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Maxime W. | Swatch
Sujet: » Danse comme si ta vie en dépendait. Dim 3 Aoû - 9:25
Petite chose, tu en as de bien drôle d'idée. Oui. Le métro, d'habitude, elle ne supporte pas. Il y a trop de monde. Trop de bruits. Trop de gens qui la bousculent, la touchent. Mais là, l'idée de pouvoir arpenter ses couloirs et ses tunnels sans croiser une seule âme qui vivent l'a séduite. Paris vidée de sa population, c'est un autre monde. Et ma petite chose aux cheveux blancs meurt d'envie de le découvrir, ce nouveau monde. Alors, armée de son appareil photo, elle est descendue dans les intestincs de la capitale. Dans les premiers mètres, elle rencontre plusieurs personnes. Souvent des sans abris qui sont venus se réfugier là. Rester en plein air par les temps qui court n'est pas une bonne idée. Mais s'entasser ici n'en ait peut être pas une non plus. Elle hausse les épaules et passent devant eux. Comme toujours, elle est invisible. Les gens, trop afférés à se protéger de la chaleur, ne semblent pas la remarquer. Elle s'enfonce alors jusqu'à arriver à l'un des rails. Là encore, deux ou trois personnes assisent sur les chaises tentent d'échapper à la maladie. Des cris. Des disputes. Des bagarres. Pour un morceau de pain. Un petit peu d'eau. Les vitres des distributeurs de nourritures sont complétement fracassées et ceux-ci, entièrement vidés. Du coté droit du tunnel, un métro plongé dans le noir git. A travers ses portes forcés, Maxime arrive à discerner un couple et un bébé, allongés à même le sol. Elle hésite. Non. Bien que l'idée de rentrer dans ce véhicule abandonné la tente particulièrement, elle n'a pas envie de se retrouver entourer de gens fuyant la misère alors qu'elle est encore assez confortablement installée dans son appartement même si elle a dû faire quelque restriction alimentaire - plus de chips, si ça c'est pas la fin du monde. C'est comme si tout les SDF de Paris avaient eu pour même mot d'ordre de se cacher dans le métro. Il doit sûrement y en avoir aussi, dans les autres stations. Elle hausse les épaules. Pas indifférente. Juste incapable de trouver une solution, alors autant fuir.
Elle saute sur la voie et s'enfonce dans le tunnel de gauche. Ici, personne. De temps en temps, des bruits de pas, un rat qui doit sûrement passer par là. Elle allume la lampe de poche de son portable et commence à observer ce monde qui lui était encore totalement inconnu, les yeux béats devant tant de découvertes. Comme toujours, le moindre petit truc nouveau l'enchante. Elle se rapproche des parois, observe les câbles, prend deux ou trois photos par-ci par-là. Des photos qui seront pour la plus part sans interêt. Mais peut être qu'une ou deux aura capter une image artistique. Pas grave. Pas d'importance. Elle est seule dans le métro. Plus rien n'a d'importance.
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Cimbaeth A. | Soarta
Sujet: Re: » Danse comme si ta vie en dépendait. Dim 3 Aoû - 22:13
Combien de temps ça faisait maintenant ? Sûrement une journée complète, 24 heures d'affilées. En regardant le réveil, Cimbaeth eut cette confirmation. Il avait dormi longtemps, le cadran affichait 11h du matin. Normalement, vous vous diriez que c'est correct, mais en fait, c'est l'heure à laquelle s'était couché cet homme. La veille. Bon, en même temps il n'avait pas dormi pendant trois jours, donc c'était plus ou moins compréhensible. Laissant sa tête retomber contre son oreiller, il referma les yeux. Juste quelques minutes de plus, rien ne pressait...
Cim rouvrit les yeux quelques secondes plus tard. Déjà midi ? Ca passait si vite... Lâchant un soupir des plus monumentaux, il se leva. Il fallait bien qu'il prenne une douche, alors c'est ce qu'il fit, puis il s'habilla. De la même façon que tous les jours. Normalement, il ne se serait pas pris cette peine, il serait resté devant son ordinateur à jouer tranquillement. Mais pas aujourd'hui. Il avait envie de sortir. Une épidémie dans Paris ? Quelle aubaine ! C'était tellement rare, il ne fallait pas qu'il rate ça. Imaginez, la tour Eiffel sans touriste ! Quelle idée hilarante, l'Irlandais esquissa un sourire. Prenant son appareil antique qu'il avait réussi à réparer suite à sa rencontre avec les centaures, puis mettant son chapeau sur la tête, il sortit à l'air libre tout en enjambant ses paquets de chips pleins qui traînaient sur le sol de sa sombre chambre.
Le soleil l'aveugla lorsqu'il arriva dehors, le forçant à plisser les yeux. Ajustant son couvre-chef, il put enfin observer les alentours. Hop, déjà une photo. La rue était vide, on se serait cru dans un vieux décor de film d'horreur apocalyptique, dans lequel tout le monde serait mort ou porté disparu. Etrangement, il avait l'impression de faire un Resident Evil grandeur nature, agent des Stars dans la ville de Racoon City. Malheureusement, il n'avait pas de quoi se défendre. Bah, qu'importe.
Il se mit à avancer en direction du métro. Il semblerait qu'il ne circulait plus, en tout cas c'est ce qu'il avait lu. Ca aussi, ça promettait de beaux clichés. Il emprunterait les voies jusqu'à atteindre l'emplacement de la tour, ça lui ferait aussi un peu de sport. Y arrivant, il descendit les marches qui allaient le mener vers les profondeurs de la ville, son intestin labyrinthique pour les non-initiés. Franchement, avec autant d'indications et de panneaux, comment quelqu'un pouvait-il se perdre là-dedans ? Même un aveugle s'y retrouvait.
En tout cas, lui-même s'y retrouvait, donc le reste ne le concernait pas réellement. Appareil autour du cou, il continua de marcher. Il connaissait le chemin qu'il devait emprunter, il l'avait fait il y a quelques mois déjà. Ca paraît loin, mais pas pour lui... La misère en tout cas était toute autour de lui. Des gens désespérés venus se réfugier sous terre pour espérer échapper au virus qui touchait la ville. Lui-même n'était pas touché, il se demandait comment. En tout cas, il avait fait le plein de nourriture, encore plus que d'habitude. Comme ça, il y avait peu de chance qu'il tape dans sa réserve "en cas d'attaque zombie", même si pour le moment il était tenté de le faire au vu de la situation.
Arrivant devant les rails, il sauta dessus sans réfléchir. Un métro était là, mais ne bougeait pas. Il prit la direction qui l'intéressait et s'engouffra dans ce tunnel sombre. Ah, il savait ce qu'il avait oublié. Une lampe torche. Ca ne lui ressemblait pas pourtant, ce devait être à cause de son réveil difficile.
"Twinkle twinkle little star, how I wonder what you are...", commença-t'il à chanter en suivant le thème du premier Dead Space. Un chant qui fait peur...
Tout en continuant à chantonner, il vit une lumière. Une personne était là et semblait avoir eu la même idée que lui. Avançant doucement dans l'ombre, tout en continuant de chanter. Il se glissa derrière cette fille, car il avait vu que c'en était une bien que c'était difficile pour ceux ne faisant pas attention. Des cheveux blancs, une allure de garçon quand on regarde de loin.
"Bouh petite fille...", glissa-t'il au creux de son oreille.
Puis il éclata de rire, mais un rire joyeux pour détendre l'atmosphère.
Ce que chante Cimbaeth dans le métro:
https://www.youtube.com/watch?v=YHZ_apAW-4c
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Céleste D. | Malchance
Sujet: Re: » Danse comme si ta vie en dépendait. Dim 3 Aoû - 23:08
Le princesse, elle est têtue. Même quand on lui dit de ne pas faire quelque chose. Surtout lorsqu'on lui dit ça. Elle n'a pas trop compris pourquoi, son patron lui a donné des congés soudain. Puis Narcisse lui a expliqué qu'il ne fallait pas sortir, parce que des tektites ont envahi la ville. C'est dangereux, qu'elle s'est dit. Et c'est justement ça qui lui a mis des étoiles dans les yeux. Elle comptait sortir. Parce que s'il y a des gens dehors, c'est qu'ils sont forts et courageux. Donc ils pourront protéger sa couronne. Elle a du attendre que son frère soit parti se doucher pour pouvoir y aller. Elle se ferait sûrement remonter les bretelles en rentrant, mais ça en vaudra le coup !
Une fois dehors, elle prend une grande inspiration. C'est calme. C'est trop calme. Ça l'inquiète un peu quand même. Elle n'a jamais vu Paris dans cet état, la poupée. Tout le monde a peur, tout le monde reste à la maison. Céleste gonfle les joues, d'un air contrarié. Vraiment, ce monde ne lui plaît pas, il y a trop de gens égoïstes qui ne pensent même pas à l'expérience virtuelle et réelle que ça peut apporter, de venir à l'extérieur. Ses résultats scolaires n'ont jamais été très bons, mais elle se dit que sa façon de penser est bien plus intelligente que la leur.
Elle marche un peu, regarde autour d'elle. Les rares personnes qu'elle voit ont un masque médical sur le visage. Et ces gens, ils vont voler les magasins pour avoir de quoi manger ou des trucs qui valent cher. Sûrement pour les revendre après. La princesse, elle les ignore. Ils sont pas digne de son intérêt.
Par la suite, elle voit un truc qui attire son regard. Une station de métro. Un tilt s'opère dans sa tête. S'il n'y a personne, pas même les sans abris, dehors, c'est qu'ils sont ailleurs. Et si y'a une épidémie qui traîne, ils seront pas, comme elle, à se balader insouciamment. Alors elle descend, dans les profondeurs de la ville, comme Layton dans son passé avec Randall. Il y a sûrement de meilleurs exemples, mais c'est un jeu que mademoiselle a fini il y a peu donc elle y a forcément pensé.
Mais elle n'avait pas pensé qu'il ferait aussi sombre. Heureusement, son téléphone est là. La batterie est faible, c'est les aléas de l'aventure ! Maladroite, elle ne fait pas attention, trop occupée à regarder autour d'elle, et tombe sur les rails. Le portable en a pris un sacré coup. Elle ne peut plus l'allumer. Il est sûrement foutu. Constatant ça, la poupée soupire. Ses nouvelles chaussures l'ont fait glisser... Si elle avait su...
Donc elle remonte, lentement et à tâtons, le tunnel. Sa respiration se fait un peu plus saccadée, elle a beaucoup moins de repères que quand elle avait un éclairage. Elle percute parfois des gens, elle s'excuse. Un instant, elle pense à faire demi tour et à rentrer chez elle. Sauf qu'elle est partie, et qu'elle n'est pas du genre à regarder derrière elle. Alors elle avance, progressivement, bien plus apeurée que ce qu'elle aurait cru pensé. Et en même temps... Une grande montée d'adrénaline la fait frissonner. C'est pas le genre de monde où elle aimerait être, mais c'en est bien plus proche que la vie réelle.
Puis face à elle, une lumière, qui l'aveugle un peu. Céleste plisse les yeux pour essayer de voir, mais elle a du mal à s'habituer à ce contre-jour. C'est comme sortir au soleil dès son réveil, c'est un peu masochiste. La main gauche utilisée comme une visière, elle s'approche à petits pas. Pour ne pas glisser à nouveau. Et elle voit... Deux garçons ? Non, elle a un doute sur la plus petite personne et ne fait donc aucun pronostic. Mais celui de derrière en est certainement un. Elle n'est pas la seule à avoir des cheveux colorés dans ce monde !
Le plus grand, il se met à rire en plus. Donc y'a pas de quoi avoir peur. Donc elle va leur parler, tout naturellement.
« Bonjour ! » dit-elle aussi souriante qu'à l'accoutumée. « Vous aussi vous explorer Paris pendant qu'il y a personne ? Céleste pensait être seule à vouloir le faire... mais c'est bien comme ça ! »
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Coraline C. | Aiguille
Sujet: Re: » Danse comme si ta vie en dépendait. Lun 4 Aoû - 0:15
Coraline n'en pouvait plus. Elle avait beau avoir brisé l'interdiction de sortir une fois, elle n'en pouvait plus. Ses parents l'avait disputée très fort, mais elle s'en moquait. Depuis qu'elle était sortie, elle voulait retourner dehors visiter Paris toute vide. Mais c'était un caprice que ses parents ne voulaient lui acheter. Ils ne pouvaient pas la laisser sortir, de peur que leur trésor tombe malade, et... et meure, peut-être.
Mais justement, Coraline voulait que ça bouge plus. L'anxiété et la peur pouvaient facilement laisser place à l'excitation. Pour une fois qu'il se passait quelque chose s'excitent à Paris ! Depuis l'épidémie, ses journées se résumaient à jouer aux jeux vidéos et à se battre amicalement avec son frère, sans oublier les poupées. Et là, elle était juste en train de coudre un soleil sur un de ses kimonos. Son atelier couture étant fini, elle regarda par la fenêtre de la cuisine, de là on pouvait avoir une belle vue. Il n'y avait personne, à part quelques SDF et une fille aux cheveux violets.
... Coraline plissa les yeux. Elle ne rêvait pas, une jeune fille avait une chevelure violette. C'était tellement inédit ! Il fallait que Coraline aille voir cette jeune fille. Elle écrivit une note en toute hâte, disant qu'elle était allée faire les courses parce qu'il manquait d'iles flottantes, même si c'était un mensonge car il en restait plein. Ses parents s'étaient absentés, c'était le moment idéal pour suivre cette jeune inconnue. Elle enfila rapidement sa nouvelle création, son kimono rose et vert avec un soleil sur la poitrine, et attrapa un masque anti-bactérien.
Ses frêles jambes coururent comme elles purent, et Coraline était toute essoufflée après à peine quelques mètres. Sa chevelure brune était décoiffée, et son bandeau smiley penchait un peu. Mais elle s'en moquait. La jeune fille reprit son souffle, puis continua de "filer" la demoiselle violette. Celle-ci s'engouffrait dans le métro.
La fausse fillette était estomaquée en sentant l'atmosphère du métro. Tous les SDF avaient élu domicile ici, et la misère se sentait à plein nez. Heureusement que la famille de Coraline était riche... celle-ci était toute triste pour les pauvres gens qui devaient rester dans cet endroit sale et sordide. Elle continua sa route, essayant d'ignorer les gens qui se battaient pour des boissons ou de la nourriture et les sans-abris qui lui demandaient du pain.
La chevelure atypique de la fille s'arrêta de bouger. Elle semblait prendre un portable (la fille, pas la chevelure) pour éclairer les horizons. Mais elle tomba et soudain, plus de lumière. Cela déstabilisa Coraline qui dut faire attention où elle mettait les pieds. Elle restait à bonne distance de l'inconnue, mais galérait tout autant à avancer.
Ce n'est qu'après un moment qui semblait une éternité qu'elle aperçu enfin une source de lumière. Ses yeux se fermèrent à cette apparition soudaine de luminosité, puis essaya de s'approcher comme elle put, les yeux plissés. Quand son regard fut habitué à la lumière, elle distingua enfin les deux personnes qui se tenaient là.
Deux personnes familières, d'ailleurs. Un type au cheveux verts et au chapeau noir, déjà. Coraline essaya de rassembler des souvenirs. Elle l'avait déjà vu... mais sa mémoire lui faisant défaut, elle se dit que c'était sûrement une personne avec qui elle avait dû échanger trois mots. Et l'autre... c'était une jeune fille que Coraline avait eu l'occasion de voir dans son école. Elle leur avait donné un cours bénévolement.
La fillette eut un sourire béat en se rappelant (le nom à la fille blanche commençait par un M, elle en était sûre) et ses petites jambes toutes fatiguées puisèrent dans leurs dernières ressources pour s'approcher de M. Un élan de soulagement et une étrange effusion de sentiments emplirent Coraline. Le fait de voir un visage familier était comme... voir un oasis après avoir parcouru le désert. Ses bras tremblants enlacèrent Max (elle se rappelait enfin du début de son prénom).
« Mademoiselle Max ! Vous allez bien ? »
Avec son masque chirurgical, ses cheveux dans un état pas possible et son kimono qui s'était un peu déchiré, elle avait autant l'air d'une clodo que les SDF qui peuplaient les souterrains. Mais elle s'en moquait, Coraline était accrochée de toutes ses forces à mademoiselle Max, et dévisageant les personnes aux couleurs de cheveux exotiques qui se tenaient devant elle. Le type vert était un monsieur Cimbaeth, si sa mémoire revenue ne lui faisait pas défaut. Et l'autre, c'était une jolie inconnue tout ce qu'il y a de plus inconnu.
Spoiler:
Vouala ! Si tu ne t'en souvenais pas Max, Coco et Maxime ont un lien ensemble o/
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Chayton A. | Ecrou
Sujet: Re: » Danse comme si ta vie en dépendait. Mer 6 Aoû - 5:52
Il faut danser, même avec la fin du monde ♥
Ft. une bande de fous!
Hier, vous n'y croyez pas. Pourtant c'est arrivé ! La catastrophe. Évacuer Paris en urgence, la panique parmi les habitants. On court à la fin du monde. C'est apocalyptique. C'est horrible. Vous étiez avec ce petit garçon, vous cherchiez sa maman, tout le monde a commencé à courir. Dans tous les sens, bousculant les gens au passage. Mais que se passait-il ? La sirène ? Oui l'alarme qui sonne généralement tous les premiers mercredis de chaque mois, mais si vous étiez mercredi et le premier mercredi de ce mois-ci, tout aurait put coller correctement si ce n'était l'heure. L'alarme s'était déclenchée bien avant midi, chose qui n'était pas normal. Mais vous n'y auriez même pas fait attention à ce détail si il n'y avait pas eu cette vague de gens fous, hurlant à la mort que c'était la fin. La fin du monde. Votre cœur à ce moment là, battait tellement vite, tellement fort, comme si il voulait s'échapper de votre poitrine. Mais vous n'avez pas flanché. Vous avez gardé l'esprit tout du long. Pour ce petit garçon. Eliot ! Pour l'aider. Pour retrouver sa maman qui avec tout ça en plus devait être en panique de ne plus le voir à ses côtés. La jolie dame blonde, mère du petit garçon, se trouvait non loin d'une camionnette noire portant juste ce logo de glaces, un vendeur ambulant. Elle voulait en acheter une pour son fils quand le début de la fin avait commencé. Une fois que vous l'aviez rejointe, et rendus son fils, elle vous expliqua ce qu'elle avait put comprendre de la situation. Une catastrophe épidémique de la grippe A, mais ce truc n'avait-il pas déjà eu lieux ? Il y avait un vaccin non ? C'était la panique chez les parisiens ! C'est justement ce que vous ne comprenez pas. Eliot, l'adorable petit garçon vous remercia avant de repartir avec sa maman.
Après chacun de son côté, vous deviez rentrer chez vous. Pour y rester confinée ou bien prendre vos affaires et puis partir. Mais pour partir comme ça à l'improviste, vous avez besoin de bien plus d'une valise. Une départ comme ça précipité ce n'est pas envisageable, pas possible de partir sans prévoir tout ce qu'il faut convenablement. Alors vous resterez ici jusqu'à que tout soit fini. Et au pire si c'est vraiment la fin du monde, peu importe où vous serez, vous n'y échapperez pas. Alors autant rester là où vous avez votre vie, votre place. Du coup, vous avez courus, et courus encore, sans vraiment savoir si vous alliez dans la bonne ou la mauvaise direction. Vous n'êtes pas la meilleure pour le sens de l'orientation, mais vous avez tout de même un instinct et vous l'écoutez ? Souvent il est juste, parfois il se trompe, mais vous trouver toujours ce que vous cherchez. Le parc était loin derrière vous, mais encore trop de monde paniqué se précipitaient dans tous les sens. Mais pourquoi courir au final ? Arrêtez là, vous observiez cette apocalypse se dérouler sous vos yeux étonnées. Votre décision de ne plus bouger de là avant de savoir ce qu'il se passe, c'est certains vous allez vous y tenir. Pourquoi s'enfuir sans raison ? Non avant tout maintenant vous voulez comprendre. Une personne marchant doucement passe par là. Ce jeune homme joue avec les clés qu'il tient entre ses mains. Il ne semble pas pressé, pas stressé, vous devez le suivre, le questionner. Dans cette rue, il a passé la porte rouge après avoir tapé le code. Vous ne saurez pas pourquoi il était si calme à côté des autres ? Pourquoi la panique ne l'a-t-il pas contaminée comme avec tous les habitants de cette grande ville ? En fait, il y a bien une épidémie, mais pas cette que l'on croit.
Vous passez votre chemin, prenant la route en direction du métro afin de pouvoir rentrer chez vous. C'est déprimant, dans cette impasse, il n'y a aucune vie, les rideaux sont tous tirés, les portes closes, les fenêtres aussi, ils sont sérieux ? Ils ont tous les clim ou quoi ? Tout fermer même les rideaux avec cette chaleur ? Épidémie ou pas, crotte de chien, vous n'allez pas vous enfermer pour sombrer dans la folie de cette peur. Et puis si vraiment c'est la fin du monde, autant finir avec lui. Plus loin, il y a ce tout petit chat blanc, avec des tâches grises, il gratte à une porte, porte qui lui reste fermée malgré qu'il miaule comme il peut. Ce pauvre bébé chat, il doit habiter ici pour s'acharner, même en vous approchant, il n'est pas partit, donc aussi habitué aux humains. Il vient même vous faire un câlin, il semble adorable et pourtant abandonné. Il sursaute et crache quand le porte rouge non loin s'ouvre d'un coup en claquant. Le petit chat se cache, derrière vous une voix masculine vous interpelle « Que faites-vous ? Vous êtes folle ? Rentrez chez vous, vous n'avez rien entendu ou quoi, il y a épidémie de grippe A, il ne faut pas restez là. » Vous le regardez, vous haussez les épaules, vous vous en fichez. « Et alors ? Si c'est la fin du monde arrive, je veux voir comment cela va se passer, et non pas me cloîtrer chez moi, surtout par cette chaleur » Il vous regarde, pas comme si vous étiez folle, mais plutôt inquiet, il doit être à peine plus vieux que vous, dans les 25 ans. Il vous invite à le suivre chez lui. C'est le monsieur tout tranquille qui ne panique pas lui aussi à l'annonce de la pandémie. Caché, vous prenez le petit chat avec vous.
Dans sa maison, vous rigolez. La première chose que vous voyez sur la table du salon, est un livre, votre livre. Rouge tomate, il vous avoue vous avoir reconnu. Vous lâchez le petit chat qui part directement se cacher sous le frigo. Ça va être pratique pour le rattraper. Après avoir passé près d'une heure accroupies, allongés, tous deux l'un après l'autre, la tête posée au sol afin de voir où se trouve exactement le chat sous le frigo et que tout votre cirque fut infructueux, vous abandonnez. Il finira par sortir seule 3h plus tard quand il aura faim. Il lui a donné des reste de poulet... Vous avez passé une première journée chez lui, sans sortir sans rien faire, vous avez même commencé à écrire une nouvelle histoire. Tout cela au moins aura servis à vous inspirez. Une histoire d'amour entre une espèce de zombie et une jolie humaine. Et pourquoi pas, il y a eu les histoires d'amour entre vampire et humain, entre loup garou et humain, enfin il y en a plein, alors vous vous lancez. En une journée, vous avez déjà tellement écrit, le jeune homme vous à prêté son ordinateur, ravit d'assister à la naissance de votre nouveau genre. Il semble adorer. Sur l'ordinateur, c'est un peu difficile pour vous d'avancer en cette deuxième soirée chez ce monsieur. Le chat devenu fort confiant, vient jouer avec vos doigts quand ceux-là approchent les touches du clavier pour écrire. Des mots comme cvbyuv apparaissent sur quelques lignes. Du coup, vous avez commencé à parler avec le bonhomme. Vous apprenez qu'il ne souhaite pas se battre contre cette épidémie. Il a un cancer, il est condamné, il ne veut pas céder à la panique qui envahit Paris, il n'a pas peur de tomber malade, il l'est déjà, comment cela pourrait être pire ? Vous comprenez son point de vue et vous réfléchissez à cela. Vous lui dîtes que vous ne voulez pas rester ici éternellement. Vous dormez et partirez le lendemain. Il vous donne une de ses chemises et un caleçon, rien d'autre ne vous va, mais vos vêtements sont portés depuis deux jours, et il est impossible de les laver, il n'a pas de machine, et la laverie est évidemment fermée...
Le soleil se lève une nouvelle fois, vous quittez le pays de Morphée comme tous les matins, comme si tout allait bien, sauf que vous avez dormis sur un canapé. Il vous avait bien proposé son lit, mais gentiment éconduit, ce n'es pas lui qui allait dormir sur le canapé, il est chez lui. Vous avez profité d'une bonne douche, et vous avez enfilé le caleçon et la chemise. Une longue chemise qui pourrait vous faire une robe courte. Qui vous fait une robe courte. Vous attachez vos cheveux en un chignon relevé, haut sur votre crâne. Vous lui laissez un petit mot sur la table de la cuisine, vous attrapez le chat et vous partez avec le nouveau script dans votre sac. Le chat dans vos bras dort encore, il dort beaucoup, vous prenez juste un quelque chose dans le frigo pour qu'il se tienne calme si vous avez à prendre le métro, mais vous vous demandez si celui-ci va fonctionner. Dans les rues, il n'y a pas un chat, sauf le votre. Jusqu'au métro, vous ne croisez personne, c'est tellement vide que c'est à faire peur. Devant les escaliers, il y a d'habitude souvent un sdf ou deux, mais pas aujourd'hui. Vous descendez les escaliers. En avançant dans les couloirs, vous commencez à croiser du monde. Pour certains, il est facile de voir qu'ils sont sans abris depuis longtemps, pour d'autres c'est moins évident, il y en a, vous doutez carrément, mais pourquoi sont-ils ici et pas chez eux ? C'est mieux de s'enfermer sous terre dans un endroit où il peut y avoir des rats ? Vous arrivez là sur le quai, au loin, il y a cette silhouette que vous reconnaissez, c'est Coraline, c'est votre amie, elle ne vous entend pas. Vous partez la rejoindre.
Vous descendez à votre tour, avec les talons, vous manquez de vous casser la figure à chaque pas, bordel de balais de toilette ! Il fait trop noir ici, vous ne voyez rien. Mais au loin, il y a de la lumière droit devant, sur le côté une rame de métro abandonnée en pleine voie, vous entendez des gens parler, vous voyez des silhouettes. Il y a Cora, il vous semble en reconnaître aussi deux autres, Maxou ? Et peut être bien Cimbaeth. Il y a une autre jeune fille, une chevelure très longue qui ne vous dit absolument rien. Une fois à leur hauteur, vous glissez le petit chat dans les bras de la fille inconnue, et vous attrapez Coraline dans vos bras, contente de la voir « Ma Coco, j'ai écrit une nouvelle histoire pour toi, j'espère que tu l'aimera !! » Tout en lui annonçant la nouvelle, tu commence à l'embarquer dans une douce valse. C'est comme si tout était normal ! Ou presque... Vous portez une chemise d'homme, vous venez de donner un chat à une étrangère et vous dansez au milieu des rails du métro, mais sinon, tout va bien ! Au bout de quelques pas de cette joyeuse danse, vous vous prenez les pieds dans un câble, et vous tombez, embarquant Cora avec vous, vous tombez sur la demoiselle portant le chat, et une réaction en chaîne se poursuit. Elle même tombe sur Maxime, qui tombe sur le seule homme de votre petit groupe. Tous par terre, vous regardez le désastres que vous venez de provoquer, après l'écorchure sur votre visage par une branche, voilà que vous tombez en vous griffant le genoux, mais vous rigolez, vous êtes contente d'avoir trouvé du monde que vous connaissez !
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Avatar : Suzuno Fuusuke - Inazuma Eleven Age : 29
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Maxime W. | Swatch
Sujet: Re: » Danse comme si ta vie en dépendait. Mer 6 Aoû - 9:12
Elle pensait être seule, la petite chose. Et bien c'est raté. Un bruit de pas, un bouh petite fille et la voilà qui sursaute. Elle ne s'y attend pas. Elle est trop plongée dans ses rêveries habituelles. Elle se retourne, braquant par réflexe la lumière de son télèphone sur le " bouhoutteur ", l'aveuglant sûrement par la même occasion, et découvre un jeune homme aux cheveux verts qui semble bien s'amuser de sa blague. Tiens. Des cheveux verts. Elle a à peine le temps de s'étonner qu'un autre bruissement se fait entendre et une voix se met à raisonner dans le sombre tunnel. La petite chose se retourne, de nouveau surprise, et découvre sous le faisseau de sa lampe une jeune fille, beaucoup plus jeune que cheveux verts et elle même il lui semble, aux cheveux violets. S'ils se baladaient tout les trois dans les rues d'un Paris non infesté, tout le monde se retournerait sur leur passage. Cheveux verts, cheveux violets et cheveux blancs. Voilà qui n'est pas commun. A peine a-t-elle finit sa pensée qu'elle entend des bruits de courses et une autre petite chose vient s'aggriper à sa taille. Mais ils se sont tous ligués pour lui faire faire une crise cardiaque ou quoi ? Elle éclaire la boule de cheveux qui l'enlace et découvre Coraline. Oooh gentille Coraline. Un soupir de soulagement s'échappe des lèvres de Maxime. Enfin quelqu'un qu'elle connaît. Et la joie de vivre débordante de la fausse enfant était exactement ce qui lui fallait après ses similis crises cardiaques. Un sourire éclaire le visage de la petite chose aux cheveux blancs. Un sourire de soulagement. Un sourire de joie. Allez donc savoir. Elle sert Coraline dans ses bras, s'apprête à se pencher pour lui faire un bisous sur la joue quand quelqu'un - quoi encore quelqu'un ?! - la lui enlève des bras. Mais c'est pas possible, à croire que tout Paris à eut la même idée qu'elle ! Elle dévisage la nouvelle venue qui à entrainer sa petite Coco dans une valse effreinée. Tiens, c'est Thylou ! Ooooh Thylou ! Cette fois, c'est un profond sourire de joie qui s'affiche sur son visage. Mais à peine a t'il le temps d'apparaître que Thylan et Coco font tombées cheveux violets, qui entraine Maxime dans sa chutte qui, par réflexe, s'accroche à cheveux verts et tombe à son tour. Les voilà tous par terre sous le rire chantant de Thylan. Hésitant entre surprise et fou rire nerveux, la petite chose ne dit pas un mot durant quelques secondes, avant de se laisser aller à rigoler elle aussi. Peu habituée à rire devant des inconnus, elle se tait cependant très vite, cherche son portable - tombé pendant la chute - à taton, espère que son appareil photo n'a rien de cassé et se jette entre Coraline et Thylan pour les serrer dans ses bras. Elle a de la chance, elle est tombée sur deux des rares personnes qui ont su la dompter. Elle laisse alors entendre sa petite voix.
« Je suis heureuse de vous voir. »
Puis, comme gênait de s'etre laisser aller devant tant d'inconnu, elle se relève pressement et se tourne vers cheveux verts et cheveux violets. Elle hésite. Laisse échapper un p'tit baragouinement. Non. Ce n'est pas ça qu'elle voulait dire.
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Cimbaeth A. | Soarta
Sujet: Re: » Danse comme si ta vie en dépendait. Lun 11 Aoû - 10:38
La fille aux cheveux blancs s'était retournée vers lui. Oui, il en était certain maintenant, ce n'était clairement pas un représentant du sexe masculin. Sauf qu'elle a aveuglé Cimbaeth de sa torche, forçant celui-ci à se protéger les yeux de sa main gauche. Mais il continuait de rire, la situation l'amusait vraiment. Deux inconnus dans un tunnel de métro dans une Paris apocalyptique.
Mais ce n'était pas fini, loin de là. Tout simplement car une jeune fille aux cheveux violets s'était approchée. Elle devait avoir aux alentours de 18 ans, peut-être un peu moins à bien y réfléchir. Explorer Paris pendant que la ville était déserte... En effet, c'est plus ou moins ce qu'il allait faire. Cette "Céleste" avait vu juste, mais en même temps ça n'était pas réellement bien compliqué de le deviner pour quelqu'un s'aventurant dehors. Il était clair que si on n'était pas un sdf, et bien on explorait. Ou alors on volait, mais c'était un autre problème.
Puis une autre personne arriva, en courant cette fois et pour se jeter dans les bras de celle qu'il avait surpris. Mais il l'avait reconnue, c'était Coraline, il l'avait croisée sur la plage artificielle il y a peu de temps. Elle semblait vraiment jeune, mais quelque chose le gênait par rapport à ça, même si il ne savait pas réellement quoi. Bah, ça ne devait pas être si important. En tout cas, elle avait donné une partie du prénom de celle dans laquelle elle s'était jetée. Max. Diminutif donc, mais de quoi ? Il n'avait pas réellement envie d'y réfléchir, il n'était pas là pour ça. D'ailleurs, pourquoi il s'était arrêté ? Une simple envie. Il aurait quand même tout simplement pu la laisser tranquille cette fille.
D'autres bruits de pas. Finalement, il y avait peut-être tout autant de fréquentation que si Paris n'était pas vidée, sur le lieu où ils se trouvaient tous. Cinq personnes réunies sur des rails, si c'était pas beau. Un train et hop ! Cinq morts. Mais bon, plus rien ne fonctionnait, encore heureux. Surtout pour eux. En tout cas, ce fut une nouvelle arrivante, et pas des moindres, puisque c'était Thylan. Mais qu'est-ce qu'elle faisait là ? Certainement la même chose que tout le monde ici, elle profitait de cette occasion. Elle était venue avec un chaton, qu'elle posa dans les bras de Céleste, puis se dirigea vers Coraline pour... Danser avec elle. Ah, l'exagération elle connaît, c'est certain. Il aimait bien ça.
Puis il tomba. Comment, pourquoi ? En tout cas, il eut le réflexe de mettre en hauteur son appareil photo, ce qui fit qu'il ne subit aucun dégâts. Encore heureux, il venait à peine de le réparer... Bon, il s'était passé quoi ? Thylan dansait, puis est tombée. De fil en aiguille, tout le monde s'était retrouvé par terre. Bon, pourquoi pas. Il se releva doucement, époussetant ses vêtements jusqu'à ce qu'il ne reste plus une trace. Max leur demanda timidement si ils allaient bien. Elle s'était directement adressée à lui et à Céleste, bien plus réservée qu'avec Coraline ou encore Thylan. Brusque changement d'attitude, mais ça n'était pas réellement surprenant, elle ne les connaissait pas.
"Oui, merci je vais très bien. Il n'y a pas de quoi s'inquiéter ! Et toi ?", s'exclama Cim, assez enjoué, avant de se tourner vers Thylan.
"Je suis assez surpris de te voir. En tout cas, cette fois tu n'auras pas eu besoin de me défier pour me faire sortir ! J't'avais bien dit que je pouvais le faire seul.", dit-il avec un grand sourire.
"Sinon, pour ceux qui ne me connaîtraient pas, je suis Cimbaeth. Ravi de vous rencontrer.", puis il s'inclina une fois devant Max et une seconde fois devant Céleste.
Il remit son chapeau en place, emprisonnant encore à moitié ses cheveux. Puis il sentit son portable vibrer. Qui lui envoie donc un message à cette heure-ci ? Ouai, n'importe qui en fait. Tout en s'excusant, il le sortit pour regarder. Ah, un collègue de jeu, qui demandait où le grand Dáinsleif était passé, ce qu'il avait à faire de si important pour rater le tournoi pvp. Ce à quoi il répondit qu'il allait dépop du zombie dans Paris, c'était beaucoup plus jouissif. Franchement, qu'ils arrêtent de compter tout le temps sur lui, c'en était saoulant...
"Et sinon, que faites-vous tous ici ? Comme moi, vous vous baladez et profitez de ce Paris magnifique en cette saison ?", interrogea-t'il innocemment.
Puis il prit une photo de ce petit groupe qui se trouvait encore à terre. Certes, il aurait préféré que Max y soit aussi, mais bon, il ne pouvait pas tout avoir.
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Céleste D. | Malchance
Sujet: Re: » Danse comme si ta vie en dépendait. Lun 11 Aoû - 22:07
Une, deux, trois. Une petite enfant saute dans ses bras. Mais pas ceux de Céleste. Elle ne la connaît pas, et ça serait bizarre que ça se soit passé comme ça. Elle est mignonne la petite pourtant. La poupée aurait bien voulu jouer avec elle dans d'autres conditions. Et en plus, elle découvre le nom de la jolie tomboy. Peut-être pas son nom complet, mais au moins, elle n'est pas obligée d'attribuer des surnoms. Donc la jeune demoiselle au masque chirurgical (mignonne et prévoyante, quel ange) s'est précipitée dans les bras de « Max ». Songeuse, princesse. Elle n'a pas bien vu mais elle est sûre que « Max » a un visage aussi mignon que la gamine. Elle se dit, dans un coin de son esprit, qu'il faudra qu'elle remédie à ça plus tard... Plus tard. Elle les observe tous du coin de l’œil. Oui. Ils ont l'air de tous lui plaire, tous autant qu'ils sont.
Et puis, d'un coup, la princesse elle se retrouve avec un chat dans les bras. Elle cligne des yeux, elle ne comprend pas. Elle regarde cette petite chose et lui caresse doucement le haut de la tête. Il est petit. C'est mignon. Elle relève les yeux et regarde qui lui a donné cette petite boule de poils. Jusqu'à voir... Elle n'est pas sûre, elle plisse les yeux et se pince la main en faisant attention au félin. Oui, il y a bien une jeune femme qui danse avec la petite. Ah tiens. Elle n'est plus dans les bras de Max ? Céleste n'a pas vraiment suivi le rythme. Elle sait juste que c'est... comme s'il n'y avait pas d'épidémie. Un grand sourire se dessine sur ses lèvres. Les gens qui sont là pourront certainement l'aider à ne pas s'ennuyer ! Quel soulagement, alors qu'elle ne pensait pas vraiment croiser quelqu'un d'intéressant.
Bien sûr, au moment où elle est en train de penser que cette journée n'aurait pas pu être meilleure, elle se retrouve ensevelie sous... Sous des gens. Et elle-même sur d'autres. Poupée grimace. Elle ne s'est pas retrouvée sous tout le monde, mais ça fait mal quand même. Puis elle n'a rien compris en plus. Comment se retrouver dans une telle situation ? Est-ce un miracle qu'aucun sans abri des alentours n'ait pas été pris dans la chaîne ?
Céleste se relève lentement et Céleste enlève la poussière qui a pu venir sur sa robe. Les chaussures, c'est pas grave, elles l'ont fait tombée tout à l'heure. Mais la robe, c'est important. Et elle entend une voix, qui l'interpelle, qui lui fait lever les yeux. La dite Max de tout à l'heure lui demande si tout va bien. Elle va pour répondre, la princesse mais le monsieur vert il répond avant. Alors elle gonfle un peu les joues. Mais elle sourit dans la seconde après à tous ceux qui l'entourent.
« Tout va bien. Et Céleste ne connaît personne alors elle est contente de faire votre connaissance ! »
La madame-qui-danse, tout le monde a l'air de la connaître. Céleste se demande alors si elle n'est pas célèbre dans la vraie vie... Mais pour elle, il n'y a que Silver et N qui comptent. De sa bulle, elle écoute, et voit le monsieur-vert-qui-l'a-dépassée-dans-la-réponse-à-Max se présenter. Oh, elle aime bien ce prénom. Et puis il fait de la lumière... Deux minutes. Il fait de la lumière ? C'est suspect cette histoire. Elle jette un coup d’œil aux trois autres demoiselles. Elle a une idée en tête mais... pour l'instant cette lumière l'intrigue trop. Sans dire quoi que ce soit, Céleste se déplace pour aller derrière ce Cimbaeth. Sa curiosité est bien trop forte pour laisser passer ça. Et ce qu'elle lit la laisse sans voix durant un instant. Un court instant durant lequel elle a le temps de retourner s'asseoir à l'endroit où elle était tombée.
« Vous... Tu... Tu es le seul, l'unique Dáinsleif..? Pour de vrai ? Sérieusement ? Mon dieu. Céleste va s'évanouir. Céleste ne joue pas en pvp. Mais elle a vu TOUS tes exploits. Tu es pire qu'un génie, comment c'est possible ? Nan, c'était pas ce que... » Elle reprend son souffle la petite violette. Trop d'émotions d'un coup, elle en oublie la dernière question qu'il a posé. Elle ne sait pas s'il joue aussi sur les consoles portables, mais qui ne tente rien n'a rien. Donc elle reprend sérieusement. « Avec qui marier la MU de Céleste dans Awakening pour que Linfan soit parfait ? »
Et enfin elle se rend compte à nouveau qu'il y a trois autres jeunes femmes, des inconnus qui ont décidé de vivre ici et surtout, qu'elle est dans un tunnel d'un métro. Elle rougit un peu, vu comment elle s'est laissée emportée, et bredouille un bref ; « Pardon... »
Elle réalise pour la deuxième fois qu'il y a les deux demoiselles dont elle ne connaît ni le nom, ni le pseudo, ni le surnom. Mais elle avait quelque chose en tête les concernant. La princesse enlève le long ruban qu'elle a dans les cheveux et va attacher ceux de la petite avec. D'un autre côté, elle tend sa veste à la peut-être célébrité. Céleste ignore totalement ce qu'elles ont pu vivre juste avant pour finir dans un tel état, elle aimerait bien savoir, mais elle ne demande pas. Sa curiosité en a déjà bien trop fait en une journée. Beaucoup beaucoup trop. Elle tente de rester calme en apparence même si elle ne fait que penser à la nouvelle qu'elle vient d'apprendre.
Pour oublier ça, ne serait-ce que quelques secondes, elle leur sourit, à la madame-qui-danse et à la petite-trop-chou.
« Vous serez plus à l'aise avec ça. »
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Coraline C. | Aiguille
Sujet: Re: » Danse comme si ta vie en dépendait. Mar 12 Aoû - 4:51
Coraline fut arrachée des bras de mademoiselle Max pour tomber dans ceux d'un autre. Elle releva la tête, et reconnut son amie Thyl ! La superbe Thyl, qui écrivait des histoires magnifiques. Toute contente de voir celle qu'elle considérait comme une de ses meilleures amies (et elles étaient rares, en plus Thylan connaissait l'âge véritable de Coraline), elle se laissa emporter dans la valse endiablée que la romancière avait commencée avec elle. Les deux filles dansèrent, complètement hilares, dans cette lugubre rame de métro. C'était un tableau bien singulier. Bien que la danse fut de courte durée.
Coraline se sentit entraînée en arrière. En fait, Thylan était tombée et entrainait tous ceux qui les regardaient dans la chute. Les pauvres jambes de la fausse fillette ne tinrent pas le coup et s'effondrèrent avec joie. Heureusement, mademoiselle Max, l'inconnue violette et monsieur Cimbaeth firent coussin amortisseur et la brunette se retrouva en haut de la pile de gens. Elle roula sur le coté pour laisser respirer les autres, et rit avec eux, pas du tout gênée de se retrouver les quatre fers en l'air devant une belle inconnue.
Puis, elle se fit encore enlacer. Par Max, encore. Coraline émit une sorte de léger ronronnement, avec un énorme sourire. La chaleur de la fille aux cheveux blancs lui manqua un peu quand celle-ci se dégagea pour se lever.
Monsieur Cimbaeth se présenta à Max et à la fille violette, et Coraline dut se retenir de ne pas chiper le chapeau du jeune homme, qui se trouvait sur sa tête, comme un invitation à le prendre. Mais cela ne se faisait pas, de voler le chapeau d'un presque-inconnu. À la place, elle joua avec un caillou qui était tombé que la rame de métro.
La couleur brune du caillou et les lignes blanches qui le parcouraient lui donnaient un air particulièrement... appétissant. Comme un biscuit au chocolat. La petite Coraline était affamée et fatiguée, elle ne put résister à la tentation de manger le caillou. Elle le prit et le pouf ! dans sa bouche. Elle essaya de mâcher, mais ses dents se heurtèrent à la rigidité de la chose. Elle voulu ensuite le recracher, mais il avait déjà descendu dans sa gorge. Coraline toussa légèrement et s'asphyxia en silence, tandis que les autres continuaient de parler.
Le petit objet réussit à se débloquer un peu, mais Coraline était toujours muette. Elle attrapa quelques mots que les personnes autour d'elle échangeaient. La fille violette sembla se pâmer d'admiration devant monsieur Cimbaeth. Elle disait que c'était le grand "Dainseuleffe" ou un truc du genre. On aurait dit un nom de grand méchant dans des dessins animés. Coraline pouffa, mais elle s'étouffa encore plus et toussa.
L'inconnue parlait bizarrement, toujours en citant une certaine "Céleste". Coraline n'y comprenait plus rien, qui était cette fille ? Comme la brunette en avait marre de penser à l'inconnue sans connaitre son nom, elle attribua le "Céleste" à la fille violette. Ce serait plus simple pour s'y retrouver !
Et donc, Céleste posa une question qui fit tendre les oreilles de Coraline. Elle demandait à qui marier l'avatar féminin pour avoir un bon Linfan. Tout ça était familier à Coraline. Mais oui ! Elle y avait joué récemment, quand elle s'ennuyait dans son appartement. Elle voulut lui répondre, mais crachota car le caillou, ce caillou du diable, coinçait.
Tandis que Coraline agonisait silencieusement, Céleste lui noua les cheveux avec son ruban. Coraline était heureuse mais étonnée de se geste, et finit par tousser tellement violemment que le caillou fut éjecté et tomba devant elle. Puis, la gorge enfin libérée et délivrée, Coraline s'empressa de répondre à Céleste :
« Marier MU avec Chrom est le meilleur moyen d'avoir un Linfan, et une Lucina en plus, totalement cheaté ! Mais personnellement, je l'ai mariée avec Lon'zu. De toute façon, Linfan est totalement pété avec ses stats monstres et ses nombreuses capacités quel que soit son père ! Et merci pour le ruban, mademoiselle... ? Vous vous appelez comment ? »
Son petit speech terminé, et la tête rouge comme une tomate, elle respira un grand coup. Elle essaya de se relever, mais ses jambes n'obéirent pas et elle tomba comme une poupée de chiffon sur Thylan, s'évanouissant. La journée avait été rude avec la poursuite de Céleste et Coraline avait lâché après tant d'efforts, son petit corps ne supportait pas autant.
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Chayton A. | Ecrou
Sujet: Re: » Danse comme si ta vie en dépendait. Mer 13 Aoû - 5:27
Il faut danser, même avec la fin du monde ♥
Ft. une bande de fous!
Tout ce monde par terre autour de vous. Tout ce monde au sol par votre faute. Et vous rigolez. Vous êtes amusée. Dehors c'est la fin du monde, dehors c'est l'épidémie et vous ici, vous pleurez de joie. Heureuse d'avoir trouvé du monde qui comme vous brave l'extérieur, qui n'a pas peur de sortir le bout du nez. Il y a Maxou, il y a Coco et il y a Cimb. Et il y a cette jolie princesse étrangère à votre répertoire. C'est la catastrophe, mais vous dansez avec la mignonne petit Coraline qui ressemble à une enfant bien qu'elle en ai 24 ans. Elle semblait contente de danser cette valse avec vous, elle ne semblait pas craindre d'être tombée avec vous. Elle semblait joyeuse et tout autant amusée. C'est la faute de vos talons, et de cette rame de métro mal éclairée et encombrée de câble et autres. Un moment vous dansiez, celui d'après vous tombiez, et dans un troisième temps vous êtes là par terre avec tout le petit groupe, vous riez en plus. Et dans tout cela, vous avez oublié le petit chat. Vous l'aviez donné à qui déjà ? Oui, la jolie jeune fille aux cheveux violet. De long cheveux violet, de beaux cheveux lisses. Ils tombent dans son dos comme une cascade aux reflets violet. Mais dans tout ce remue ménage que vous avez provoqué, le bébé félin a disparue.
Vous commencez à chercher cette pauvre boule de poil du regard, ce serait pas gentil de l'abandonner ici seul, si le métro venait à se remettre en route alors qu'il se cacher, ça pourrait bien être la fin de sa pauvre petite existence. Elle aurait bien été courte. Concentrée, vous ne voyez pas cette silhouette s'approcher, et se jeter sur la douce Coraline et vous-même. Elle vous enlace dans un généreux câlin, c'est Maxime. Vous lui souriez, perdant l'idée de retrouver le chat tout de suite, mais elle vous reviendra sûrement plus tard ce n'est pas grave. Cette petite Maxou fait vous honneur de sa douce voix quand elle vous annonce être heureuse de vous voir toutes les deux. Vous regardez Cora, la mignonne Coraline, elle aussi semble heureuse de ce câlin de la part de Maxime. La réservée Maxime qui se laisse aller à ses émotions premières, se relève d'un coup, redevenant la timide jeune fille que vous connaissez. Elle se tourne et regarde monsieur le geek et la demoiselle, elle leur demande si il n'y a pas de mal. Elle est tellement pleine d'attention et de gentillesse ! Maxime est ce genre de personne aussi adorable que Coraline, que vous adorez fréquenter, les retrouver dans ce métro en cette période étrangement vide de monde dans Paris, est un vrai bonheur. Cimb fut le premier à lui répondre. Il semblait bien aller.
Il se lève, et se tourne vers vous, il s'adresse à vous. "Je suis assez surpris de te voir. En tout cas, cette fois tu n'auras pas eu besoin de me défier pour me faire sortir ! J't'avais bien dit que je pouvais le faire seul." Vous rigolez ! Il est amusant, le petit pas si petit, puisqu'il est plus grand que vous, que ce soit en âge, en taille ! Mais vous aimez bien l'appeler le petit, c'est ce surnom d'affection que l'on donne parfois aux gens que l'on aime bien. Tout comme vous appelez votre amie Maxime, Maxou chérie ou Coraline, Cora d'amour. Il est vrai que vous adorez défier le bonhomme souvent devant sa télé avec un jeux vidéo, ou sur son ordinateur, enfin souvent enfermé chez lui, vous le défiez pour le faire sortir. Vous connaissez sa passion pour la photo. Il fait de bien beaux clichés, si seulement il pouvait en faire plus. « Je vais bien merci et toi-même ? Pourquoi donc devrais-je rester enfermée chez moi quand le peu de monde restant dans cette grande ville est dehors ? Mais de te rencontrer dehors, je suis très fière de toi Petit, la tentation de se croire dans un de tes jeux vidéos catastrophes te tentais trop ? » Vous avez ce petit rire en coin, car tout cela vous amuse. Il se tourne vers Maxime et l'autre belle jeune fille, il se présenta aux deux jeunes fille et leur fit la révérence. Tout cela lui donnait presque l'allure d'un prince charmant. Il chercha enfin à faire de l'humour, sur la belle saison de ce Paris que vous connaissiez ce jour. Et il prit cette photo alors que vous étiez encore assise au sol, en la compagnie de l'inconnue et de Coraline.
« Tout va bien. Et Céleste ne connaît personne alors elle est contente de faire votre connaissance ! » La fille aux cheveux violet répondait à la question de Maxou, en parlant d'elle même à la troisième personne. Ou sinon, vous n'avez rien compris. Et donc, c'était Céleste son prénom. Bien joli, pour une demoiselle bien charmante. Et puis elle fit une chose totalement surprenante. Elle s'extasia devant Cimbaeth, elle se mit à parler de jeux vidéos, en admiration devant les exploits du jeune homme, elle lui demanda aussi des conseils, avant de se retourner et de bredouiller des excuses. En vous regardant, elle vient vers la petite Cora, lui attacha ses longs cheveux avec un ruban, et vous tendit sa veste. Un jolie veste violette, vous ne savez pas quoi faire, pourquoi donc ce geste envers vous ? Pourquoi seriez vous plus à l'aise avec cela ? Peut être juste parce que vous porter qu'une chemise d'homme et un caleçon, il faut lui accorder que ce n'est pas très habillé tout ça. D'accord vous n'êtes pas prête pour un cocktail mais vous n'êtes pas non plus nue et à la rue, enfin ça, si pour l'instant. Mais pour ne pas décevoir la jeune Céleste qui vous la propose si gentiment. Il est difficile de dire non à son sourire. « Merci mademoiselle la princesse Céleste » Tout a coup, vous avez envie d'en faire un personnage de roman ! Et la belle Coraline rajouta une couche sur le thème des jeux vidéos. Vous n'y connaissez rien, donc vous ne pourrez alors pas apporter votre avis sur le sujet, mais c'est amusant quand même de les voir ainsi.
La petite Cora était quand même bien rouge de visage, elle n'était pourtant pas timide. Et quand elle essaya de se mettre debout, elle vous tomba dessus, évanouit. Vous n'avez rien comprit. Vous la relevez un peu en restant vous assise, vous la prenez par les épaules et la secouez délicatement, doucement, et d'une petite voix vous l'appelez. « Coraline, ma belle, ma petite, ma douce Coraline, parle moi, dis moi ce qu'il y a » Son état vous inquiète, elle ne vous répond pas, elle ne bouge pas, elle reste dans les vapes. Vous regardez les autres un à un, tour à tour, votre regard les interroge. Vous recherchez une réponse, vous voulez savoir, il vous faut l'aider, la sauver. Ne serait-ce pas cela, le truc qui touche tout le monde dehors ? « Il lui arrive quoi ? Elle est malade ? On doit lui trouver un médecin si c'est le cas, je ne la laisse pas dans cet état !! » Vous montrez toute votre détermination, et qui aimera bien la petite Cora, voudra bien vous suivre. Et qui pouvait résister à la bouille tant adorable de Coraline. Sa bouille toute endormie commençait à retrouver sa couleur d'origine pour laisser la couleur tomate aux tomates.
Vous alliez vous lever pour vous sortir de là avec la petite évanouit, partir à la recherche d'un docteur pour la sauver, vous ne l'êtes pas vous même, vous ne pouvez pas deviner le mal qui l'occupe, vous n'avez même fait aucune étude vraiment poussée. Après le diplôme du bac, vous avez tout laissé pour vous consacrer à ce qui vous passionnait, les romans d'histoire d'amour érotique. Comme vous le faisiez sous un pseudonyme pour la gazette du journal du lycée. Mais tout cela, c'est aujourd'hui du passé. Maintenant, vos camarades sont tous au courant, ou presque. Et vous ne vous cachez plus. Mais ce qu'il se passe quand vous commencez à bouger au sol pour vous préparer à lever Coraline, c'est le petit chat qui avait disparue qui revient. Il arrive en courant comme une furie, passant entre les jambes de Cimbaeth, passant à côté de Céleste, et ralentissant au niveau de Maxime, en lui attaquant vite fait le mollet avant de sauter sur la douce Cora plongée dans son monde endormie. Il tourne tourne, et se couche sur elle, commençant à ronronner doucement. Il est tellement mignon. Cette scène vous fait chaud au cœur, ce bébé chat semble rapidement adopter l'adorable jeune femme à l'apparence de jeune fille. Mais qui pourrait lui résister ? « Ils sont tellement beaux tous les deux. Vous regardez les trois autres personnes qui vous accompagne dans cette aventure, « Et bien, on fait quoi maintenant ? » Le bébé chat vous regarde de ses grands yeux ouvert et curieux.