Si je vous parle d'un jeu, sans dire son nom, seriez-vous capable de me dire de quoi il s'agit ? Personnellement, je ne pense pas. Peut de personnes sont capable d'un tel exploit. D'un coup, vous pensez à Aries Tatsumi, du genre : « elle c'est sûr elle en est capable ! » *Bah non, désolé de casser votre délire de chien errant * … Aries, ici c'est moi la narratrice, tu n'as pas à intervenir avec tes pensées qui n'ont absolument aucun intérêt au bon déroulement de ce Rp. Dans ce monde, il y a dix types de personnes : celles qui comprennent le binaire, et celles qui ne le comprennent pas. Cella n'a aucun rapport, mais Aries, elle est une personne très... Enfin, vous comprendrez plus tard. Voyez-vous, la race que tout le monde connaît les « Geek » sont des êtres humains, si l'on peut appeler cela des humains, qui restent enfermé chez eux afin de jouer sur leur consoles. D'autre « Geek » moins expérimenté, sont dans des CyberCafé car privée d'internet par ces tyran qui les nourrisse. Mais Aries, oui, Aries, est une Geek très spéciale ! En effet, aujourd'hui, comme il faisait beau, elle prit l'initiative d'aller geeker... DEHORS ! Oui, ça choque dis comme ça et pourtant c'est vrai... *Oui, enfin je suis sortit car sinon y aurait pas eu de Rp, hein... * Tout à fait, mais ça les lecteurs ne le savent pas !

Bref, et quel meilleur endroit de feindre le fait de se cultiver que de se rendre près d'un musée ! Effectivement, Aries eu cette bonne idée, dans une petite ruelle légèrement sombre qui ne signifiait rien de bon, ce trouvait cette jeune geekette de vingt ans, accroupi, en train de battre Red au Mont Argentée avec son équipe lvl 95. Cette ruelle se trouvait juste à côté d'un musée, manque de bol pour notre chère Aries, dans ce mussée, aujourd'hui, ouvrait l'exposition du pays des Indes. De plus, il y avait un invité spécial, le Prince Ajay Tarendra. Comment je sais tout ça ? Internet vous connaissez ?!

Alors, avec un invité aussi spécial, il est normal que l’ouverture ameute du monde, principalement des paparazzi. Oui, ces gens faisant plein de bruit armé d'un appareil photo, de caméra et de micro. Les seuls personnes au monde, si je puis dire, pouvant troublé et déconcentré la jeune Aries pendant qu'elle était dans ses jeux adorés. Donc, je peux vous avouez que quand des cris de stupeur tel un Justin Bieber s’élève dans les cieux... C'est la vie de la 3DS qui est en jeu... Pour ne pas s'énerver comme elle l'avait fait sur sa télévision lorsque ses piles l'avaient lâché. La jeune femme ferma sa DS pour la mettre en mode « veille » afin de voir ce qui se passait exactement. Le Prince était sortit du musée, alors l'attroupement de monstre muni d’œil lumineux ne pouvaient s'empêcher de crier...

Mais, le plus amusant, ce fut de voir le Prince commencer à courir, sûrement pour échapper aux paparazzi. Bien sûr, ces derniers ce mirent eux aussi à courir à sa poursuite tout en lui demandant de s'arrêter. Le plus surprenant, était que le Prince courait dans la rue principale, et qu'il était sur le trottoir où se trouvait la ruelle habité par Aries. Lorsque le Prince arriva à hauteur de la petite rue, la demoiselle soupira, et avec rapidité l'attrapa par le col, l’amenant dans la ruelle, contre le mur et plaqua sa main libre sur la bouche du Prince afin qu'il ne se mette pas à crier qu'une tarée venait de le kidnapper...

Après, tu vois toute la foule continuer à courir, sans se demander où était le prince, sans regarder par la ruelle... Aries attendit un petit moment avant de lâcher le Prince et de dire en allant reprendre sa console :

« J'espère pour vous qu'en Inde les personnes ne sont pas aussi bruyante... Enfin, au moins je vais pouvoir finir mon jeu comme ça... »

HRP:

Bon, que dire de tout ça ? Cette exposition était intéressante ? Je n'en savais rien, personnellement je m'étais ennuyé, tout ça me semblait affreusement banal et je trouvais idiot d'exposer de tels objets mais surtout idiot de payer pour voir ça. Quoiqu'il en soit le directeur du musée semblait ravi de ses acquisitions et une simple remarque semblait le faire planer dans des cieux inconnus. Je décidais donc que peu importe mon avis je ne dirais que du bien de cet endroit. Cependant je n'autoriserais pas la rediffusion, la citation des mes mots car si ces 'pièces de collections' semblaient magnifiques pour ses européens pour moi ce n'était que de la camelote. Des masques, des couronnes, des éléphants sculptés, des Bouddha, des Bouddha, des Bouddha … Auraient-ils pu faire plus de stéréotypes et plus de clichés ? Sincèrement, j'en doutais. Cependant je ne pouvais pas dire la vérité, je ne pouvais pas dire ce que je pensais, pourquoi ? A cause du politiquement correct, ou plutôt à cause de la politique tout simplement. En quoi cela avait rapport avec moi ? Attendez … vous ne savez pas qui je suis ? Mais voyons ! Je suis le Prince des Indes, aussi surnommé le Prince des Etoiles dans mon pays, en référence à mon nom de famille car c'est ce qu'il signifie. Non, vous ne voyez toujours pas ? Incultes. Je suis Ajay Tarendra.

Prince et ambassadeur des Indes j'étais tout désigné pour faire ce genre de chose, pour aller inaugurer des expositions bidons pour faire plaisir aux maires des capitales. Ce-dernier n'avait d'ailleurs pas pu résister à prendre une photo avec moi, demain je serais dans le journal, banalité encore et toujours. Je détestais les photos, c'était quelque chose dont j'avais horreur, une photo quel qu’elle soit est mauvaise. Soit elle ne vous met pas en valeur, soit elle vous rappelle de mauvais souvenir ou encore elle vous montre comment vous étiez bien, avant. Enfin, cela ne s'appliquait pas à moi n'étais-je pas toujours magnifique ? Quoiqu'il en soit, pour le principe, je n'aimais pas les photos. Malgré tout j'affichais un sourire magnifique à coté de ce vieux croûton, voilà je n'aurais rien à regretter, ou presque. La fin étant arrivée j'adressais un petit discours à tous les dirigeants qui étaient présents. Dans celui-ci je vantais cette exposition, ses pièces et l'énorme travail qu'avait du effectué tous ceux qui s'occupaient de l'endroit. Des applaudissements, une coupe de champagne et voilà c'était réglé. Je finis la boisson rapidement, vraiment bon ce champagne français, on leur devait ça au moins. Bon maintenant je sortais et mon hôtel n'était qu'à deux pas de là je ne devrais pas avoir de problèmes particuliers …

Ah. Loupé. Face à moi une foule impressionnante de photographes, journalistes et autres paparazzi dans le genre. Pire que les photos, ceux qui les prenaient. Je mordais ma lèvres compulsivement, comment allais-je échapper à ces idiots ? Les européens étaient vraiment agaçants, leurs pratiques louches pour obtenir les photos de leur magazine people avaient tendance à me mettre en nerf. Bien, comment pourrais-je faire ? Il y avait une issue à droite mais sachant qu'ils observaient tout mes faits et gestes ils comprendraient bien vite ma manœuvre alors il fallait que je trouve une solution. Oh ! Mais bien sur, pourquoi n'y avais-je pas pensé avant ? Je prenais soudain la pose un sourire des plus charmeur aux lèvres, les voici tous derrière leurs appareils et maintenant … Courir vite, très vite ! J'entendis la foule derrière moi mais je continuais quand tout à coup je fus emporté sur le coté.

Mon premier réflexe fut de crier, du moins d'essayer, mais une main pâle s'était plaquée contre mes lèvres et je ne pouvais faire un bruit. Cessant de mouvoir mes lèvres je regardais alors mon tortionnaire .. Ah non, ma tortionnaire, il s'agissait d'une femme, plutôt jolie au premier coup d'oeil … Elle possédait de longs et lisses cheveux noir de jais qui contrastaient avec ses yeux océans, clairs mais profonds. Grande elle possédait les formes d'une femme je dirais de proportion normale, généreuses mais pas énorme c'était plus plaisant selon moi, peut-être parce que je préférais les hommes … Enfin elle me lâcha alors, avec un grognement je lissais ma chemise blanche puis regardais la rue dans laquelle je courrais, un peu auparavant, il n'y avait plus personne, ces idiots de paparazzi m'avaient loupé. Bien, je lui étais donc redevable, pas que ca m'importe mais bon c'était toujours quelque chose à noter.

« J'espère pour vous qu'en Inde les personnes ne sont pas aussi bruyante... Enfin, au moins je vais pouvoir finir mon jeu comme ça... »

Je la regardais, elle savait qui j'étais donc, elle avait fait référence à l'Inde. Soudain quelque chose attira mon œil, sa machine en fin sa console. Je ne la connaissais pas, à vrai dire je ne connaissais rien dès qu'il s'agissait de console, je maîtrisais les ordinateurs, importance oblige, mais je ne savais rien de ces jeux électroniques. J'avais envie de savoir. Ce genre de choses c'était les jouets dont on m'avait privé quand j'étais gosse et de ce fait j'en avais toujours rêvé. Et si ce séjour à Paris était un moyen de rattraper ce retard ? Je regardais la jeune femme maniant l'engin avec dextérité, appuyant sur les boutons avec rapidité, j'avais envie moi aussi d'essayer. Je la regardais puis m’avançais devant elle. Ma voix rauque était cependant douce et j'avais bien entendu un léger accent lorsque je parlais français.

« J'achète. Ta console je veux l'acheter, avec toi aussi. Ta console et toi, ton prix sera le mien. »

« J'achète. Ta console je veux l'acheter, avec toi aussi. Ta console et toi, ton prix sera le mien. »

*Hum ? Euh... Attends une seconde ! Il veut acheter quoi là avec son argent ? Pff... Vraiment, quand le pouvoir vous monte à la tête on croit que l'argent peut tout acheter ! Non mais je rêve ! Vraiment quoi ! En plus « et ton prix sera le mien ». Il ce la pète grave ! Et il croit que je vais accepter, comme ça, que je veux de son argent. Non mais vraiment j'y crois pas quoi ! Comme si j'allais lui vendre ma DS ! Et puis pourquoi il veut ma DS ? Qu'es-ce-qu'elle a ma DS ? Pourquoi la mienne ? Hein ? Y en a plein dans les magasin. Mais pourquoi qu'il veut ma DS ! Elle a rien d'extraordinaire ma DS. Merde, je réfléchit trop... Mais pourquoi il veut ma DS !*

Ô Dieu . Toi être qui est censé être si parfait. Pourquoi avoir créé cette être dépourvue d'intelligence ? N'as-tu pas honte d'avoir une telle fille dans ce monde ? Aries, comment fais tu pour pouvoir penser autant tout en continuant ton combat contre Red ? Comment fait tu pour survivre face à son Florizarre mâle de niveau 84 ? Certes ton Ho-Oh est niveau 90, et il est par ailleurs la faiblesse de Florizarre. Mais comment ?! Comment peux-tu avoir de tel pensé tout en continuant ton jeu ?! MERDE ! Il veut t'acheter ! *Oui, il veut ma DS je le sais... * Non, il ne veut pas que ta DS, il te VEUT, toi aussi ! Pas que ta console ! *Nyah ? * Crois-tu que lorsqu'un mannequin défile dans un vêtement, et qu'on veut le vêtement on achète aussi le mannequin ?! *Bah, si il est pas mal pourquoi pas... * Non ! On ne l’achète pas ! Voyons ! Un peu de bon sens ! Réfléchit dans ton esprit ! Tu serais capable de tout avec ton ordinateur ou tes consoles, alors pourquoi tu ne comprends pas ce que j'essaye de t'expliquer... Ta DS, okay, elle est important, aucun problème la dessus mais pense aussi au fait que le Prince veut t'acheter AVEC la DS, tu diras adieux à ta liberté, adieux à tout ce que tu auras connu, tu seras la possession du Prince !*Mais j'aurais du power, alors OSEF *...


Aries, Ô belle Aries, pourquoi vraiment... Pourquoi n'as tu pas compris que dans cette version de Pokémon, Red utilisait des Guérissons sur toute son équipe et pas seulement sur Pikachu comme la version précédente...  « Aries a perdu. Aries est hors-jeu. Aries se hâte vers le centre pokémon le plus proche pour éviter que ses pauvres pokémons ne souffrent d'avantage. Aries perd 16 800 . » Alors Aries, maintenant que tu as perdu, maintenant que tu es de mauvaise humeur, maintenant que tu as éteins ta DS et que tu l'as remit dans ton sac, maintenant que répondras-tu a ce Prince Ajay Tarendra qui ce crois tout permis ?

« J'autorise le fait que vous jouez avec ma console. A plusieurs condition, de une je ne vous la vendrais pas, elle fait partit de moi, je ne peux pas m'en séparer ainsi. Alors, j'accepte que vous vous amusiez avec à la simple condition que je sois présente pour être sûr que vous ne l’abîmerez pas. Par ailleurs, je n'ai pas beaucoup de jeu sur moi, à vrai dire, je n'en ai qu'un, et je ne sais pas si il vous plaira. Comme vous êtes plus où moins « demandé » par ces monstres dépourvue de sens morale, je peux vous proposer de venir chez moi pour jouer sereinement. Là-bas j'ai toute ma collection de jeu et nous pourrions même jouer tout les deux car je dois sûrement avoir une autre console identique mais peut-être pas de la même génération dans mon armoire à chaussures. Et le dernier point, pour m'acheter, je ne vois pas vraiment ce que vous voulez dire... M'enfin, si j'ai bien compris, ça, ça sera beaucoup plus compliqué et je ne prêterais pas comme ma console... »

Bien je lui avais tout dis, je n'attendais plus que sa réponse. Je voulais définitivement cette console, je ne savais pas pourquoi mais il me fallait celle là et pas une autre, peut-être parce que la jeune française avait l'air de s'amuser dessus, peut-être parce qu'inconsciemment je pensais que cette console me ferait gagner, me ferait avancer plus vite. Peu importe je voulais celle là ! Et je l'aurais ! Tout avais un prix n'est-ce pas ? Et fort heureusement j'étais doté d'une des richesse les plus grande du monde, voilà de quoi satisfaire une petite parisienne, non ? Je la regardais encore, elle était jolie, j'avais donc une raison de plus pour l'inclure dans mon prix, j'étais certain d'avoir fais un bon choix. Si en matière de console j'étais un parfait débutant, pour ce genre de chose là j'avais l'intuition et le flair, je gagnais presque à tous les coups. Je la fixais toujours en attendant sa réponse, j'étais pratiquement assuré qu'elle dirait oui. Qui dirait non devant l'argent d'un Prince ? Cela dit je ne me laisserais pas pigeonner -comme ils disaient par ici- non non je ferais bien attention à ce que tout ce qu'elle demande soit accessible, je ferais attention à ce que les sommes qu'elle demande ne soit pas faramineuse, je veux dire, faramineuse ... pour un homme normal.

Soudain la jeune femme qui était restée plus au moins muette, accrochée à son écran, releva les yeux, je confirmais mes dires, ses yeux étaient beaux. Pour moi c'était un des détails les plus importants de l'apparence, quelqu'un avec de beaux yeux était dix fois, cent fois plus séduisant qu'une personne dotée de pupilles banales, de pupilles marron par exemple. Moi, j'avais eu la chance d'avoir de belles orbes de nuances dorée, noisette parfois, mais certainement pas d'un banal marron. Bref, plutôt que de penser à des caractéristiques physiques je ferais mieux de m’intéresser à ce que la belle me dit. Hum, elle veut me prêter sa console, mais attendez, pas me la prêter comme me la louer, non, non faire un prêt comme 'je-reste-à-coté-et-je-surveilles', bref c'était loin, très loin de ce que je voulais. Une demande me surpris, elle voulait que je vienne chez elle, voilà bien une demoiselle qui était prête à faire confiance à n'importe qui. Pour être aussi assurée et sereine face à l'inconnu elle devait avoir un système de défense irréprochable, peut-être un immense chien aux dents pointus ? Je n'aimais pas trop les chiens, je préférais les chats, ils étaient plus délicats et distingués. Et il ne bavais pas. Oui, je n'aimais pas les bébés non plus, ça bave tout autant que les chiens et ça aboie aussi fort, oui, ça pleure, presque pareil.

Enfin bref, je me perdais souvent dans mes pensées, c'était une sorte de tic si on pouvait appeler cela comme ça. Aller chez elle je n'aimais pas, je préférerais qu'elle vienne chez moi, du moins, à l’hôtel, dans ma suite. Cependant, sans le savoir elle avait marqué un point, elle semblait posséder une collection entière de jeux et consoles, un petit paradis pour obsédés de jeux vidéos en somme. Là-bas j'aurais peut-être plus de choix, cela pouvait être intéressant, mais cela serait sûrement petit, exigu, et peut-être même sale. J'étais déjà rentré dans des appartements de certaines de mes proies européennes et elles vivaient parfois dans de vraies porcheries. Des chaussettes et sous vêtements au sol, des reste de repas sur la petite table du salon, des taches de café sur le canapé, brr … rien que d'en parler me faisait frissonner. Cela dit je ne pensais pas qu'ici j'avais le choix je devais alors me fier à son allure plutôt propre sur sois, si elle m'avait parue négligée je n'aurais pas osé. Passons au dernier point de son petit discours, celui-ci me fit rire. Elle croyait .. elle semblait croire que l'acheter voulait dire profiter d'elle, je n'aurais pas dis non, certes, mais je n'avais absolument pas besoin de dépenser le moindre sou pour cela. Au final je lui lançais un de mes sourires amusé, l'un des plus beaux d'ailleurs.

«  Vous ne semblez pas m'avoir compris Lady, je voulais vous acheter des heures. Des heures de cours, je veux que vous m'enseignez l'art de la console, je veux le maîtriser comme je maîtrise le français. Cependant si j'accepte de venir chez vous aujourd'hui j'aimerais que vous vous rendiez dans ma suite, le confort y sera plus propice au sérieux que peuvent demander les jeux. Autre chose encore je tiens vraiment à acheter cette console, je vous l'ai dis votre prix sera le mien, je suis riche, n'hésitez pas à demander. »

Bien voilà, mes souhaits étaient tout affiché à ses yeux et j'avais répondu à toutes ses questions. Cependant en parlant d'interrogation, une trottait dans mon esprit. Sur la base de toute relation que ce soit du professionnel au romantique, en passant par l'amical, ne fallait il pas que des prénoms soient prononcés ? Si ! Il fallait une présentation, voyons j'avais oublié ca ! Quel impoli je faisais. Pour me faire pardonner je lui pris doucement la main et déposais un baiser sur le dos de celle-ci avant de me présenter.

« Ajay Tarendra, Prince des Indes, mais ca, vous le savez déjà. Cependant, quel est votre nom ? Et aussi comment nous rendons nous à votre appartement ? »