elle réfléchit puis la question apparaît : « Parle moi de toi ! » La réponse vient après : « C'est vague, ça... Mais ok, essayons ! » Paragraphe 6 La réponse vient après :« C'est vague, ça... Tu peux pas être plus précise ? » Paragraphe 7
→ Parle moi de toi ! ← Paragraphe 6: La réponse vient après : « C'est vague, ça... Mais ok, essayons ! » Il n'a pas de grande histoire à raconter. Parce qu'il est l'enfant du milieu. Pas d'enfance traumatisante, pas de parents abusif, pas de morts tragiques. Toute sa famille est en parfaite santé. Bien sûr, des peines, des déceptions, mais aussi des joies et des chouettes moments. Parce qu'il est l'enfant du milieu. Une mère occupée par l'éducation de son petit monde, heureux d'avoir une jeune fille à habiller comme une princesse, exaspérée par l'attitude rebelle de son aîné qu'il faut surveiller. Elle l'aime, il le sait, elle lui montre, il l'aime aussi. Un papa un peu pataud, très amoureux de sa femme, pas forcément toujours doués avec ses enfants. Parfois se voulant de bon conseil et aggravant le tout, riant pour décoincer la situation. Père pas très fiable, et pourtant stable. Il fait son métier épuisant, rentre quand même faire à manger, le ménage, enseigne comment parler au filles. Enseigne comment lui parle à son épouse. Il a des conseils vieux jeu, ringard, est-que ça marche ? Une petite sœur chouchoutée et aimée, surveillée. C'est la petite dernière, il faut faire attention à elle voyons. Elle est douce, elle est fragile, oui oui oui, on lui a déjà tout dit, tout répété. Il la surveille, sa petite sœur. Deux ans les séparent, il la protège dans la cours de récréation, il accepte de jouer aux poupées avec elle, de prendre le thé avec ses amis imaginaires et peluches. Il est son confident, son ami et son grand prince. Il l'aime sa petite sœur. Un grand frère indépendant et un peu casse-cou. Souvent au centre de l'attention pour les dernier coups qu'il a fait, parce que le proviseur à appelé, parce qu'il s'est encore battu avec un garçon de sa classe. Ne pas prendre exemple, oui, oui, il sait, on lui a déjà tout dit. Mais il l'aime quand même son grand frère. Il joue aux jeux vidéo avec lui, il écoute avec bonheur les grandes histoires de son aîné, il partage ses coups de cœurs pour une-telle, pour un-tel. Et lui, c'est l'enfant du milieu. On le surveille un peu, mais il est tranquille. On le chouchoute un peu, mais il est indépendant. Un peu moins que l'un, l'autre beaucoup plus. Il fait tout pour passer dans sa famille, comme un vent dont on oublierait vite le passage. Car finalement, il ne sait pas s'il voudrait autant d'attention positive comme sa sœur, ou être aussi surveillé que son frère. Il veut juste être l'enfant du milieu, finalement. Celui qu'on connaît, reconnaît, et oublie un peu, qui vit dans son monde et s'y protège. Il aime écouter de la musique, s'isoler parfois, la présence de tout ce monde autour de lui le fatigue, l'agitation lui déplaît. Et puis, il y a eut l'accident. « Accident ? Lui demande la jeune femme. -Un immeuble m'est tombé dessus. » Elle rigole, il rigole. Fin de la plaisanterie. Mais était-ce bien une plaisanterie ? Ça l'a un peu cassé, l'a un peu changé. Il était toujours l'enfant du milieu. Mais beaucoup plus, par tous, partout. On lui a pardonné tout, permis ce qu'il voulait. Ses études en ont prit un coup, il n'arrivait plus à vraiment finir, à vraiment continuer. L'accident. Oh, rien de grave. Il est toujours vivant et en bonne santé, rigole-t-il, alors, c'est que va ! C'est juste que ça lui a prit un peu de temps, c'est tout. Car il a vu alors que cette nouvelle tolérance à laquelle il avait le droit l’amenait à précisément ce qu'il n'aimait pas. Il était regardé, encore et encore. L'inquiétude d'un peu tout le monde. Alors, il s'est remué. Il est devenu débrouillard pour de nouveau avoir sa tranquillité chérie. Elle n'est jamais revenue, jamais totalement, c'est peut-être pour ça que le contact avec les autres ne le met pas à l'aise. Il a vite l'impression d'étouffer, il a l'impression d'avoir été au centre de l'attention bien trop longtemps. Sa famille l'appelle souvent pour avoir des nouvelles, pour savoir, il finit par les trouver un peu étouffant. Oui, il tient à eux, mais il est grand maintenant. Lui, être l'enfant du milieu, ça lui allait. Son job de barman, il l'a eut avec sa frimousse, ne sachant même pas préparer un cocktail. Puis il a apprit à la dure, se débrouille maintenant. Il se dit souvent que Paris, c'est trop cher pour lui, trop mouvementé. Mais quel formidable anonymat ! Et puis, il ne saurait pas où aller ailleurs. Et puis, il a ses habitudes. Alors, la vie est belle. Satisfaite, miss ?
Paragraphe 7: La réponse vient après :« C'est vague, ça... Tu peux pas être plus précise ? » « Un truc qui t'a marqué alors. » Il réfléchit, se mord la lèvre et penche la tête à droite, à gauche. Non, il n'a rien de spécial se dit-il. Ah, si. Il commence à laisser filer le flot de l'histoire, précisant qu'elle n'a rien de vraiment tragique. Pas de morts, pas de blessés à vie. Quelque bleus, quelques cicatrices, rien de bien important, non ? Il est vivant. La dispute gronde encore dans le 4ème étage de l'immeuble. Un grand frère qui affirme qu'il n'y a rien de grave à tout ça. Sa mère qui s'étrangle et se tourne vers son époux, en recherche de soutiens. Mais l'époux, il est bien dépassé par la situation, par ce choc des titans et ne souhaite qu'une chose : qu'on le laisse bien en dehors de cette histoire. Il rigole doucement, regarde la sortie avec envie. Anicée, haut de ses 12 ans, le voit de l’entrebâillement de la porte, se sent observé et ça le fait sourire. Il sait que ce n'est pas une dispute bien grave, sinon, papa aussi serait inquiété. Mais il sent que ce doit être super cool, grand frère Andrei a un air bien trop fier écrit sur son visage. Il veut savoir, attend avec impatience ce moment théâtrale où tout sera sur le tapis. Il imagine la scène grandiose, il imagine... ! Il n'imaginait pas pousser la porte par accident qui s'ouvre alors avec un grincement sinistre, signalant sa position à toute la salle. Et surtout, à une mère houleuse qui déchaîne les ires de sa colère sur lui. Mais il n'a rien fait, n'est-ce pas ? Il est l'enfant du milieu, celui à qui on fait moins attention. « Anicée Pavel Lénoard ! » le gamin grimace. Ce n'est jamais bon quand son deuxième prénom sort. C'est une échelle trois de colère et soudain, son petit cerveau réalise que le mieux, c'est d'attendre l’accalmie et d'en attendant, se cacher en fond de cale. Alors, elle hurle, lui écoute à peine et finit par prendre la poudre d'escampette, lâchant au passage : « J'ai rien fait, je suis au courant de rien, je ne suis même plus là ! » Et père et mère se serait bien lancé à la poursuite du fuyard, l'un pour se cacher des ennuis aussi, l'autre parce qu'elle trouve ce comportement tout à fait suspect -et pas tolérable- mais l'esprit de sacrifice est là, Andrei est grand, Andrei est beau, Andrei est fort et canalise l'attention sur lui, laissant à son frère l’opportunité de fuir pour de bon. Opportunité saisie avec entrain et bienveillance, merci Frérot. Anicée est sortit de l'appartement et se promène dans les couloir de l'immeuble. Il trottine gaiement, on le salut, il répond d'un bonsoir aussi et on rigole en se demandant de quelle nouvelle frasque son frère a-t-il bien pu encore s'illustrer. « J'sais pas, j'ai du fuir avant. - On te le reprochera pas, hein ! Bon, va pas trop loin pour ta promenade, il est quand même assez tard. -Oui, m'sieur ! » Il sort par la porte, simplet, et attend que la voie se libère. Anicée n'a pas envie de se promener. Anicée ne commettra pas cette imprudence. Il est tard, il se sent jeune, il n'a pas envie d'inquiéter sa mère à outre-mesure. Il n'a pas non plus envie de se faire interroger à tour de bras. Pourquoi devrait-il rapporter les potins, hein ? Qu'ils les créent eux même. Anicée aime bien les voisins. Mais Anicée aime aussi bien sa tranquillité avant tout. Alors, il fait croire à ses parents qu'il se promène dans l'immeuble. Il fait croire au voisin qu'il se promène dehors. Mais il a sa cachette. D'un pas souple, il se faufile dans la cave, descend avec légèreté les marches qui l'emmène à ce sous-sol merveilleux. Il soufflette une toile d'araignée qui fait la douane et avance dans le bric-à-brac bordélique de tout les résidents. Il attrape une lampe torche et l'allume. Celle-ci grésille, éclaire d'un rayon faiblard les lieux. Là, le jouet d'un tel, là, le vieux bureau d'un autre, ici, les vélos d'une famille. Il connaît chaque objet, sait leur histoires, l'en invente d'autre. Ce sont ses trésors. Il a aussi Aranéa, la grosse araignée. C'est une amie. Il l'aime bien. « Ils se disputent encore, Ar'. Oh, rien de grave, c'est une colère de niveau trois. Tu sais ! Niveau deux, c'est quand elle met prénom et nom de famille. Trois, y'a même le deuxième prénoms. Quatre, papa s'en mêle et là, c'est vraiment pas drôle. Mais un trois, ça mérite une cachette de deux ou trois heures au moins. » Il sourit quand il arrive enfin à son véritable paradis. Une grande armoire en chêne massif chargée de draps et couverture. Oui, ça sent la poussière et le renfermé. Mais quoi de mieux que de s'enfermer dans un cocon de douceur et tendresse ? Il met la vielle lampe dans sa poche, se glisse dans les couvertures et draps, se love dedans avec tendresse et savoure cet océan de tranquillité. Tellement tranquille. Tellement calme. « Réveille moi dans une heure Aranéa. » C'est un cauchemar qui le réveilla. Cinq étages qui tombent, l'ensevelissent dans un soupir. De la poussière, une odeur étouffante de fumée. Une secousse. Une secousse violente, un grondement, comme l'immeuble furieux qui gargouille à l'idée de le digérer. Groggy de sa sieste, il ne comprend pas, ne saisit pas. Une deuxième secousse. Un bruit assourdissant qu'accompagne un acouphène. Une entité vivante qui bouge et qui lui bloque la porte, l'empêche de sortir. La peur lui sert le cœur ; qui sait qu'il est là ? Il hurle, panique, il essaye d'ouvrir la porte, se cogne dedans, donne des coups d'épaule, comme dans les films. Mais dans les films, ils ne tremblent pas autant, ils ne pleurent pas autant. Et dans les films, la porte cède. Elle tient bon ici. Une autre secousse, quelque chose qui tombe. On appelle ça plafond. La vielle armoire craque sinistrement, la porte s'enfonce, se brise. Dans lui. Il sent la douleur, ne la comprend pas, se sent écrasé contre le fond, n'arrive plus à bouger. N'arrive plus à respirer. N'arrive plus à hurler. Arrive tout juste à réfléchir. Il se passe quelque chose. Personne ne le sait là. Il va mourir ? N'arrive plus à réfléchir. Adieu pensées cohérentes, elles sont les premières à céder et décéder. Une secousse, encore, encore une, puis une dernière. Il perd connaissance. C'est la douleur qui le réveilla. Le bois dans sa chair, dans son bras, sa jambes, qui côtoie les côtes. Il sent le sang mêlée à la poussière. Il sent à peine ses jambes, tout le reste lui fait mal. Bouger un bras est éreintant, l'assomme de douleur. La lampe torche. Il fait noir. Jamais le noir ne lui a fait peur, maintenant si, il le trouve étouffant, affreusement angoissant. L’étau de l'armoire semble s'être apaisée, il arrive à respirer. À peine. Chaque gorgée d'air est à la fois une souffrance et une délivrance. Il allume la lumière. La lumière grésille. Mais elle tient bon, empêche l'obscurité de s'abattre de nouveau. Elle ne calme pas la douleur, ni la peur. Il voit les draps qui le compressent, s'imbibe doucement de son sang mais l'empêche de trop en perdre. Il voit le plafond d'une armoire défoncée. Et c'est tout. Il souhaite que ça s'arrête. La douleur le rend débile. Il souhaite que ça s'arrête, maintenant. Il donnerait tout pour ça. Ça s'arrêta. Deux jours plus tard... Un incendie au troisième qui n'arrivait pas à être maîtriser. Et puis l’effondrement, l'affolement, l'évacuation. Tout le monde qui le pense sortit, les informations qui s'entrecroisent, la terrible seconde de compréhensions. Maman à hurlé, lui a-t-on raconté plus tard. Elle a essayé de retirer les décombres à la main, s'en est arraché les ongles. Papa à pleuré en essayant d'ôter ce qui était plus lourd. Grand frère à demandé pardon, encore et encore. Petite sœur dormait chez une amie. Les secours sont arrivés, ils ont déblayé, on vu la faible lumière grésiller émaner d'en bas, Sauvé par une lampe. Ils ont trouvé un corps cassé, qui s'était fait dessus, qui avait les lèvres gercés par la faim, par la soif, couverts d'ecchymose, en roulé de couverture imbibée de son sang. Il a murmuré une demande de mort. Ils ont tiré le corps, le pliant encore de douleur et il a goutté une liberté brisée, dans une prison de douleur. Il a encore invoqué la mort. Mais il n'est pas mort. Il se souvient du blanc de l'ambulance, des gens qui s'agitent. De l'étau de l'ambulance. Petite, si petite ! Il la trouva éreintante, paniquante, arriva même à trouver assez de force pour hurler d'une panique pure jusqu'à ce que les médicament agissent, jusqu'à ce que les médicament l'endorment. Et on l'a soigné. Et surveillé comme jamais. Il s'en est remit, bien même. Aujourd'hui, c'est comme si rien n'était arrivé. Il n'en fait pas de cauchemars. Presque pas. Il n'en a pas mal. Si ce n'est qu'il ne supporte plus d'être à l'étroit, ni renfermé. Les voyages en voitures sont une tortures. Il ne prend jamais le métro. S'arrête toute les deux stations en bus. Mais il s'est fait à tout ça, ça ne le gène plus vraiment. Puis y'a le noir. C'est bien Paris, pour ça, hein ? La ville des lumières. Pas les bonnes lumières, certes, qu'importe. Lui laisse tourner son écran d'ordi, une lampe, n'importe quoi. Et il relativise par rapport à tout ça, ne se sent pas spécialement victime ou malheureux. Il est vivant et en bonne santé, alors que ç'aurait pu être bien pire. C'est le principal, non ? Alors, contente, miss ?
I.R.L ✘
pseudo: Ecundemi
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age: Je suis moins âgée que mon perso ! 8D
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sexe : Like a Lady.
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découverte du forum: Partenariat.
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autre: Mon chat a mangé un chiantos ce soir. Sinon, enchantée, j'espère que vous trouverez la forme de la fiche rigolote et qu'elle dérangera pas trop. Sinon, hum. Demandez, je referais un truc plus clair.
ALTER EGO sexe indifférenttranche d'âge indifférent nature du changement de caractère -indifférentAcceptes-tu une histoire "trash" ? Ouiiip ! (Soit libre, petit oiseau 8D )
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Sujet: Re: Anicée L. -La fiche dont vous êtes le héros- Mar 20 Mai - 19:40 Coucou toi ! Un ptit message pour souhaiter la bienvenue en bonne et due forme. *Lui atchoum des paillettes dessus* ♥ La forme de ta fiche ne dérange pas, ne t'inquiète pas ! Je m'occuperais de ta fiche très bientot c; Et pinaise, un chat sous chiantos ... ça, ça doit être super dur à vivre. Allez, je te dis à bientot pour ta validation 83. Et Chaussette à toi !
Auteur Message Avatar : France | Axis Powers: Hetalia// Perona | One Piece
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Sujet: Re: Anicée L. -La fiche dont vous êtes le héros- Mar 20 Mai - 20:50 Bonjour et merci pour la bienvenue ! *hou, des paillettes ! * Prend ton temps pour la fiche, je sais être patiente aussi :) Et le chat sous chiantos, c'est pas grand chose, juste un chat qui passe partout en miaulant sans rien vouloir. Gentil minou.
Auteur Message Avatar : Are (OC) - Littleulvar
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Sujet: Re: Anicée L. -La fiche dont vous êtes le héros- Ven 23 Mai - 18:40 BIENVENUE PARMI NOUS PETIT RÊVEUR Coucou toi. J'ai beaucoup aimé ta fiche, vraiment, ainsi que ta façon d'écrire. Anicée m'a l'air d'être un chic type, faudra qu'il rencontre mon Ajay un jour, je suis sure qu'il s'entendrait bien ! Enfin quoi qu'il en soit, je n'ai strictement rien à redire sur ta fiche, à part qu'elle est cool. Sur ce, voilà ton AE ! J'espère qu'il te plaira c;
Craquelure ▬ ✘
age: Plus de 25, moins de 40. Elle n'aime pas le dire, de toute façon.
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sexe: Assurément féminin.
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orientation sexuelle: Il semblerait qu'elle soit hétérosexuelle, mais elle se revendique pourtant bisexuelle, surement pour faire plaisir à la reine.
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situation financière: Extrêmement riche, elle fait parti du premier cercle de noble et habite au palais Heart bien qu'elle ne soit pas toujours en relation avec eux, il arrive qu'elle ne voit aucun prince ou princesse de toute la journée.
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signe particulier: Ses longs cheveux bouclés font l'admiration de toute la cours, tout comme son air de poupée.
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Traits de caractère: Douce - Souriante - Rusée - Très intelligente - Jalouse - Quelque peu névrosé
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autres informations: Pour être arrivé à un niveau social aussi haut, Craquelure ne s'est pas reposée uniquement sur sa lignée et ses ancêtres. Elle a du ruser et même en manipuler certains, bien qu'elle trouve le procédé détestable. Mais elle n'a pas eu le choix voyez vous, elle devez être au plus près de la Reine. Et elle a réussi, sa Majesté l'apprécie tout particulièrement, ses grandes robes, ses longs cheveux aux boucles infinies et son visage de poupon, on dirait presque un jouet grandeur nature. Pourtant pour rester auprès de la Reine, Craquelure doit parfois faire des choses qu'elle n'apprécie pas, généralement pour contenter la nature quelque peu sadique de sa Majesté. Cependant sa vie est loin d'être dure, elle vit comme elle l'entend, entourée par le luxe et les plaisirs divers. Pour se distraire, elle loue souvent les services de
Os , une petite demoiselle des quartiers moyens. Celle-ci a l'étrange capacité de retrouver tout objets perdus et elle est aussi mignonne qu'une fleur sauvage. Bien qu'elle ne soit pas distraite ou tête en l'air, Craquelure perd de plus en plus d'objets ces temps-ci, tout ça pour faire appel à Os. La Reine pense que la petite demoiselle n'est autre que l'amante de la noble, cependant cela semble étrange, son affection ne parait pas amoureuse...
✘
avatars possibles: Perona de One Piece (♥) ou Celestia Ludenberg de Dangan Ronpa
/!\ Si l'avatar choisit ne correspond pas à la description, le staff à le droit de demander au membre de le changer, s'inscrire à Irréel c'est savoir ce qui nous attend, à savoir un personnage quasi "imposé". Mais comme on est des gentils (*auto-lancé de fleurs*), si vous avez une quelconque réclamation par rapport à votre Alter-Ego vous pouvez la faire par MP au membre du staff qui vous a validé !
Maintenant que tout est dit, tu peux enfin vagabonder comme bon te semble dans les plaines verdoyantes d'Irréel. Mais avant tout, laisse moi te donner quelques petites indications. Je te conseilles d'aller
recenser tes avatars avant ton départ, et pour être bien préparé de ne pas oublier de t'afficher avec ton Alter-Ego dans ta signature. Si tu veux on a préparé un petit codage par
ici pour qu'on voit bien de qui il s'agit ! Ensuite tu pourras enfin partir pour l'aventure ! Les premières étapes conseillées sont simple, se faire des amis et ennemis par
là , créer ton obligatoire cahier de suivi pour
Alter-Ego et si tu le souhaites, chercher un compagnon de route pour un instant dans les demandes
RP . Pour ce qui est du reste, c'est à toi de tout découvrir !
UNE TRES GRANDE CHAMBRE POUR UNE TRES GRANDE DAME Dans le palais des Heart toute les chambres connaissent des papiers peint ou des rideaux rouges. Ici ce sont les tapis, ainsi que les long tissus qui recouvrent le lit baldaquin qui sont aussi pourpre qu'une rose. La chambre sent toujours très bon, elle est parfumée tous les jours. Très parfumée même, un peu trop vous diront certains. Sur la table de chevet, quelques bijoux précieux. Dans l'armoire de grand et longue robe. Sous le lit, une boite close, en ferraille, de la taille d'un poupon.
Auteur Message Sujet: Re: Anicée L. -La fiche dont vous êtes le héros-
Anicée L. -La fiche dont vous êtes le héros-
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