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Flamen Q. | Déimos
Sujet: Strength and thoughts -- Flamen Q. Jeu 10 Sep - 2:22
Flamen Quimper
I’m sorry dad, i wish i was stronger
Âge : 15 ans Sexe : femme
Date de naissance : 01/09 Lieu de naissance : Saint-Martin-du-Tertre
Situation familiale : vit seule avec sa mère Orientation sexuelle : hétérosexuelle
Métier : lycéenne Situation financière : aisée
Signes particuliers : a une grosse cicatrice dans la paume de sa main droite, et a du mal à se servir de cette même main
Alter Ego
Sexe : homme Tranche d'âge : 16/19 Nature du changement de caractère : Indifférent Acceptes-tu une histoire "trash" ? : oh, pourquoi pas
Physique
Je ne sais pas trop où commencer. Ah si, peut-être par les renseignements basiques type taille, poids… Alors voilà, je mesure un mètre cinquante-six pour cinquante-quatre kilos. Je suis donc assez maigre, c’est vrai. Mais je suis forte! Non en fait c’est faux, totalement faux. On me connait dans ma famille comme la personne à la plus faible constitution. Je tombe facilement malade, j’ai beaucoup de mal à porter des choses; vous ne pourrez pas trop compter sur moi pour vous aider dans vos déménagements! Enfin, j’aimerai vraiment être forte, un jour, et je pourrais m’en vanter! Ce jour viendra quand je n’aurai plus honte de ma maigre corpulence, certainement. Sinon, j’ai des cheveux châtains arrivant en haut de mon cou, j’ai une coupe très garçonne, comme je n’affectionne pas vraiment les cheveux longs. Si j’en avais, je passerais mon temps à jouer avec, et question concentration, ce n’est pas vraiment ça. Néanmoins, pour montrer que je suis bien une fille malgré ça (et mes vêtements), je porte une barrette orange qui ressemble une fleur à quatre pétales, et je ne me sépare jamais d’elle. Si on continue sur ce qui est le facial, parlons de mes yeux: semblables à ceux de ma mère, allongés, mais pas au point d’être une asiatique, non non. Ils sont bruns, virant souvent au doré, ce qui est, je l’avoue, plutôt joli. Mon visage, il est fin, je pense. Du style fin pour qu’on puisse reconnaître une bouille de fille, même si de loin je ressemble à un garçon. Tant qu’on est dans le corporel, et avant de passer à mon style vestimentaire, je vais aborder comment je me comporte et surtout ce qui fait ma particularité, même si c’est pas du tout extraordinaire, c’est même très ennuyeux. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, je suis très vive, je réagis instantanément à ce qu’il m’arrive. C’est un réflexe que j’ai dû acquérir quand je me suis blessée à la main droite, pour me protéger. J’arrive aussi à très bien prédire la trajectoire d’une personne, pour éviter le fameux « bug de la rue » - mais si, quand on est en face d’une personne et qu’on ne sait plus où aller. En amont, je suis aussi la personne la plus maladroite de l’univers. Et pas parce que j’ai du mal à me servir de ma main droite, ce serait trop facile. C’est pas ma main qui me fait trébucher toute seule en marchant. On dit que je suis souvent dans la lune –et c’est le cas en fait, alors ça explique beaucoup. Mon seul réflexe dans ces cas où je tombe, c’est de m’accrocher à la personne la plus proche de moi, alors désolée à celui qui subira mon poids! Enfin, abordons le point le plus important: ma main droite. A cause d’un accident, je ne peux plus utiliser ma main correctement, car malgré l’opération, certaines choses n’étaient pas réparables. Quand il fait froid notamment, j’ai d’énormes douleurs dans toute ma paume, et je ne peux presque rien faire de mes doigts, et je ne peux pas m’empêcher d’avoir peur dans ces moments-là de devoir être amputée ou quoi que ce soit. Quand le temps est plus clément, j’ai juste des moments de difficultés à bouger mes doigts, c’est bien moins préoccupant. En tout cas, je garde de cet accident une belle cicatrice dans la paume, et la regarder me met très mal-à-l’aise.
Alors maintenant, les vêtements! Je ne suis pas compliquée, car je porte que ce qui est ample et confortable. C’est aussi pour ça que je porte souvent des pulls trop grands pour moi, et des shorts, car les pantalons sont trop serrés. Alors voilà, je résume plutôt par ce que je n’aime pas: les choses qui collent au corps, les jupes, les ballerines… Donc oui, ce qui fait fille, encore. Pourtant je ne veux pas être un garçon manqué, n’allez pas le croire! D’ailleurs pour ma défense, j’aime le orange, vraiment. Quoi, c’est pas une excuse? Bon alors, il m’arrive de porter des robes, mais pour les mariages seulement. Juste parce que ça fait plus présentable.
Caractère
Alors, si il y a bien une chose qu’on voit de suite chez moi, c’est ma timidité. Ma timidité est du genre foudroyante, et donc j’arrive plus du tout à faire un truc sensé. Ça commence par le rougissement, puis par la perte de parole, souvent. C’est que je n’ai pas l’habitude de parler avec des étrangers, j’ai toujours connu les amis de la famille, et c’est tout. Alors oui j’ai toujours été surprotégée, mais c’est pas une raison pour que je ne me fasse pas d’amis; j’essaie! C’est pour ça que j’ai besoin que la personne qui tente d’établir un contact avec moi fasse le premier pas et me mette à l’aise. Oui, j’ai l’air un peu compliquée, mais retenez bien que c’est par peur des étrangers que je réagis comme ça. Sinon, je suis très passive, le genre à ne pas prêter attention à ce qu’il se passe autour de moi, parce que ça ne m’intéresse pas. Je déteste les conflits, alors je ne vois pas l’intérêt de m’en mêler si ce n’est pour me faire des ennemis ou me faire frapper. Je préfère ne jamais donner mon avis, puisque tout ce que je dis peut être mal interprété et ça peut finir mal. C’est en partie pour ça que je préfère rester dans mon coin et ne parler à personne, comme ça, je suis protégée par mon silence. Ça a pu énerver mon père de nombreuses fois, alors finalement en y repensant, je sais pas si ne rien dire est mieux même si c’est plus réconfortant. Faudrait que j’y réfléchisse, tiens! Et ce qui est amusant –ou triste, à vous de voir, c’est que je suis aussi très curieuse, je veux tout savoir sur tout. Ca inclut les commérages, les questions politiques et autres choses existentielles. Je déteste être ignorante, j’ai l’impression d’être inutile et mise à l’écart des autres. Et puis parfois les informations que je récupère sont intéressantes, et avec ma mémoire plutôt auditive, je peux me souvenir de presque tout ce qu’on me raconte. Et quand je serai vieille je pourrai frimer parce que je me souviendrai de plein de choses! On raconte souvent que je suis gentille au point d’en être naïve. Je suis serviable, j’aime réconforter les autres et je ne laisse jamais personne tomber, même si cela m’ennuie un peu de le faire. Je déteste voir quelqu’un triste, et c’est une une bonne occasion de me rapprocher de quelqu’un. Mais ma mère me répète toujours de ne pas être trop gentille, sinon on pourrait se servir de moi. Honnêtement, je n’ai jamais eu l’impression d’être manipulée à cause de ma prétendue gentillesse, mais je n’ai pas dû me rendre compte qu’on s’est moqué de moi une fois. Mais la chose la plus flagrante sur ma dite naïveté, c’est de croire tout ce qu’on me dit. Après tout, si ça semble possible, pourquoi je ne croirai pas à ce qu’on me dit? Enfin, heureusement que je ne suis pas non plus une commère, sinon j’aurais pu balancer tellement de trucs faux au point de vouloir me voir brûler sur un bûcher comme une sorcière au Moyen-Âge. Ensuite, on dit de moi que je suis très sensible. Bon je vais pas dire le contraire, car il faut dire ce qui est: je pleure pour un rien. Je ne sais pas trop si c’est du manque de confiance en moi, mais la moindre remarque sur moi me remonte directement, et j’en pleure presque immédiatement. Et quand c’est pas pour moi que je pleure, je fonds en larmes quand je regarde des films (et parfois quand il n’y a qu’un sous-entendu triste), ou bien je le fais pour les autres. Peut-être que le pleur est contagieux comme le rire, mais je suis la première à renifler quand une autre personne est triste. Oh et puis, je suis ce qu’on appelle une « fujoshi ». Je suis très fan de la culture japonaise, surtout en ce qui concerne les mangas. Les yaois. Les mangas avec des histoires d’amour entre garçons, là. Oui, ça casse complètement mon image de fille sage et timide, mais tout le monde possède un côté obscure, non? Eh bien moi, j’adore ce genre de mangas comme certaines filles adorent leurs boys band. Mais il y a quelque chose de plus amusant que simplement lire des histoires où on peut imaginer des couples: c’est de faire ses propres couples avec des personnes qu’on voit dans la rue. J’adore faire ça, c’est un passe-temps très amusant. Principalement, je crée des couples imaginaires entre garçons, pour ne pas être originale. Mais il ne faut pas avoir peur de moi, je ne pense pas tout le temps à faire ça, et puis si je vois que quelqu’un que je fréquente n’aime pas cet aspect de moi, je n’en parle plus.
Histoire
Alors, je ne sais pas trop par où commencer. Je devrais résumer juste ma vie, alors voilà. Je m’appelle Flamen Quimper, bretonne du côté de ma mère, parisienne du côté de mon père; je suis néanmoins née à Saint-Martin-du-Tertre, une jolie ville au nord de Paris. Mon prénom est quand même breton, et je l’aime beaucoup. Bref, je suis née dans cette famille contente d’avoir eu son premier enfant après de nombreuses tentatives loupées. J’étais vraiment attendue, alors j’ai été gâtée en conséquence par les jouets, les beaux vêtements, les sorties aux parcs d’attraction. Mes parents, plutôt en bonne situation financière, ne cachaient pas leur « richesse » tant que c’était moi qui la portais, en fait quand j’y pense. Ce n’était pas un problème, ceci dit, puisque j’étais trop petite et insouciante pour revendiquer l’aspect « vitrine » que j’avais. Et je ne peux pas leur en vouloir, ils étaient trop contents de m’avoir. Enfin voilà, ma petite enfance était normale, normale pour une fille pourrie gâtée, et je n’en ai pas vraiment de souvenirs, sauf pour certains de mes cadeaux qui me semblaient très importants –alors que maintenant si je me dis « j’ai eu le train électrique de la marque Machin hors de prix », ça fait plutôt ridicule.
Mais plus j’ai grandi, plus j’ai remarqué que les autres agissaient mal envers les autres, et parfois même envers moi. Dès la primaire, en fait, j’étais mise à l’écart pour une raison que j’ignore. Heureusement que ce n’était pas le cas de tout le monde, que j’avais encore des amis qui me parlaient, et c’était suffisant. Je n'avais absolument pas besoin des autres, ils n'avaient presque aucune utilité dans ma vie sauf remplir cette salle de classe bien animée. J’avais mes deux amis, on s’amusait à jouer aux espions dans la récréation qui était bien assez grande pour que chaque recoin ait son utilité: derrière le filet du terrain de foot, on récupérait nos gadgets pour aller en mission, sous le préau c’était où on habitait… Mon imagination combinée à celle de mes deux camarades me faisait presque oublier qu’à côté, les autres pouvaient déjà rire de notre enthousiasme. En tout cas, j’adorais déjà inventer un univers entier pour m’amuser, au point que j’ai commencé à créer celui dans lequel j’ai évolué jusqu’à aujourd’hui. C’est le genre d’invention qui m’a rendue imperméable aux critiques au début, car tout ce que je faisais semblait classe, beau, et j’étais un peu l’héroïne de tout ça. Il n’y avait que moi qui comptais, et s’il devait y avoir des personnes dans ce monde, ces personnes m’encourageaient! Stupide, pas vrai? C’était vraiment bien pour moi, en tout cas. Mais je suppose que c’est ce qui a gêné mes parents, après. Vous savez, voir son enfant devenir plus distant, ça doit être inquiétant, on pense que son enfant est victime de moqueries de la part des autres enfants. Pour une enfant si aimée comme je l’étais, cela devait être inconcevable. Mais non, ils ne comprenaient pas que ce n’est pas parce que j’avais l’air bizarre que j’étais forcément une victime. Et puis, tout le monde change, je changeais déjà; peut-être que j’étais déjà plus mature que les autres, ou juste malade. Je n’arrive pas à le savoir. Je dessinais souvent ce que ce monde pouvait donner s’il existait vraiment, mon monde où je suis l’héroïne. Pas du grand art, mais c’était assez représentatif de ce que je voyais: une personne forte qui était appréciée, parce que c’était une personne qui sauvait les autres, dans un monde plutôt normal? Je crois même que je me représentais Saint-Martin-du-Tertre en version plus « magique ». Et j’aimais tellement mon idée que je me suis dit que je pourrais créer toute une histoire autour de mon personnage, et de ce monde. Ce n’était plus une question de m’isoler des autres, à partir d’un moment: je pensais jour et nuit à cette histoire que j’inventais. Ecrire et dessiner était bien plus intéressant que me préoccuper des cours. Alors forcément, ce qui devait arriver arriva: les mauvaises notes, très mauvaises. Mon premier 2 sur 20, comment dire- violent. Voir une telle note alors que juste avant, ça allait, j’avais d’assez bonnes notes. Et comment j’allais pouvoir dire ça à mes parents? La honte et la peur de leur réaction, ça ne me motivait pas à leur avouer cette petite erreur de parcours. Alors bien évidemment, je n’ai rien dit. J’avoue regretter cette décision, mais c’est certainement arrivé à tout le monde de cacher une note médiocre pour échapper à une punition. Mais encore pire comme décision: ne rien faire pour tout arranger. J’ai commencé à enchaîner les notes assez basses, et mes parents l’ont su. La réaction de mon père m’avait fait peur, ce soir-là: il hurlait vraiment fort des choses auxquelles je n’ai pas réellement fait attention, puisque je ne voulais pas savoir ce qu’il pouvait raconter. Je ne l’avais jamais connu ainsi, lui qui était un père « normal »? En fait, ce n’était pas le père que je pouvais imaginer, le changement de comportement était trop brutal pour que je puisse penser que c’était la même et seule personne qui me crachait dessus. Après ces dix minutes à ruminer trente fois la même chose, je m’en suis sortie avec une interdiction de voir mes amis en dehors de l’école, plus de cadeaux. Je ne sortais jamais, et je me fichais de cadeaux, à vrai dire. Ma seule punition que je me suis attribuée, c’était de travailler, sinon il recommencerait.
Larguée. J’étais plutôt larguée, quand j’ai voulu travailler. Je comprenais bien les cours, ce n’était pas le problème, mais je n’avais aucune motivation à écrire pour faire un exercice. Et pourtant, je suis passée au collège avec une appréciation très limite, sans vous détailler exactement ce que disait la professeure. Je me souviens bien de mon père qui m’a dit « Tu as eu de la chance », quand il a su la nouvelle. Bah, je devais juste faire mieux, pour qu’enfin mon père quitte son attitude méprisante que je commençais à connaître, mais à laquelle je n’arrivais pas à ne pas penser. C’est le genre de regard qui transperce le corps, et qui est omniprésent, qui pèse. J’avais cette réelle impression que ce mépris ne me quittait pas, et alors je devais l’ignorer. Et pour ça, j’ai continué à me renfermer afin que même ce regard ne m’atteigne plus. La solitude, je n’en n’avais même plus peur! « Elle ne comprend même plus ce que je lui dis, et elle ne parle plus, tu ne crois pas qu’elle a besoin d’être aidée?! », j’entendais bien ce que mon père disait, dans le salon, puisque j’étais au même endroit. Il se permettait quand même d’hurler pour pas grand-chose, mise à part dire que je suis folle, clairement. J’avais bien compris cette subtilité, mais ça me faisait de la peine de savoir qu’une personne que j’adore me trouve mal dans ma tête. Après tout c’est lui qui avait aggravé mon cas, en quelque sorte. « Tu ne comptes pas la faire interner, si? », ma mère était perdue et un peu en colère, comme je pouvais l’être. « Ils trouveront ce qui ne va pas chez elle, c’est sûr. », « Mais elle a juste besoin d’une auxiliaire, ça suffira! », « Flamen a besoin de se remettre en question, pas qu’elle se repose sur quelqu’un d’autre. », mon père était vraiment capable de dire ça sur sa propre fille? Mon bouclier, c’était comme s’il se brisait soudain, et je devenais vulnérable à ses paroles, au point d’en pleurer. Ma mère essayait de le raisonner en lui sortant tous les spécialistes existants et qui pourraient empêcher un bête internement ou quoi que mon père veuille me faire. Était-ce vraiment mon père, qui criait, encore? Il criait sur sa femme? A cause de moi? Un pincement au cœur fut de trop, et je fondais en larmes, sans qu’aucun d’eux deux ne le remarque, toujours en conflit. « Pose ce vase, qu’est-ce que tu comptes en faire? », et ma mère qui voulait reprendre le vase des mains de mon père s’apprêtait à se prendre l’objet en pleine face, car celui-ci avait peur de sa réaction soudaine. Ensuite, c’était comme un ralenti, je me suis précipitée vers mon père pour reprendre le vase, mais il s’est brisé dans mes mains, et non sans violence. J’imagine que mon père allait vraiment le jeter avec toute sa force sur ma mère, puisque des gros morceaux de verre étaient bien coincés dans ma main droite. J’étais complètement effrayée par ce qu’il se passait, je ne réalisais absolument pas que j’avais horriblement mal, et surtout que je saignais. C'était rouge, très rouge sur le parquet, je me demandais juste comment le sang allait pouvoir partir si on n'essuyait pas vite. Il y avait un silence pesant dans le salon, et personne n’osait dire quelque chose pour me rassurer. Puis après quelques secondes d’hésitation, ma mère a appelé le SAMU, paniquée.
Avec une intervention chirurgicale, les tendons apparemment endommagés par le verre ont pu être soignés, et j’ai eu droit aux joies de la rééducation pendant quelques semaines. J’étais exténuée juste parce que je bougeais des doigts, c’était vraiment horrible, je ne pouvais plus faire ce qui était le plus simple. Et après ça, j’avais juste quelques difficultés à plier mes doigts, mais c’était presque comme avant. Et presque inévitablement, ma mère a quitté mon père, et je ne l’ai jamais revu, il n’a plus eu le droit de me voir, après cet accident. Alors on a déménagé sur Paris, dans ce petit appartement très chaleureux, toutes les deux. Et pour que ma mère ne se sente pas triste, j’ai tenté de changer, jusqu’à aujourd’hui, alors que j’entre en seconde avec mes malheureuses notes moyennes pour tenter un bac qui serait artistique.
Derrière l'écran
Pseudo : Mun, Muny, Moony (mais c’est Muny surtout) Âge : 16 ans Sexe : femme (oui avec C-ta je suis pas crédible comme madame mais je suis très femme femme) Découverte du forum : Alors bonjour j’ai une amie de mon squad qui me fait « munmun viens sur Irréel » et me voilà Personnage sur l'avatar : Chie de Lcd Dem Autres : Alors oui voilà apparemment c’est tout un squad (dont je fais partie) qui s’est inscrit et j’adore vraiment le contexte c’est super cool et ça change de ceux que je connais et je vous envoie plein de paillettes
crackle bones
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Avatar : Nanna | Makishima
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Hilly L. W. | Rome
Sujet: Re: Strength and thoughts -- Flamen Q. Jeu 10 Sep - 4:13
Maintenant que tout est dit, tu peux enfin vagabonder comme bon te semble dans les plaines verdoyantes d'Irréel. Mais avant tout, laisse moi te donner quelques petites indications. Je te conseilles d'aller recenser tes avatars avant ton départ, et pour être bien préparé de ne pas oublier de t'afficher avec ton Alter-Ego dans ta signature. Si tu veux on a préparé un petit codage par ici pour qu'on voit bien de qui il s'agit ! Ensuite tu pourras enfin partir pour l'aventure ! Les premières étapes conseillées sont simple, se faire des amis et ennemis par là, créer ton obligatoire cahier de suivi pour Alter-Ego et si tu le souhaites, chercher un compagnon de route pour un instant dans les demandes RP. Pour ce qui est du reste, c'est à toi de tout découvrir !
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Avatar : Chie - Lcd Dem Age : 24
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Flamen Q. | Déimos
Sujet: Re: Strength and thoughts -- Flamen Q. Sam 12 Sep - 2:16
Je veux savoir qui a eu cette idée de nom c'est très perturbant là je vais garder Déimos d'accord Bon alors, merci pour cet accueil je suis trop émue ENSUITE, bien sûr que je veux bien un lien avec Hilly l'amitié c'est très bien et elles s'entendront bien, j'en suis sûre ahah
PUIS, NON MAIS comment refuser cet AE, il est adorable et Jack Frost est une très bonne raison d'accepter u v ù donc bah bien sûr j'accepte ce petit, et j'en prendrai bieeeen soin!
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Avatar : Nanna | Makishima
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Hilly L. W. | Rome
Sujet: Re: Strength and thoughts -- Flamen Q. Sam 12 Sep - 2:50
Hoooooo je suis contente ♥ je vais te réserver plein de surprises avec ce petit AE *^* je l'adore déjà! Surtout Jack Frost, je suis trop fan de ce personnage xD
(attention, je balance, l'idée de Uche, venait de Tom xD) mais Déimos c'est bien plus cool je trouve /pan/ ça a une signification toute particulière ^^
on se trouvera un lien super cool alors hihi j'ai hâte ♥ maintenant, amuse toi bien! et si tu as des questions, n'hésite pas