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I'm poor lonesome cowboy ♪

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Jean C. | Anonyme


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Jean C. | Anonyme
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MessageSujet: I'm poor lonesome cowboy ♪ I'm poor lonesome cowboy ♪ Icon_minitimeDim 10 Aoû - 21:58

→ Jean Couturier ←



feat. Badou Nails | DOGS: Bullet & carnage
CARTE I.D

age: trente-quatre ans
sexe: masculin

date de naissance: cinq août soixante-dix-neuf
lieu de naissance: Evreux, Normandie

statut: divorcé. Deux fois.
orientation sexuelle: les hommes, c'est plus doux

métier: avocat
situation financière: il manque pas de sous, ça on peut le dire

signe particulier: un oeil en moins, par exemple. Et des petites cicatrices au centre de ses mains.

autre: il fume comme un pompier, collectionne les romans policier, a un canard en plastique qu'il affectionne tout plein.

→ Sec et dur

Oh il fait chaud. Si bon dans cette couette épaisse. Tu ne te lasseras jamais de la qualité de ces draps. Si doux, si moelleux. Un parfait cocon. Mais pourtant le réveil sonne, tu l'entends, tu grognes et tu râles mais il sonne quand même, toujours. Tu soupires alors et te redresses, restant emmitouflé dans laa couette que tu tiens fermement contre toi. Tu attrapes l'appareil diabolique et l'arrêtes prestement. Tu bailles. Tu t'étirerais bien mais tu n'as pas la force de soulever cette lourde couette. Quelques mèches de tes longs cheveux roux glissent sur ton visage, tu souffles dessus pour y voir plus clair. Puis tu te lèves. Traînant avec toi l'informe tas blanc de couvertures, tu te diriges devant un grand miroir cloué au mur. Très grand, très haut surtout. Il faut avouer que les murs sont hauts chez toi, chez tes parents plutôt. Tu observes un instant ta mine endormie, baille une seconde fois, puis laisse tomber la couette.

Tu es quasi nu en-dessous, un simple boxer noir pour cacher ce qu'il ne faut pas voir. Tu t'observes, tu penches la tête sur la droite, puis sur la gauche. Tes cheveux suivent le mouvement, tombent sur tes épaules dénudées. Tu te regardes, encore, tu lèves ta main et vient pincer un peu de peau sur tes hanches. C'est bizarre, cette impression de grossir alors que tu n'as que la peau sur les os. Ça, c'est sur, tu es fin et sec comme une branche, assez grand qui plus est. Ton torse est légèrement dessiné, assez pour que tu n'ailles pas faire du sport, tant mieux, le sport, tu n'aimes pas particulièrement. Ta peau est douce sous tes doigts, blanche et diaphane. Cependant, cette peau de marbre est parsemée de taches de rousseur, au niveau des pommettes, des coudes, des genoux, et des épaules. Comme un dalmatien, tu les trimbales partout avec toi, ces petites taches. Gamin, tu ne les aimais pas trop, maintenant, elles sont de fidèles amies.

Ces taches, tu les as parce que tu es … roux. Oui, oui, hérétique au bûcher, tu l'as déjà entendu milles fois, ce refrain. Il n’empêche que ça apporte quelques trucs sympa. Peu de poils, des cheveux tout doux et pas mal de succès auprès des minettes. Pas qu'elles t’intéressent … pas maintenant en tout cas. Après avoir regardé ton torse, tu observes tes bras, maladroits mais fermes, tes poignets bien trop fins et tes mains. Tes longs doigts, tu les tends vers l'avant, observe le miroir et aperçoit ces fameuses cicatrices qui te cisèlent les paumes. Tu refermes tes mains, observes tes cuisses, tes genoux noueux. Malgré tout tes petits défauts, tu es charismatique. Malgré ton âge, tu tiens la forme. Ou du moins tu l'espère. Et quand tu te retournes et te baisses pour ramasser ta couette, tu loupes la vue de tes jolies petites fesses.

Tu files ensuite dans ton dressing, grand appartement oblige. Tu regardes un peu tout, hésite. C'est un  dimanche aujourd'hui, le jour saint. Ahah. En tout cas, tu ne travailles pas, alors tu perds tout de suite de vue les costards qui s’enchaînent sur les portants. Tu finis par porter ton choix sur un tee-shirt bordeaux et un jean assez serré qui mettra à tous les coups ta silhouette en valeur. Tu finis le tout par des chaussures en cuir, un peu larges mais pas trop. Ton élastique noir au poignet, il te sert à remonter tes cheveux en un chignon lâche. Alors que tu t'apprêtes à partir, tu croises un autre miroir. Tu t'arrêtes et observes ton visage. Tu as la mâchoire fine mais carrée, des traits anguleux, secs. Tes pommettes saillantes font ressortir un côté légèrement androgyne que tu t'es découvert il y a peu. Un œil vert cerné de cils clairs, l'autre clos de façon immuable, une large cicatrice le tranchant. Ta bouche est fine, masculine. Ton cou est un peu plus long que la moyenne, fin, mais bien souvent recouverts de tes longs cheveux. Avant de partir, tu attrapes le cache œil sur la table de chevet, tu le met tranquillement. Là, tout va bien.



Au coeur mou ←

Jean … Jean qui es-tu ? Pour le monde extérieur, pour les passants qui es-tu ? Tu es un homme aux cheveux étranges, avec un cache-oeil, c'est bizarre. Mais tu es un homme en costard, une mallette à la main. Toujours propre, toujours chic, semblerait-il. Alors ils pensent que tu es quelqu'un d'important, un homme riche qui peut faire ce qu'il veut sans avoir peur des retombées, car il pourrait toutes les étouffer. Et puis on te voit entrer dans un cabinet bien particulier. Il faut dire que l'immeuble, ancien et pourtant rénové, il annonce tout de suite la couleur. Il pue le luxe à plein nez. Et à coté du hall d'entrée, sur le mur, il y a clouée une petite plaque dorée qui indique où tu va. Oh, il y a aussi un dentiste et un kinésithérapeute, mais toi, tu as plus la figure d'un imminent avocat. Bon, d'un avocat en tout cas. Un avocat mais pourquoi ? Tu as toujours eu un sens aigu de la justice. L’iniquité te débecte, l'injuste et la trahison t'affole et pire que tout, le vol t'insurges. Tu ne peux pas t'en empêcher, toutes ces petites choses t’agacent. Alors ça a bien aidé, quand il a fallut choisir une grande carrière, tu savais directement là où tu voulais aller. Tu voulais aider les victimes et enfermer les bourreaux. Un peu comme un super-héros. Non, mieux que ça, un peu comme un détective. Oh, ça tu aurais adoré. Être un inspecteur c'est bien, un détective, c'est mieux. N'être sous le contrôle de quasi aucune juridiction, sauver des innocents. Être un Sherlock Holmes, un Hercule Poirot, ce genre d'homme, fictionnels certes, mais que tu adules. Il suffit de voir ta bibliothèque, une collection impressionnante d'histoires noires et d'enquêtes, tout pour ton propre plaisir.

Peut-être qu'à force de lire des écrits sur des personnages aussi emblématiques, tu t'es inconsciemment inspirés d'eux. Peut-être en effet. Après tout, qui peut être aussi flegmatique, ironique, et amusé du moindre détail que le grand détective britannique à la pipe bien cirée ? Pas grand monde. Et pourtant toi, comme si c'était dans tes gènes, tu l'es. Coulant dans tes veines, tu es piquant tout en étant parfaitement lisse. Détaché et quelques peu distant des situations du quotidien, tu promènes ton œil amusé sur les gens, leurs problèmes, la vie en général. Calme, tu aimes t’asseoir et observer, écouter plutôt que de parler. Tant que rien ne t’interpelle. Mais si tu trouves sujet à être défendu alors tu te met à parler, tu déblatères et essaye de prouver par A+B que tu as raison. Plus un sujet te tiens à cœur plus tu va mettre du tiens dans le débat. Tu es un véritable passionné. Il le faut bien après tout, pour collectionner bien plus d'une centaines de livres, auteurs classés par ordre alphabétique et romans par dates d'édition. Il faut aussi être passionné pour survivre à tant d'années de droit et défendre des personnes qui n'en ont pas les moyens. Cependant … il n'y a pas que dans ces cas de figures précis que tu es un passionné …

On le sait, passion rime avec amour. Et pour toi … amour rime avec déception. Encore une fois, quand tu t'emballes, rien ne t'arrête. Romantique dans l'âme, tu n'acceptes d'avoir des relations qu'avec les personnes que tu penses sincèrement aimer. Rêveur, tu t'imagines pour toi une vie paisible, alors que celle des autres, que tu observes, est chaotique. Il t'es arrivé d'avoir des coups de foudre, et tu l'as bien malheureusement regretté. Aveuglé par tes beaux sentiments et l'admiration que tu portes à ton aimée, tu oublies bien souvent les défauts, les tares, et ne voit pas les signes avant-coureur d'une relation qui va tourner au vinaigre. Malheureux, malheureux. Ta première femme, un coup dur, une pointe dans le cœur. Et la seconde, encore une fois tu n'avais rien vu. Alors  tu deviens un peu aigri, juste un peu, juste contre les femmes. Elles sont manipulatrices et égoïstes, elles ne pensent qu'à elles. C'est injuste et toi, on sait que l'injustice, tu n'aime pas ça. Et puis, tu essayes de te dire que c'est leur faute, parce qu'au fond, tu ne veux pas admettre que tu es un peu naïf. D'ailleurs cette facette de toi, elle ressort souvent quand tu fais ta bonne poire. Des qu'une personne est ton amie ou est considérée comme proche de toi, tu lui fais aveuglement confiance, c'est ainsi que même tes sœurs arrivent à te piéger, ce que tu ne réalises que des jours ou des semaines après.

Pour couronner le tout t'es un peu malchanceux, un peu … beaucoup. En plus d'être maladroit, parfois. Tu te fourres toujours dans des situations pas possibles. Si quelqu'un doit se faire voler son porte-monnaie dans la rue c'est toi. Si un mari cocu court dans la rue à la recherche d'un amant vite parti, il te tombe dessus. Si quelqu'un botte le derrière de son ami et part en courant, l'ami en question te massacres du regard. Si un pervers touche les fesses d'une femme, c'est toi qui reçoit la baffe. Autant de mésaventures dignes d'un héros de bédé mal luné. On dit que ce n'est que du hasard, mais toi sans nul doute, tu files un mauvais karma. Tu n'y peux rien c'est comme ça, et puis avec le temps, tu as finis par développer quelques techniques bancales pour t'échapper de situation douteuses. Bien que, quand on glisse un paquet de coke dans ta valise, à l'aéroport, c'est parfois dur de se justifier. Enfin, encore heureux, tu connais quelques avocats plutôt doués.

Bon sinon, on parle de ce que tu n'aimes pas .. Mais et ce que tu aimes ? Tu aimes la paix, la tranquillité. Tu aimes le jazz, la musique celtique et quelques rock de temps à autres. Tu aimes la cigarette. Les kebabs. Tu aimes traîner dans des bars, oser parler à des inconnus. Tu aimes ne rien faire. Tu aimes discuter de grands sujets pour finir par dire que tu n'y connais rien. Tu aimes les étoiles. Tu aimes les hommes, sûrement plus que les femmes à présent. Tu aimes les mauvais films de science-fiction. Tu aimes toute sorte d'uniforme. Tu aimes les chats, mais à la maison, les gens n'en veulent pas. Tu aimes ta liberté mais aussi ton confort. Tu aimes flâner. Tu aimes les promenades. Tu aimes l'eau. Tu aimes ton métier. Tu aimes ta famille. Tu aimes beaucoup de choses mais ne le montre que peu souvent. Parce que ce que tu préfères, c'est t’asseoir et regarder les autres. Oublier ton passé, ton avenir, ton présent, et te concentrer sur tes pensées. Parler un peu, fumer. La vie peut être un fleuve tranquille, si on accepte de se laisser porter par le courant.


→ PERE CASTOR ←
1979 … Ah … Quelle année … Le premier Alien, Les Bronzés font du ski, London Calling des Clash et le fameux Highway to Hell d'ACDC. Quel meilleur environnement pour naître ? Aucun n'est-ce pas ?  Tant mieux, car c'est à cette période là qu'est né Jean. Le cinquième jour d'août, plus précisément. Alors que la chaleur plane sur la ville, oui, même en Normandie. Sincèrement, il n'avait pas à se plaindre, premier enfant d'un couple plus qu'heureux, il fut choyé et chouchouté comme l'est tout aîné. Autorisé à faire plus de choses que les suivants, parce qu'il est la prunelle des yeux de ses parents, et que pour l'instant, il est tout seul. Cependant, ne nous méprenons pas, ses parents l'ont parfaitement éduqué, preuve en ai que même venant d'une riche famille, il n'est pas devenu un de ces gamins fiers et arrogants qui se croient au-dessus de tout. Au contraire, il a hérité de ses parents leur ouverture d'esprit et leur bonté innée.

Sa petite enfance se passa des plus normalement, il apprit à parler, marcher et faire sur le pot, à son rythme, normalement. Il commença à faire ses nuits assez vite et n'était pas particulièrement pleureur ou capricieux. Tout était, en somme, plus que normal. Il y eut juste un léger incident, le genre qui coûte un œil pour une bêtise. Dans la maison de papa et maman, il y avait une porte-fenêtre qui menait jusqu'au jardin, toujours impeccablement lavée, du genre qui donne l'impression qu'il n'y a pas de porte. Elle était fêlée, après qu'une chaise de jardin soit tombée dessus, papa s'entravant dedans. Et une fois, alors que le petit Jean jouait à « attrape moi si tu peux » avec maman, il a couru sans regarder vers la baie vitrée. Maman a eut beau crier de ralentir, il n'eut pas vraiment le temps. Badaboum. Comme il disait. Un bout de verre dans l’œil droit. Aveuglé, l'enfant qu'il était alors essaya de se redresser, se coupant plusieurs fois l’intérieur des paumes. Heureusement maman était là, elle attrapa le petit bout et fila à l’hôpital sans plus attendre. L’œil était déjà mort mais au moins, il n'y avait pas d'autres séquelles et la plaie n'était pas infectée. Ça faisait très mal au début, et il avait envie de gratter, mais il avait un gros pansement dessus, pour éviter ça. Et puis au fur et à mesure des semaines, des mois et des ans, il ne sentit plus la douleur.

Onze ans plus tard, un petit bout est venu rejoindre la famille. Alors au départ, quand maman était enceinte, Jean n'était pas très content. Lui il voulait continuer à être tout seul, il voulait qu'on s'occupe de lui, parce que comme tout enfant, il était un peu égoïste. Et puis cette … chose n'était même pas née, et déjà on ne s'occupait que d'elle. Il se souvient encore quand maman à eu ses contractions et qu'il a fallut l'emmener à l’hôpital, pendant tout le trajet il boudait. Quand il du sortir de la chambre, il boudait encore. Cependant, lorsque papa l'a appelé, parlant tout doucement, pour qu'il vienne voir le bébé il y alla, assez curieux. Sa première réaction fut une moue de dégoût et un sourcil froncé. C'est moche, faillit-il lancer sans tact. Mais à ce moment là, bébé ouvrit les yeux. De tous petits yeux, il fallait avouer, et un peu boursouflés qui plus est mais … déjà si expressifs. Il ne comprit pas trop pourquoi, mais il était sous le charme. Il allait devenir un super grand frère, le genre dont elle serait fière. Et hop, deux ans plus tard, rebelote. Sauf que cette fois-ci c'était un garçon de douze ans heureux comme un roi dans la voiture, racontant à sa toute petite sœur, comment tout allait se passer, bien que celle-ci ne puisse pas vraiment comprendre. Jean, Coraline et Juliette, un beau trio.

Trois enfants à la maison, faut avouer, ça fait pas mal de bêtises. Ouaip, et des coups tordus, et les deux petites sœurs qui s'allient pour tromper le grand, un peu trop naïf, déjà. Cependant ils étaient généralement adorables entre eux, et tendres. Ils faisaient toujours attention aux autres, sûrement parce que la petite Coraline avait quelques problèmes, bien qu'ils ne se soient jamais figuré la chose comme telle. Pour eux, elle était juste … dans son monde, et cela ne la rendait que plus mignonne encore. En grandissant, Jean pris conscience du mal-être que pouvait engendrer sa « maladie » à Coraline. Dur de se faire des amis par exemple, cependant il était toujours là pour elle, au moindre problème, prêt à être le grand frère vengeur si il le fallait. Et prêt à défendre Juliette aussi ! C'était la plus jeune après tout, même si c'était moins visible. Jean avait toujours eu ce côté … justicier, et il ne lui fallut pas longtemps, à la sortie de son lycée, son bac en poche avec mention, pour se décider sur la voie à suivre. Du droit, c'était ce dont il avait envie.

Pendant ses études, il rencontra une demoiselle incroyablement belle, douce, charmante, intelligente, rigolote. La femme parfaite. Elle et ses longs cheveux blonds, si lisses, si doux … Il en tomba éperdument amoureux, et il semblait qu'elle aussi. Pour être tout à fait franc, c'était son véritable premier amour, rien à voir avec les bisous sur les lèvres du collège, et les ''petites amies'' du lycée auquelles on demande « tu veux sortir avec moi ? ». Quoiqu'il en soit, romantique, il se laissa emporté. Il passait beaucoup, beaucoup de temps avec elle, quitte à négliger ses amis. Elle était très bien élevée et ses parents l'aimait beaucoup. Un an plus tard, il l'a demanda en mariage, dans un restaurant chic, en costard, une rose dans la poche. Bref, le rêve. Et tout se passa bien, pendant … une année. Et puis elle le quitta. Là comme ça, pouf. Sans rien dire ni expliquer, elle est juste partie. Et il lui fallut beaucoup, beaucoup de temps pour s'en remettre. Deux ans à vrai dire. Et il du repasser une année.

Alors qu'il entrait en cinquième année d'étude, pour la deuxième fois, un ange tomba du ciel. Oui un ange, encore une demoiselle magnifique aux cheveux blonds comme les blés. Et … le voilà qui tombe encore amoureux. Ses amis, sa famille, tout le monde se méfie et pourtant, personne ne trouve rien à redire, cette demoiselle est parfaite à bien des abords. Alors voilà, un an plus tard, il se lance à l'eau une seconde fois. Mariage en grande pompe, la famille les amis, le bonheur. Cependant, le bonheur s'est bien vite teinté d'amertume. Il semblerait que l'ange immaculé ai un péché, l'avarice. Toujours entrain de demander plus de cadeaux, plus de sous, et elle arrête de travailler, et elle va se plaindre auprès des parents de Jean. Dieu, il déteste ça. Il se fâche, elle fait la victime, il se sent piégé, et ça l’agace plus que tout. Il s'en veut d'être naïf, bonne poire, et tout ce qui s'ensuit. Alors il demande le divorce et … il l'obtient après .. deux ans de dure lutte. Évidemment une vipère est une vipère jusqu'au bout, la demoiselle ne comptait repartir sans avoir pompé le plus d'argent possible.

Alors après ça les femmes, les histoires d'amour, les mariages, c'était plus trop son truc. Il passa aux hommes, assez facilement, peut-être qu'il avait ça dans l'sang ? Et puis, il eut un petit ami, un truc sérieux mais pas trop. C'est lui qui l'a quitté, ce n'était … pas assez. Il a finit ses études, dans la moyenne, il a réussit en tout cas. Sa famille l'a rejoint à Paris, pour son plus grand plaisir. Il a prit une année sabbatique, pour s'occuper de sa sœur, travailler le projet de cabinet d'avocat avec des amis de la faculté. Et puis finalement ça ne s'est pas fait, mais il a intégré un charmant cabinet, un an plus tard. Il y a deux autres personnes, un homme, le « patron », et une femme, charmante et drôle, qui ne peut s’empêcher de vouloir le caser avec n'importe lequel de ses amis, gay ou pas. Il vit sa vie, plutôt tranquille, une cigarette au bec et des romans policiers dans sa bibliothèque.


I.R.L
C'est l'histoire d'une licorne. Elle aime les membres qui peuplent Irréel. Alors elle fait un DC. Narmol. ♥

*paillettes*
ALTER EGO
sexe
indifférent
tranche d'âge
indifférent
nature du changement de caractère
indifférent
Acceptes-tu une histoire "trash" ?
[O]
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Jean C. | Anonyme


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MessageSujet: Re: I'm poor lonesome cowboy ♪ I'm poor lonesome cowboy ♪ Icon_minitimeJeu 14 Aoû - 0:59
Cette fiche est ter-mi-née ♥
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Coraline C. | Aiguille
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MessageSujet: Re: I'm poor lonesome cowboy ♪ I'm poor lonesome cowboy ♪ Icon_minitimeJeu 14 Aoû - 1:06
Je me sentais presque mal pour Jean en lisant ta fiche xD
Elle est très bien écrite et tout, franchement l'histoire j'adore o/

J'approuve cette fiche Cool
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Maxime W. | Swatch
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MessageSujet: Re: I'm poor lonesome cowboy ♪ I'm poor lonesome cowboy ♪ Icon_minitimeJeu 14 Aoû - 9:48
Je te fais ton AE demain soir alors ma Jayjou ♥ :D
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Maxime W. | Swatch
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MessageSujet: Re: I'm poor lonesome cowboy ♪ I'm poor lonesome cowboy ♪ Icon_minitimeSam 16 Aoû - 9:25
RE-BIENVENUE PARMI NOUS MA JAYJOU ♥Jean il est juste.. génial *w* j'adore comment tu l'as décris itout itout. Une fiche vraiment superbe ♥ ( bon par contre, le pauvre kamême xD )
Voilà ton AE, j'espère qu'il te plaira c:   ~

Semmi ▬

age: 20 .. ou bien 30 .. ou bien entre les deux...
sexe: Masculin.
orientation sexuelle: Rien. ou tout. Il s'en fiche. Il part du principe qu'il n'y a pas de principe en sexualité. Ca vient. Ou pas.
situation financière: Riche. Mais ça ne se voit pas dans sa façon d'être, de vivre.

signe particulier: Le temps ne semble pas avoir eu d'emprise sur lui depuis ses 20 ans. Il ne vieillit plus, ne change plus. Et ses cheveux poussent si lentement que parfois il se demande s'ils poussent encore. Et pourtant, depuis ses vingts ans, il a des cheveux blancs. Blancs naturellement, sans racines. Comme un vieu.

Traits de caractère: Semmi, c'est le genre de personne que l'on ne peut pas embêter. Parce qu'il part au quart de tour. Parce qu'il prend tout mal. Il voit des allusions mauvaises sur sa propre personne dans la plus part des propos qu'il entend. Semmi, c'est ce genre de personne qui n'a pas du tout confiance en elle. Et qui, paradoxalement, à l'impression d'être le centre du monde. Quand tout va mal, c'est forcément à cause de lui. Quand tout va bien aussi, mais ça, ça arrive rarement. Oui, car il y a toujours quelque chose qui vient froisser son bonheur. Un coup d'oeil qu'on lui porte et qui lui donne l'impression d'être jugé. Un sourire gentil qui le persuade que l'on se moque de lui. Pour surmonter ce manque de confiance, Semmi s'essait à l'humour. Mais quand on ne rit pas à l'une de ses blagues, le monde s'écroule. Il est nul, c'est de sa faute. Et puis bon, un peu la faute des autres aussi, parce qu'ils n'ont pas compris sa blague. Alors il peut la répêter, sa blague. Se persuadant que c'est parce qu'il n'a pas été entendu. Parce que s'il ne se persuade pas de ce genre de petit détail, Semmi, il risque la dépression. Alors il se ment parfois à lui même, pour se rassurer. Pour se renforcer.

autres informations: Il a un anneau autour du pouce gauche. Avec lequel il joue dès qu'il se sent mal à l'aise. C'est à dire souvent.

avatars possibles: Niou Masaharu ( Prince of Tennis ) / Sakata Gintoki ( Gin Tama )

/!\ Si l'avatar choisit ne correspond pas à la description, le staff à le droit de demander au membre de le changer, s'inscrire à Irréel c'est savoir ce qui nous attend, à savoir un personnage quasi "imposé". Mais comme on est des gentils (*auto-lancé de fleurs*), si vous avez une quelconque réclamation par rapport à votre Alter-Ego vous pouvez la faire par MP au membre du staff qui vous a validé !


Maintenant que tout est dit, tu peux enfin vagabonder comme bon te semble dans les plaines verdoyantes d'Irréel. Mais avant tout, laisse moi te donner quelques petites indications. Je te conseilles d'aller recenser tes avatars avant ton départ, et pour être bien préparé de ne pas oublier de t'afficher avec ton Alter-Ego dans ta signature. Si tu veux on a préparé un petit codage par ici pour qu'on voit bien de qui il s'agit ! Ensuite tu pourras enfin partir pour l'aventure ! Les premières étapes conseillées sont simple, se faire des amis et ennemis par , créer ton obligatoire cahier de suivi pour Alter-Ego et si tu le souhaites, chercher un compagnon de route pour un instant dans les demandes RP. Pour ce qui est du reste, c'est à toi de tout découvrir !


UN PEU DE DÉCORATION

Ta chambre, elle est vide. Un lit, une commode. Des vêtements sobres. De bonne qualité. Mais sobre. Un bureau aussi. Sur lesquels sont entassées plusieurs blagues. Des blagues que tu écris toi même, avant de les sortir en publique. Pour te rassurer. Des blagues mauvaises. D'autre bonnes. Un petit pelucha aussi. C'est ton publique test. C'est celui que tu prends dans tes bras quand tu as l'impression que le monde t'en veut.
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Fantôme
Avatar : Are (OC) - Littleulvar
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MessageSujet: Re: I'm poor lonesome cowboy ♪ I'm poor lonesome cowboy ♪ Icon_minitimeDim 17 Aoû - 21:20
Nyaaaah =w=
Il est trop trop choupiiiiiii ♥ Mefi beaucoup *v*
*bisoute maxou*
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MessageSujet: Re: I'm poor lonesome cowboy ♪ I'm poor lonesome cowboy ♪ Icon_minitime
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I'm poor lonesome cowboy ♪

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