Quelle splendeur de l’humanité ! Oui, si notre espèce devait avoir sept merveilles, elle serait sans aucun doute et équivalent la première ! Quelle classe et expertise de la beauté. Je dois avouer que je lui voue une admiration bien secrète. Ce n’est pas pour rien que je ne vais acheter mes produits qu’à sa boutique. Ma jeune céleste, je me rappelle depuis toujours la première fois où tu m’as demandé si tu pouvais m’aider à la boutique. Je ne sais pas si c’est vraiment de l’amour, juste une passion ou même un amusement, mais je l’avoue, je n’aurais de cesse de te poursuivre, dans ma vie ou dans mes rêves jusqu’au jour où tu daigneras m’offrir quelque chose de personnelle… oui, très personnelle.

Qu’elle femme ! Je dois avouer que dès nos premiers échanges j’ai senti un lien « palpable » entre nous. J’admire beaucoup son travail de romancière que j’aime à déguster la plus part des soirs avant de me coucher. Nous sommes devenus assez proche avec le temps et avons mis en place certains petits jeux. Entre petits rendez-vous discrets ou être missionnaire pour ses écris, j’aime lui faire plaisir. Et ces diverses activités nous ont conduits à être proches dans plusieurs termes. Car oui, au-delà du physique, c’est bien une amie que je vois devant moi.

Je pense à toi comme…

Je pense à toi comme…

Un vieux copain de collège que je n'avais pas vu depuis dix ans. Nous avons vécu quelques années bien sympathiques. Je me rappelle plus très bien de ce temps, mais j'espère le revoir et le fréquenter de nouveau. En plus, avec les années il est devenu mignon… non, je dirais beau plutôt. Oui c'est vrai que son physique est devenu appréciable. Enfin, bon, c'est ce que je pense et j'attends de voir ce qu'il pense.

Comment dire… Je ne peux pas apprécier quelqu’un qui essaie sans cesse de me pourchasser et de me cerner. Je hais ça. Bien que pourtant il me ressemble physiquement, (en moins jolie, merci), cet homme m’effraie. Je souhaite de tout cœur ne plus jamais recroiser sa route… Bien que ça arrive trop souvent. Bon sang, j’espère qu’il ne découvrira jamais où j’habite !

Ho ! Mon cher ami, quel plaisir de vous revoir… Pathétique ! Et pourtant, voilà le genre phrase que je dirais en le voyant. Oui, il est beau. Oui, il prend soin de lui. Mais tout de même ! Je vous en prie, n’ayez pas d’yeux que pour lui. C’est dingue mais le peu de fois où je le croise, je pense me voir. Je jalouse un peu son physique, je l’avoue. Mais juste le physique ! Il possède les quelques centimètres qu’il me manque… Mais qu’importe ! Heureusement mon visage est bien plus parfait, sertie de deux émeraudes parfaites en guise d’yeux là où lui n’a que deux pauvres noisettes. Mais malgré tout, j’imagine que je ne lui dis pas ce que je pense car il est bien sympa. Ouais… on a tous ses faiblesses. Mais de vous à moi, ça n’empêche pas qu’il reste une des personnes que je risque de voir arriver à mon bureau, me suppliant de lui trouver une situation. Il n’y a pas que des mauvais cotés à ce boulot.

Je pense à toi comme…

Je pense à toi comme…

Dans tes yeux les clartés trop brutales s’émoussent.
Ton front lisse, pareil à l’éclatant vélin,
Que l’écarlate et l’or de l’image éclaboussent,
Brûle de reflets roux ton regard opalin.
Ton visage a pour moi le charme des fleurs mortes,
Et le souffle appauvri des lys que tu m’apportes
Monte vers tes langueurs du soleil au déclin.