Quoi d'neuf ? Coeurs : (30/500) Magasins: Carnet de Bord:
Oscar A. W. | Techno
Sujet: I am so clever that sometimes I don't understand a single word of what I'm saying •• Oscar [Finie] Ven 7 Aoû - 10:37
Oscar Albert Weissmann
With changing inside I'm completely paralysed ; Remaining corrupt as I wish for paradise
Âge : 17 ans Sexe : Masculin
Date de naissance : 07/06/1998 Lieu de naissance : Berlin (Ich Bien ein Berlineer)
Situation familiale : Jusqu'à preuve du contraire il a un Vater et une Maman et aussi deux singes soeurs Orientation sexuelle : Il se cherche encore, mais a priori il n'a rien contre personne
Métier : Comment ça métier, lycéen et euh voilà couturier à ses heures perdues Situation financière : Classe moyenne
Signes particuliers : Bah il est à moitié Allemand c'est pas suffisant (du coup il parle allemand couramment mais ça sert à rien à part regarder Arte en mode fab) ? Y a Mirza aussi, sa peluche zarbi qu'il trimballe en toutes circonstances et qu'il fait parler avec une voix nulle
Alter Ego
Sexe : homme - femme - indifférent Tranche d'âge : 10/15 - 16/19 - 20/30 - 30+ - indifférent Nature du changement de caractère : faible - neutre - fort -indifférent Acceptes-tu une histoire "trash" ? : Oui/Non
Physique
❛My body is ready.❜
Oscar, c'est un grand blond d'un mètre quatre-vingt-sept. Oui, rien que ça. Il est assez grand donc, mais il a jamais développé sa musculature donc c'est comme une allumette, un peu. Il a une peau très blanche qui crame au soleil et ça le désole beaucoup, c'est pas classe et ça fait mal, les coups de soleil. Quelques taches de rousseur sont visibles çà et là, même si elles sont peu nombreuses. Haut sur pattes, il a vraiment de looongues jambes par rapport à d'autres, du coup il peut courir très très vite mais il n'a pas tant d'endurance que ça, ce qui est bien dommage. Il compense avec des mains très habiles, des «doigts de fée», comme on dit, parce qu'il aime bien bricoler et trafiquer des trucs, tout ce qui est travaux manuels, c'est pour lui, ne cherchez pas plus loin. Avec le temps sa peau sur les doigts s'est mise à ne plus sentir les piqûres qu'il se fait avec son aiguille, ce qui est bien pratique. Sauf quand il a fini par coudre son doigt avec le tissu, ahem. Autrement, le garçon est assez excentrique. Ses cheveux, d'un beau blond doré et bien coloré, il les a laissés pousser pour qu'ils lui tombent en-dessous des épaules, aux omoplates à peu près. Généralement noués en une queue de cheval fine, il en prend un grand soin. On notera aussi qu'une mèche complètement emo couvre la plupart du temps son oeil gauche, effet de style encore, entre ça et la queue de cheval, il ne passe pas inaperçu, Oscar. Il y a aussi Mirza qui loge non loin de ces fameux cheveux, là, juste là sur les épaules du blondinet. Il faut vous parler de Mirza, car qu'est Oscar sans Mirza ? Peu de chose. Mirza, c'est une peluche. Mais pas une peluche comme les autres ! À l'effigie du lion (bon c'est un lion conceptuel), et assez envahissante en fait, elle s'avère être très douce bien que très volumineuse. Elle loge toujours sur les épaules de l'adolescent, qui s'en sert aussi comme écharpe l'hiver. Mais le mieux, le mieux (*tousse*) c'est qu'elle a sa propre personnalité et sa vision des choses, mais en plus elle parle ! Oui, elle parle ! … Oui bon, en fait Oscar s'en sert juste de marionnette et lui fait dire que des conneries ou des trucs pas très gentils, mais ça l'amuse beaucoup et puis en plus c'est pas lui, c'est Mirza, hein. En plus Oscar, il a une voix plutôt grave, et a tendance à parler très fort pour couvrir tout le reste et que tout le monde l'entende (le truc bien agaçant quoi). Mais bon même sans ça, tout le monde l'entend jacasser, parce qu'il en impose, l'air de rien. Et puis il peut faire des accents nuls parce que quand il sait pas quoi faire il s'entraîne à ça, ainsi que vous engueuler en allemand, aussi. On ne se cache pas que ça devient alors très comique, et qu'il fait souvent exprès d'accentuer la langue, du coup c'est encore pire. Quand il fait parler Mirza, il prend une voix aiguë et tordue, une peu comme une vieille grand-mère, et quand on n'y est pas habitué, eh bien c'est tout bonnement ridicule. Mais bon, le ridicule ne tue pas, fort heureusement pour lui, d'ailleurs. Niveau style vestimentaire, Oscar est fidèle à lui-même et toujours assez décalé. C'est simple pour lui d'avoir des fringues uniques, puisqu'il les coud lui-même, ou qu'il customise des vêtements achetés. Son style se voulant classe, il a toujours pas mal d'allure, et peut impressionner. Mais ça, c'est au premier abord, après on remarque qu'il est idiot, en fait. Ou plutôt, qu'il fait le con sans arrêt, le clown, tout ça tout ça. Enfin bref, tout ça pour dire qu'il peut porter des fringues sombres comme colorées, légères comme lourdes et pleines de diverses couches de tissu, mais tout sera toujours accordé avec le plus grand soin, parce que c'est important. Question chaussures, il met presque toujours de grandes bottes, avec un petit talon, comme si ses jambes avaient pas déjà l'air assez grandes, et comme si lui tout court ne l'était déjà pas assez. De quoi en faire rager autant qu'en séduire — allez savoir comment, il dégage un certain charisme. On finira en disant que son sourire notamment est éclatant. Mais vraiment. Peut-être un peu trop.
Caractère
❛I am convinced that different people bring out different sides of you.❜
Oscar, c'est un peu (beaucoup) un clown. Toujours le mot pour faire rire, toujours la petite remarque ou mimique comique. Entre les punchlines nulles, les analogies totalement improbables et le fait qu'il n'hésite pas à faire des trucs ridicules (comme aller se mettre en bikini avec Felix et clamer qu'il a une plus grosse poitrine que les filles du groupe ahem), ça devient vite le bordel, avec lui. Extrêmement jovial et énergique, il adore faire n'importe quoi et fera tout pour détendre l'atmosphère, ça lui tient beaucoup à coeur car il a pas forcément eu une vie facile (bon c'est pas catastrophique non plus mais ça a eu son impact sur le blond). Il s'aide souvent de Mirza, et à dire vrai comme ça fait des années qu'elle l'accompagne à dire n'importe quoi des fois il s'y perd un peu. Je veux dire, avant c'était lui qui la faisait parler mais c'est tellement devenu un réflexe qu'il le remarque à peine maintenant, comme si elle parlait toute seule, en fait. Comme si Mirza était une entité à part entière, et c'est ce qu'il vous dira. Mirza et Oscar, duo comique depuis 2008, bientôt dans les salles. Mis à part ça, on peut dire que c'est également un garçon très volontaire et attentionné, malgré parfois une mémoire un peu défaillante et une stupidité sous-jacente. Disons qu'il n'est pas une lumière, sans être totalement bête non plus. Il s'investit beaucoup dans tous les projets qui lui tiennent à coeur, quitte à stalker les gens jusqu'à en devenir carrément lourd pour que ça avance. Il peut prendre la direction des opérations sans problème, tant que personne ne s'y oppose, et si quelqu'un d'autre veut le faire, il laissera gentiment la place. Le tout, c'est de pas se prendre la tête. Ouais, le brainstorming intensif, il préfère éviter. Foncer dans le tas, aller au plus simple, au plus logique, c'est quand même tout aussi efficace. Parfois ça attire des problèmes, mais c'est que parfois. Et quand il y a besoin, il vous soutiendra son point de vue avec zèle, en argumentant convenablement et en essayant d'écouter et comprendre le vôtre. Il a un esprit très terre-à-terre et logique, ce qui fait qu'il peut avoir du mal à comprendre ce qui ne l'est pas, ou qu'il peut être très lent à la détente, par moments. Derrière tout ça, il cache plutôt bien son jeu, le petit Oscar. Il fait le fier, il fait le con, mais il n'en reste pas moins un adolescent. Par manque cruel de confiance en lui, il n'ose jamais parler de ses problèmes, de ce sentiment persistent de mélancolie, de tristesse qui l'habite depuis la mort de Gabriel. C'est comme un fond, sur lequel toute sa joie momentanée repose, et ce fond ressort parfois, le hante, l'érode. Comme si c'était son «vrai» lui, inconscient et inconnu, qui voulait reprendre le dessus sur ce qu'il a mis dix-sept ans à bâtir. Et Oscar, il n'ose pas en parler, il se dit que c'est rien, c'est pas important, les autres ont des problèmes bien pires, bien plus importants, c'est eux qu'il faut soutenir, c'est eux qu'il faut aider. Et il les aide, en se laissant couler, lentement, silencieusement. Altruiste, oui, mais à l'extrême, il délaisse ses soucis et ce n'est pas bon pour lui. Mais Oscar ne veut pas parler, il ne parlera pas. Peut-être qu'un jour, il explosera. Qui sait, qui sait ? Passionné. C'est un mot qui le décrit bien, le blond. Couture, physique, chant, trois domaines dans lesquels il se donne à fond. C'est à ça qu'il passe le plus clair de son temps à l'appart', parce qu'on ne peut pas dire qu'il entretienne de bonnes relations avec sa famille. Celles-ci se détériorent même de plus en plus, depuis son entée au lycée. Alors il coud, vêtements, peluches, accessoires, c'est ce qu'il préfère. En deuxième vient l'étude des sciences, comprendre le fonctionnement du monde et plus particulièrement des lois universelles qui le régissent, n'est-ce pas passionnant ? C'est ce qui l'a voué à aller en S, et il hésite toujours entre continuer en sciences ou en couture, à l'avenir. Concilier les deux serait pour le mieux, qu'il se dit. Et enfin, le chant. Oscar il a une jolie voix plutôt grave, et chante plutôt bien, à force d'entraînement. Il a toujours aimé ça, spécialement pour évacuer quand il est en colère ou qu'il se sent mal. Ça gêne personne, à part les voisins peut-être mais ça il s'en bat les steaks avec une patte d'alligator femelle (<- wtf). Il a du mal à partir dans les aigus mais quand il y arrive c'est surprenant et assez réussi, mais ce qui compte vraiment quand il chante, c'est de mettre tout son coeur dans ce qu'il fait. Tout ce qu'il ressent, ça peut s'entendre dans ces moments-là. Le blond est aussi passionné dans sa façon de vivre. Il aime se donner à fond, faire tout ce qu'il peut pour arriver à son but, en y mettant plus de coeur que de raison. Il aime à fond, il déteste à fond. Il vit à fond, mais il essaie de ne pas souffrir à fond. Il s'efforce de se freiner, car il n'aime pas faire face aux problèmes, ni à la douleur. Il joue avec le feu, et il se brûle très souvent, le lionceau.
Histoire
❛Le passé est du présent devenu vieux.❜
Holà, holà ! Mon histoire ? Je vois pas trop ce que j'aurais à dire dessus, hm ? Raconter ma vie ? Bon, warum nicht ?
Je suis né dans un petit patelin paumé en Allemagne qu'on nomme… Berlin. Ouais nan en fait nan c'est pas paumé du tout mais j'avais envie de dire ça. J'ai pas grand chose à dire là-dessus si ce n'est que euh, c'était cool ? Certainement ? Oui, oui, en soi naître c'est assez cool en effet, c'est plus pratique pour vivre après.
«Oscar, arrête de dire de la merde et de divaguer, sinon après-demain on y est encore, ach !»
Ja, Mirzaaaa. Bref ! Je suis resté à Berlin pendant une bonne partie de mon enfance, et même que c'était la grosse éclate, j'ai jamais eu à me plaindre (mais je le faisais quand même parce que j'étais un sale gosse). J'ai aussi eu l'incommensurable plaisir (vous sentez le sarcasme ?)de voir mes deux très chères petites soeurs naître durant cette période, j'ai respectivement trois ans et cinq ans d'écart avec elles.
«Ja, enfin ça on s'en fout, hein.»
Certes. Pour en revenir à nos moutons (et je peux confirmer que ces deux pestes en sont avec leurs cheveux tout bouclés), je me suis jamais très bien entendu avec elles. C'est la vie. Disons qu'on se supporte et qu'on peut passer de bons moments ensemble, mais une fois sur deux ça finit toujours par gueuler. Faut croire qu'il y a un truc qui cloche. Enfin encore, quand on était gamins on se tapait dessus, aussi. Plus maintenant, c'est déjà ça. Ahem.
Vous vous demandez comment que ça se fait que je suis plus à Berlin ?
«Nein.»
Euh, ta gueule Mirza. Eh bien c'est très simple ! On a juste dû déménager car Mamounette s'est faite muter, et admirez le français bancal de cette phrase. J'ai toujours eu un peu de mal avec cette langue, même si ladite Mamounette est française et que je suis bilingue grâce à elle.
«Toujours est-il que tu gardes quand même un semblant d'accent quand tu parles français.»
Oui bon bah hein ! On peut pas tout avoir pour soi. Même moi. ENFIN BREF, (notez que nous Allemands gardons cette habitude de gueuler pour tout et n'importe quoi) (non c'est faux j'aime juste faire le con avec les clichés) (mais euh bon bref) (trop de parenthèse tue la parenthèse) (et c'est pour ça que j'en refais une) (luv) nous avons donc déménagé, quand j'avais l'âge de neuf ans, pour cette pas si magnifique ville que ça, j'ai nommé Paris ! Au début on s'en foutait parce que euh on s'adapte vite quand on est gosse il faut croire, et puis on parlait déjà français donc ok.
«Ouais tu dis ça mais relis-toi et tu verras que tu devrais te la boucler un peu.»
… Mirza. Grawr. Le seul petit et unique souci c'est que euh genre les gosses, c'est cruel, ach ach ach. Allez savoir pourquoi quand il fut temps de rentrer en CM1, nouvelle école, arrivée en cours d'année tout ça tout ça, eh ben ça l'a pas fait. On dirait pas comme ça mais j'ai vraiment eu des problèmes d'intégration avec les autres nabots qui fréquentaient mon école. J'étais un peu différent donc ils en ont profité cette bande de chimpanzés décongelés, tous les jours c'étaient les moqueries et les piques sans queue ni tête, même qu'à la fin je me faisais voler mon goûter. J'ai jamais réussi à m'en remettre, de ça, c'est important, le goûter.
«Tout ça pour dire que t'es un peu trop gourmand.»
Ja. Et aussi que je me sentais plus forcément très bien en allant à l'école, mais j'étais faible alors j'ai supporté jusqu'à la fin, parce que bon au final je savais même plus si je préférais me faire bizuter par les autres élèves ou les deux chèvres qui me servent de schwestern.
Le seul truc que j'aimais bien, c'était aller chez la grand-mère parisienne, parce qu'elle me racontait toujours comment elle séduisait tous les hommes qui la côtoyaient (il lui manquait une case à la madame) en me faisant des cookies. C'est aussi elle qui a remarqué la première que j'avais des doigts de lutin— euh de fée ahem, et donc c'est aussi elle qui m'a donc initié à ma plus grande passion dans la vie (après le goûter, faut pas déconner non plus) : la couture !
«Je décerne une mention spéciale à cette grand-mère maintenant six pieds sous terre car cela a permis mon existence.»
Wow pour une fois que tu dis pas un truc complètement dépréciatif. Je note, je note, Mirza. La couture, donc, la couture ! Un art à part entière, ma vie, mon purgatoire. (Oui bon j'ai dit ça juste car c'est très classe) (Mais ça m'a toujours servi à me changer les idées et faire passer les ondes négatives) Depuis que j'ai découvert, j'adore, je suis accro et je rêve de pouvoir en faire quelque chose pour le reste de ma vie. J'ai commencé par des peluches, Mirza étant la première, des peluches j'en faisais vraiment très beaucoup. Et peu à peu j'ai fais des écharpes, gants, vestes, vêtements… Jusqu'à refaire ma garde-robe toute entière. Ma Singer reçue au Noël de mes quatorze ans m'est aussi utile que fidèle, qu'est-ce que j'y suis attaché !
«Ce que tu n'as pas dit, c'est que je suis aussi ton doudou, depuis toutes ces années.»
… Parce que c'était pas utile ? Ach, tu es vraiment remontée ce soir, ma poule. Passée cette fabuleuse parenthèse sur le monde fantastique, magique et arc-en-cielique de la couture, je peux vous raconter comment j'ai fait pour en arriver à raconter des conneries pareilles à longueur de journées. «Arc-en-cielique», sérieux je m'étonne moi-même, woaaah. J'arrivais donc au collège (et j'avais rien compris à la vie à ce moment-là) (ou peut-être bien que si en fait), et comme j'en avais marre et que j'allais dans un collège un peu loin de la maison exprès pour éviter tous les sacs qui m'emmerdaient en primaire, j'avais aussi décider de plus me laisser marcher sur les pieds si ça recommençait. «Wesh j'suis une kaïra maintenant là zyva» n'était pourtant pas mon credo. Je me faisais discret, gentil et m'efforçais de me débarrasser de mon hure d'accent de scheiße. Ahem, désolé de cette grossièreté.
Puis j'ai fait la rencontre de l'autre là, le type avec un nom de chat. Mais si, Felix. BFFelix, même. C'était vraiment un sale petit con à l'époque. Et ja, maintenant c'est mon Best Friend Forever ahaha bestah je te luv tro ahahah—☆
«Euh, juste, arrête-ça.»
Ja, t'as raison. Donc ouais cette petite pelote de laine a essayé de faire de moi son joujou sauf que euh lol nope, comme diraient certains. J'avais décidé de changer et j'étais pas d'accord, donc je l'ai fait redescendre de son petit nuage et même si ça n'a pas été facile il a fini par se calmer — et ça valait mieux pour lui parce que sinon je lui aurais défait ses lacets pendant qu'il regardait pas pour les renouer entre eux et le regarder se casser la gueule jusqu'à mes pieds. Eh ouais, je suis comme ça, moi.
Par la suite, et je ne sais toujours pas comment (c'est ce que j'aime chez lui), on est devenus potes et maintenant inséparables, c'est juste tellement cool de faire de la merde avec lui. Je t'aime, Bro. Sauf que euh merde alors !, voilà qu'en cinquième on n'était plus dans la même classe. J'étais toujours assez nul pour n'avoir que lui dans la friendzone et c'était très triste. Mais comme j'étais plus confiant et que mon côté jovial ressortait, j'ai pas eu (trop) de mal à me refaire des potes ! Deux filles cette fois-ci, je m'incrustais dans leur groupe pendant les cours et tout parce que mon Bro n'était pas là, juste adorables ces filles. C'étaient Eva et Raphaëlle. Eva toute timide et Raphaëlle sa garde rapprochée, c'était déjà très mignon. C'étaient deux de plus dans mon petit coeur de brocol— d'artichaut. Sérieux j'ai du mal avec les expressions françaises hein.
«En même temps quand on y réfléchit ça veut rien dire… Tu devrais te cultiver et chercher le pourquoi du comment on dit ça au lieu de passer ta vie sur 9Gag.»
Ja, ja, plus tard ma poule. On continue sinon on n'avancera jamais. Un truc carrément moins cool est arrivé après. La quatrième. Oui mes enfants, la quatrième. C'était moins cool pour deux raisons : j'avais plus que Raphaëlle dans ma classe et au lieu de choisir allemand en LV2 j'ai fait le con et j'ai pris ESPAGNOL PUTAIN MAIS POURQUOI J'AI FAIT ÇA JE SUIS UNE PATATE EN ESPAGNOL. J'imaginais sûrement que ce serait cool de parler quatre langues avec l'allemand, le français et l'anglais mais en fait c'était un échec critique.
«Necesitas relajarte, muchacho.»
Ta gueule, toi, putain ta gueule. Pourquoi l'espagnol exiiiiiste aaaach. Pendant la quatrième, ce qui a été cool (oui c'était cool quand même au final hein faut pas croire) c'est que Eva et Felixinouchou étaient dans la même classe donc on se retrouvait avec Rapha' et tout pendant les pauses. La cantine, qu'est-ce qu'on se tapait des barres. Des trucs tout cons comme voler des desserts ou dessiner sur des bananes, mais c'était magnifique. La fois où Eva m'a balancé un verre d'eau dans la tronche, mais au sens littéral… Donc avec le verre et pas juste l'eau, c'était atrocement drôle.
Enfin, le mieux je crois, l'une des plus belles années de ma vie, c'était la troisième. Le brevet ma gueule, la Singer et la squad. Ja, la squad. Eva, Rapha', Felixounay, mais aussi Maëlys et Gabriel. Je les ai rencontrés tard ces deux-là, mais on était tous dans la même classe en troisième et ça c'était le pied. J'avais vraiment réussi à me sentir bien, me sentir moi-même et libre. Je me sentais mieux au collège qu'à l'appart', mieux dans n'importe endroit tant qu'on était tous ensemble. Tous ensemble… Ach, non. Putain, non.
Faut vraiment que je raconte, ça…? Scheiße, scheiße, ça va pas le faire.
«En parler ça peut faire du bien, tu sais. Surtout à des personnes inconnues, l'avis extérieur, le fait de ne pas juger, tout ça tout ça…»
J'imagine que tu as raison, boule de poils. Tss. La seconde. Année de glandage intensfi en perspectif, encore une fois tous les six dans la même classe. Le rêve. «Le rêve», pendant six mois. Six mois insouciants, six mois où pourtant tout commençait à basculer, lentement, mais assez sûrement pour tous nous laisser une marque. Gabriel. Gabriel… Ça allait pas, on le voyait tous, on le sentait tous pourtant. Mais il a fallu qu'il attende jusqu'au presque dernier moment pour nous le dire, cet abruti…
Je m'en souviendrai toujours je crois, cet après-midi de janvier au Starbucks. Froid, chocolat chaud, tension. il avait l'air tellement grave. Calmement, de ce sang-froid dont il a toujours fait preuve et que je ne saurais qu'admirer aujourd'hui encore, il nous a expliqué. Maladie. Hôpital, incurable, inévitable. Mais aussi bonheur. Liberté, amitié, merci. Ce «merci», ça m'a achevé. Il résonne encore dans mon esprit, comme je vois encore cette neige tomber au dehors du Starbucks. Tomber, doucement, silencieusement, comme coulaient nos larmes à chacun.
À partir de là, tout est allé très vite, trop vite. Trop trop trop vite— Gabriel— ! On était en train de le perdre, on le savait, et pourtant on ne pouvait rien faire. Rien faire, si ce n'est vivre à fond tous ensemble pour qu'il soit heureux jusqu'à la fin. Avec Felix on aidait à faire aller, on soutenait et on faisait les clowns, autant pour les autres que pour nous-mêmes. Comme deux les piliers d'un édifice instable et fragile.
Soutenir, soutenir, il fallait soutenir. Changer les idées et se changer les idées. J'avais plus personne à qui parler de tout ça, si ce n'est Felix. Mais même avec lui, ça été dur. La famille, on n'en parle même pas, c'était une des pires années, la seconde. Entre mioche numéro un qui commençait sa crise d'adolescence en écoutant du One Direction à fond dans la chambre à côté (c'était infect putain) et mioche numéro deux qui regardait L'INFÂME VIOLETTA à l'heure des Reines du Shopping juste pour me troller, j'avais même plus envie de gueuler. Sales petites groupies superficielles. Papa et Maman s'engueulaient de plus en plus entre eux pour pas arranger la chose, tiens. Un jour je me barrerai. Promis juré.
Donc en gros voilà, c'était pas la fête à la maison, et je dois avouer que quand Gabriel a… Enfin vous avez compris, après que ses parents nous aient tous appelés, c'était le bad total et pour tout le monde. L'enterrement fini, on est retournés au Starbucks. À discuter de tout et de rien, à se rendre compte qu'on serait jamais plus aussi soudés, jamais plus comme avant. Il nous manquait à tous.
L'été qui a suivi ça, qui a précédé la première, je l'ai passé quasiment intégralement chez Felix, au point de déménager la Singer. J'aurais pas pu résister à l'appart', j'aurais sauté par la fenêtre. Au deuxième ça doit pas tuer, mais pas faire de bien non plus. Après, ils se sont un peu calmés, les dingues qui me servent de famille. Je crois. En tout cas, je ne suis plus le même depuis tout ça, ils ont dû capter. J'ai comme cette espèce de tristesse, de sentiment négatif qui loge en moi, et qui n'attend qu'un moment d'inattention, qu'une seule seconde sans que je fasse le pitre, pour venir me prendre à la gorge et me faire faire une nuit blanche.
Mes notes ont considérablement chuté à cause de ça, mais on m'en veut pas trop. Soit on sait, soit on se doute que c'est la S qui fait ça, le fait d'être seul car tout le monde est parti en L. «Bande de clochards», je leur dis des fois, pour les taquiner. Ça les fait gueuler autant que quand ils me disent que le Big Bang est dû au hasard. Haha, changez jamais les bros. Quoiqu'il arrive on restera ensemble, on surmontera tout ça, pas vrai ? Tu en penses quoi, Mirza ?
«Rrron… Psssch… Rrron…»
… T'es sérieuse, boule de poils ? C'est toi qui me dis de tout balancer et tu t'endors ? Espèce de macaque sans honneur ! Franchement je suis pas fier de toi, là, pas du tout !
Et c'est avec ce genre de conneries que je remonte le moral des troupes, maintenant. La Squad existe et existera toujours. C'ma famille, après tout. Je vous aime, je vous aime, putain.
Derrière l'écran
Pseudo : Kono Âge : 17 ans Sexe : Yolo Découverte du forum : Demandez aux autres là genre les quatre gugusses qui sont censés s'inscrire en même tant que moi et que en fait y en a qu'une pour l'instant arrêtez de procrastiner bande de faibles Personnage sur l'avatar : Shishiou - Touken Ranbu Autres : Cookies o/ Oui non en fait j'ai rien à dire à part que Oscar c'est un loser mais voilà on l'aime pour ça bye ♥ (et je jure que je voulais pas faire de feels au début c'est les autres ils m'ont corrompu *sobs*)
crackle bones
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Quoi d'neuf ? Coeurs : (70/500) Magasins: Carnet de Bord:
Jean C. | Anonyme
Sujet: Re: I am so clever that sometimes I don't understand a single word of what I'm saying •• Oscar [Finie] Ven 7 Aoû - 15:19
Bienvenue tout plein ! J'adore ton prénom, ton visu, et je sens que je vais adorer ta fiche. Que du bon *A* Courage pour la fin de ta fiche et *paillettes sur toi* ♥
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Oscar A. W. | Techno
Sujet: Re: I am so clever that sometimes I don't understand a single word of what I'm saying •• Oscar [Finie] Ven 7 Aoû - 21:00
Oooh, merci, merci, ça fait super plaisir ! >w< ! J'espère que tu n'as pas pensé à Lady Oscar
Palletas ouiiiiii merciiii ! (≧▽≦) ♥ Btw j'ai terminé la fiche ! (Plus rapide que la lumière mais que deuxième de la squad wow)
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Avatar : Nanna | Makishima
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Hilly L. W. | Rome
Sujet: Re: I am so clever that sometimes I don't understand a single word of what I'm saying •• Oscar [Finie] Ven 7 Aoû - 21:14
Hey (pardon, j'ai du laisser un peu de bave pas loin de ton avatar xD so sexy!) bref! Bienvenue sur le forum =) tu t'y amusera bien, tu verras (et motive tes amis à s'inscrire wesh /pan/) je constate que tu as finis ta fiche, et donc j'attends une réponse de la fondatrice pour la répartition des AE et on te fait ça le plus vite possible ;)
des bisous ♥
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Avatar : Tsukino Usagi | Nakajima Yôko Age : 25
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Belle B. | Anémone
Sujet: Re: I am so clever that sometimes I don't understand a single word of what I'm saying •• Oscar [Finie] Ven 7 Aoû - 22:09
BIENVENUUUUE ♥︎ J'adore ta fiche ♥︎ J'espère que tu t'amuseras avec cette bande de psychopathes que nous sommes :B
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Oscar A. W. | Techno
Sujet: Re: I am so clever that sometimes I don't understand a single word of what I'm saying •• Oscar [Finie] Ven 7 Aoû - 22:49
Merci à vous deux ! :3
Normalement y a pas de souci, je vais m'éclater avec mon loser ♥ (et j'ai vraiment hâte de connaître l'AE *u*)
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Jean C. | Anonyme
Sujet: Re: I am so clever that sometimes I don't understand a single word of what I'm saying •• Oscar [Finie] Dim 9 Aoû - 0:02
Maintenant que tout est dit, tu peux enfin vagabonder comme bon te semble dans les plaines verdoyantes d'Irréel. Mais avant tout, laisse moi te donner quelques petites indications. Je te conseilles d'aller recenser tes avatars avant ton départ, et pour être bien préparé de ne pas oublier de t'afficher avec ton Alter-Ego dans ta signature. Si tu veux on a préparé un petit codage par ici pour qu'on voit bien de qui il s'agit ! Ensuite tu pourras enfin partir pour l'aventure ! Les premières étapes conseillées sont simple, se faire des amis et ennemis par là, créer ton obligatoire cahier de suivi pour Alter-Ego et si tu le souhaites, chercher un compagnon de route pour un instant dans les demandes RP. Pour ce qui est du reste, c'est à toi de tout découvrir !
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Sujet: Re: I am so clever that sometimes I don't understand a single word of what I'm saying •• Oscar [Finie]
I am so clever that sometimes I don't understand a single word of what I'm saying •• Oscar [Finie]