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Les mots sont des mots inventés à l'origine!

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Hilly L. W. | Rome
Avatar : Nanna | Makishima


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MessageSujet: Les mots sont des mots inventés à l'origine! Les mots sont des mots inventés à l'origine! Icon_minitimeVen 1 Aoû - 10:38

→ Wood Hilly Layali ←



feat. Nanna | El Shaddai
CARTE I.D

age: 19
sexe: féminin

date de naissance: 14 août
lieu de naissance: Bombay, en Inde

statut: célibatante
orientation sexuelle: Aimer les singes, ça compte? Hétéro, y a des chances, en effet, les hommes sont des singes, non?

métier: barmaid pour mettre des sous de côté pour ses études
situation financière: difficile, mais très gérable

signe particulier: un tatouage d'équation derrière l'oreille, un piercing au cartilage, une cicatrice sur le bras toujours cachée d'un bandage

autre: se promène parfois pieds nus, un autre tic, Tu dis souvent Puddy Puddy! Pourquoi? C'est pour dire que c'est mignon, mais ainsi personne ne le comprend, et ton comportement faussement anti-sociale ou garçon manqué n'est pas grillé!

→ Deux traits sous les yeux ...

A ton avis, qu’a ressenti Armstrong en posant le pied sur la Lune ? Qu’il est allé trop loin pour faire pipi …

« L’habit ne fait pas le moins… Ça tombe bien, tu n'es ni un moine, ni une bonne sœur, tu n'as donc pas à avoir peur ! Aujourd'hui, ton regard, d'un intense bleu caraïbe, semblerait presque vivant avec cette simple brillance. Beaucoup d'émotion, les gens pouvant te connaître savent qu'avec toi, tout passe par ce regard. Mais ses yeux sont aussi ton fardeau. Beaucoup pensent en te regardant la première fois que par ce bleu si pale que tu es aveugle. Pourtant sans vraie sentiments qui t'envahissent, cette vivacité ne semble présente que part cette petite étincelle qui se trouve au coin de la pupille et qui éclaire ce bleu d'un éclat effet bijoux. Cette teinte topaze qui anime ton regard en amande n'est pas tout à fait courante dans ta famille. C'est bien la raison qui fait que les médecins t'ont condamnée à un avenir d'aveugle. Pourtant votre vue est parfaite. Encadrée par ces mèches claires. Vos cheveux ressortent blanc, c'est voulu, c'était une demande de ta part afin de ne pas tout focaliser sur ce regard aux teintes si bleues, parfois même turquoise et avec le soleil on pourrait presque en distinguer des nuances d'un violet presque rose. Ce regard pourrait être ton atout le plus précieux si ce n'était pas là ton fardeau. Et que le premier dragueur qui te sort « t'a de beaux yeux tu sais » soit lapidé, il y a des chances que tu sois la première à lui lancer la pierre. Pourtant il aurait raison, ces yeux qui peuvent être si tendre, cette douceur qui apparaît que ils se perdent au loin juste quand tu t'égare en pensées. Et bien que tu souhaite que tes sentiments soient non identifiables, tu as souvent du mal à cache la présence de ceux-ci dans ces yeux si expressifs. Et ces lèvres fines, légèrement pulpeuses, un sourire pourrait apporter cet éclat manquant par tant de méfiance. Ce qui t'anime le plus, serait cette peur de toujours te faire rejeter, alors tu préfère jeter les gens avant de pouvoir leur donner l'occasion de s'attacher à toi. Ou même juste d'essayer de te connaître. Après ça, un nez fin, une peau lisses, des oreilles bien dessinées, tout semble te donner un air de poupée chiffon. D'autant plus avec ces cheveux vraiment longs, jamais vraiment bien coiffé, seulement relevé en une sorte de queue de cheval et masqué d'un foulard. Il y a toujours de nombreuses mèches rebelles qui s'échappent en tout sens, laissant penser que tu sors du lit. Ces cheveux décolorés blanc, encadrant un visage à la peau mâte et aux yeux pâles. Un regard plein de surprises sur un visage froid, mais à la peau d'une douceur de coton. Et ce côté sauvage apporté par une touche de crayon noir, sûrement trop forcé afin de donné cette impression d'avoir un regard plus petit. Un peu de mascara et c'est là, les seules touches féminines que l'on retrouve chez toi.

Très fine, il semblerait facile de t’attraper et de te casser en deux. Et même si tu ressemble à une proie facile, tu ne te laissera pas faire sans se battre. Une vraie teigne ! ta taille, petite, tu en es fière, pas besoin de talon haut, on court toujours mieux en converses, voir même pieds nus, car oui il n'est pas rare de te voir déambuler dans les rues les pieds non chaussés. Un ventre plat, avec un nombril caché, travaillé par les abdos que tu fais un jour sur deux, le deuxième t’occupant à aller faire une petite course ou quelques longueurs dans une piscine ou un réservoir naturel contenant suffisamment d’eau pour s’immerger. Faire de l’exercice est une habitude que tu as prise et dont tu ne se passerais plus, ces moments calmes te donne le temps nécessaire pour réfléchir ou passer tes nerfs, surtout quand tu t'entraîne aux sports de combats. Tu n'en as pas l'aire comme ça, mais la boxe ça te connaît, un vrai garçon manqué. ta gourmandise ainsi ne se voit pas au premier regard, peut être au premier rendez-vous alors. Les gens ne devraient pas faire l'erreur de te croire fragile, tu pourrais aussi bien surprendre avec un tour de passe-passe apprit en sport de combat. Vous n’imaginez pas le bien que ça procure de taper dans un tas de sable suspendu au plafond. Cette colère ne passera quand cas de besoin et si possible loin des gens. Bien que tu te fiche pas mal des opinions, tu ne souhaite pas faire mal si cela n’a pas été cherché au préalable. Te chatouiller ne te fera pas sortir de ses gongs, il en faut beaucoup plus pour te faire perdre son calme. Tu peux embarquer le monde dans des aventures un peu folles et tu t’agace des plaintes, mais vous ne gagnerez pas un coup de pieds aux fesses, juste d’être abandonné. Petite mais pas tant que cela, tu es sportive, tu te tiens bien te faisant une silhouette élégante à regarder. Si seulement tu savais la mettre en avant. T'habiller n'es pas ta passion première et ça se voit. Un vieux débardeur trop grand, un soutient gorge toujours noir, pour ce que tu as de poitrine tu ne vois pas trop l'utilité de passer ton salaire dans des sous-vêtements de luxes, un petit bonnet B et tu ne t'en plains vraiment pas. Une petite poitrine c'est pratique en tout, sauf en séduction, mais ce n'est pas dans tes distractions. Un pantalon sarouel resserré en dessous des genoux et en dessous, un shorty c'est vraiment plus sympa qu'un string, et identique au soutient gorge, de couleur noire. Ta garde robe, est très sobre, il est très simple d'en faire le tour, niveau couleur, on retrouve des couleurs pâles délavées, comme du bleu, un vieux rouge, du beige, parfois du rose. Pas de marron, ces tons se confondent trop avec la couleur foncée de votre peau métisse. Des pantalons, des shorts, des débardeurs, ou des hauts sans manches, dans ton placard, on y trouve un pull, trois fois trop grand et il y a une robe, mais à quoi peut-elle bien servir ? Ce que l'on retrouve plus que des chaussures, ceux sont des bandeaux, ceux que tu utilise pour retenir cette rebelle chevelure de lionne. Et pour les pieds justement, il y a ces éternelles converses, des tongs et c'est tout.

Bien que tu fasse beaucoup de sport, ton côté fille ressort, dès la séance d'entraînement terminée, tu file sous le douche car tu adore sentir bon, les odeurs de transpirations, tu ne les supporte pas. C'est pour ça aussi que sur ta commode, il y a ce flacon de parfum. Tu t'en pshit toujours un peu avant de sortir de chez toi, c'est bien pour cela qu'il est ranger juste à côté des clés. Ce serait une soir de manie, un péché mignon. Tout comme celle d'avoir toujours des ongles propres. Même si cela ne se voit pas souvent, tu reste une fille. Et tu aime mettre un peu de couleurs dans ta vie. Celle-ci se retrouve sur tes ongles. Parfois même tu t'amuse à suivre des tutos sur internet pour faire des nails art, mais ça, personne ne doit le savoir, bien que tu sois douée pour ça. Niveau bijoux, tu n'en as que très peu, et tous te viennent de ta famille. Un ras du cou et une grande chaîne tombant sur ta poitrine. Un bracelet de cheville que tu porte toujours au pied gauche, d'ailleurs tu es plutôt gauchère, quoi que tu sache te servir de tes deux mains. Le bracelet de cheville est plutôt large contrairement aux trois ou quatre autres bracelets que tu porte au poignet. Pas de boucle d'oreille, sauf peut être ce piercing sur le cartilage. Et sinon il y a ce tout nouveau tatouage dissimulé derrière ton oreille droite, représentant une équation mathématique complexe. Sur le haut du bras droit, on retrouve comme un bandage, souvent là, tu y cache une cicatrice, tu n'as pas envie d'en parler.

Pour tes habitudes alimentaires, c'est le désastres ! Les animaux que tu as l’habitude de recueillir mangent sûrement mieux que toi. D'accord, pas de viande, tu es végétarienne, mais trois repas par jour c'est mieux non ? En fait, tu n'en fait qu'à ta tête, tu mange quand ton ventre gargouille, il n'y a jamais d'heure fixe, et bien que tu aime les légumes, surtout les carottes crues, tu partage cet équilibre avec les fruits et tu adore les fruits rouges ! Ton frigo n'es pas souvent très remplis, tu fais tes courses au jour le jour, c'est peut être bien pour ça que tu n'es pas très grosse, même pas du tout, mais comme tu es aussi gourmande, on retrouve bonbons et gâteaux dans les placards, c'est peut être bien ça qui fait que tu n'es pas non plus anorexique. Ta démarche dans la rue quand tu te ballade n'est pas des plus chaloupée, tu ne balance pas ton fessier de gauche à droite et tu ne roule pas des hanches pour attirer les regards. Tu marche et c'est tout. Parfois même pieds nus comme on l'a déjà dit, mais pas quand tu te rend au travail. Car tu es barman, et le patron ne veut pas que tu bosse les pieds à l’aire, pour des questions d'hygiène, d’esthétique et de règles comme quoi il est possible que tu glisse et tout. Enfin, tout ça pour mettre des sous de côté, le temps de rassembler une somme suffisante pour reprendre des études. Car oui, ton rêve n'est pas de faire baba-cool et de câliner des arbres. Tu aime les maths, et tu aurais voulu faire un master en algèbre pour devenir chercheuse. Dans le but de trouver des vaccins, de vaincre des maladies, et d'abolir les tests sur les animaux. Pour l'instant pour tu sers des bières et des cocktails dans ce bar, en mettant chaque mois quelques sous de côté après avoir payé le loyer et la nourriture.

Ton petit appartement, pourtant petit, c'est le mot, est aussi bien rangé que ta chevelure... Ton placard de vêtement c'est la catastrophe, mais tu t'y retrouve. C'est pas compliqué quand il n'y a pas tant d'affaire, ce n'est pas un dressing de princesse que tu tiens là. Pour la salle de bain, tout est sur le rebord du lavabo ou de la baignoire, car ici c'est le grand standing, tu as une baignoire !! Dans le salon, il y a un vieux canapé, c'est très bien, tes amis les bêtes y dorment avec un grand confort. Et sur la table basse, il y a toujours une boite de gâteau ou de céréales qui traîne. En cuisine, on retrouve un lavabo étonnamment vide, tu fais la vaisselle à chaque repas, mais tu ne la range pas ensuite, elle reste à sécher à côté. Un placard réservé à la bouffe pour les bêtes est toujours ouvert, le singe s'est l'ouvrir de toute façon pour se servir lui et ses compagnons d'un temps. Car Abu est bien le seul à rester, les autres ne sont que de passages, le temps de retrouver leurs maîtres ou bien qu'ils soient soignés. Tu hésite aussi à devenir vétérinaire, mais tu ne voudrais pas l'être en clinique, plutôt en savane, avec la faune sauvage. Mais c'est plus long et plus coûteux. Enfin, une petit télé sur un meuble en carton fait face au canapé de fortune et ce qu'on a oublié, c'est l'ordinateur, que tu trimballe partout de pièce en pièce. Même dans le débarras, car tu as une sorte de pièce où il y a juste assez pour rentrer une machine à laver que tu a eu le luxe de t'acheter par flemme de toujours aller à la laverie. Et tu t'y rend avec ton ordi quand tu fais une machine, tu te pose sur cette dernière une fois lancée et tu t'installe l'ordi sus les genoux en attendant la fin. Finalement, tu as une vie très simple ! Tu as 19 ans, physiquement tu semble plus jeune, mais avec un côté mature.


Un caprice né d'une envie ←

Quel serait le premier mot que tu prononcerais si tu étais présidente? Chui une rebelle, j'ai pas peur de prendre ma douche toute nue!

« Sensée, réfléchis et très observatrice, tu es d'une logique inflexible, qui te donne souvent raison, pour ne pas dire toujours quand tu t'engage dans un combat, oui tu as toujours le dernier mot, et tu ne lâche jamais l'affaire. Ton esprit est combatif et ça se voit. Un de tes qualités principales serait l'honnêteté, franche à toute épreuve, rien ne t'empêche de dire le fond de ta pensée ce qui te rend parfois peu sympathique aux yeux des autres. Je ne pense pas que ce soit par vraie méchanceté que tu agis comme ça Hilly, mais par manque de confiance en l'être humain, regarde toi avec les animaux, tu es d'une grande générosité... Ne me regarde pas comme ça, j'ai compris, je change de sujet. *soupire* Tu es une fine philosophe, même les plus petites questions deviennent un grand sujet de débat existentiel. Ce n’est pas toujours chose facile à dévoiler, ni même de faire connaître la personne que l’on est réellement au fond de soi. Sans vraiment le vouloir, chacun se construit une carapace, pour certains, elle les empêchera de souffrir, pour d’autres elle sera simplement là par timidité. Mais tous, nous conservons cette partie à l’intérieure de nous que l’on appelle phase cachée. Tu as toujours été ce genre de fille, celle qui ressent tellement de choses mais qui n'en dit pas un mot. Celle qui arrive à faire croire aux autres que tout va bien quand tout va mal. Celle qui aura toujours peur de ce qu'elle ressent. Celle qui gâchera toutes ses histoires « d'amour » par peur de souffrir. Oui, tu seras toujours ce genre de fille si tu ne t'ouvre pas... tu as appris à tourner le dos aux gens qui ne méritent pas d'avoir ton attention, mais tu ne devrais pas mettre tout le monde dans le même panier.

De premier abord, tu semble très froide et fermée à toute tentative d'amitié ou d'affinité. Tu es une célibattante ! Tu en impose et tu ne passe pas inaperçue, tu vis ta vie de célibataire à fond et libre. Tu es super bien comme ça et tu n'as, pour le moment, pas envie de changer de statut. Une aventure d'un soir pourquoi pas, mais tu seras la première à disparaître et si ce devait être ton grand amour, tant pis. Le prince charmant n'existe pas et de toute façon, les gens « parfaits » t'ennuie affreusement. Tu es loin de tout faire pour trouver l'âme sœur. Tu es plutôt du genre attirée par les hommes insolites. Tu n'aime pas le commun des mortels, si les extra-terrestres existaient, tu le choisirais sans hésiter. Un homme qui sort des sentiers battus, qui a une personnalité hors du commun : un artiste maudit, un aventurier solitaire, un chercheur déjanté... Pour être amoureuse, il te faut une part d'ombre et de mystère, un sacré grain de folie. L'inconvénient, ces types ont tendance à sauter sans parachute. Avec lui tu plane, mais tu ne sais jamais comment tu vas atterrir et c'est bien ça qui te plaît. Tu es comme une amazone, une jolie jeune femme indépendante qui n'a peur de rien ni de personne. Sur tes gardes avec les hommes, tu n'es pas du genre à faire de cadeau. Dans la vie, tu sais te battre sur tous les fronts. Une guerrière, tu n'hésite pas à attaquer quand il le faut. Tu ne veux pas être une Valentine et tu le revendique. Tu en a assez de ce matraquage médiatique, de l'utilisation de cette date à des fins commerciales à chaque coin de rue. Tu refuse de jouer le jeu du consommateur amoureux ! L'amour pour toi se manifeste dans les gestes de tous les jours et tu n'attends pas cet instant pour témoigner tes sentiments. Le 14 février est pour toi une date comme toutes les autres pendant laquelle tu vivra ton quotidien sereinement et sans chichi … Et tu l'assume totalement !

Tu es pleine de piquants, pourtant, tu es toute douce et toute sensible sous ton armure. Tu n'as sans doute pas été assez protégée et tu en as besoin, tu as peur d'être écrasée. Tu serais heureuse si tu voulais bien admettre que le monde n'est pas si dure, tu deviendras grande quand tu baissera ta garde et quand tu feras d'avantage confiance aux gens qui te veulent du bien. Tous ne sont pas des prédateurs. Un jour tu seras pleinement heureuse, en attendant, tu te défends comme tu le peux. Tu es du genre tonique, un côté naturel très rafraîchissant. Mais tu ne dévoile jamais tes charmes au premier venu. Tu te mérite. Et puis de toute façon, de quel charme parle-t-on ? Il faut savoir te découvrir e t'aborder. Tu peux impressionner parce qu'on ne sait pas toujours comment tu vas réagir. Tu as de la personnalité et contre toute attente, tu es attirante bien que tu revendique le contraire. Audacieuse, tu as tendance à être casse-cou et étonne fréquemment par ton intrépidité. Écouter plus souvent les mise en garde de ton entourage t'éviterais cependant quelques déconvenues ! On ne t'utilise pas pour te jeter ensuite sans en payer les frais. Si on te pense douce, les gens se trompent et s'en rendent vite compte. Tu te venge sans hésitation et tu ne viendra pas t'en excuser ensuite car aucun regret ne viendra ronger ton esprit.les autres aiment ton audace et ton goût pour l'aventure. Ce qu'on apprécie chez toi, c'est qu'on peut compter sur toi en toute occasion. Tu déteste décevoir et honore toujours tes promesses. Pleine d'énergie, tu ne renonce jamais, tu vas toujours de l'avant. D'ailleurs, certains se laissent porter pas ton côté sûre de toi quoiqu'il advienne. Les jours se suivent sans se ressembler, le quotidien t'ennuie, tu as un don inné pour te démarquer et mettre de la fantaisie dans ta vie. Tu aime le mystère et dissimule ce que tu n'a pas envie de montrer. La jeune personne que tu es, as des atouts de caméléon, tu as de réelles capacités d'adaptation. Un bonus dans notre société en perpétuelle changement.

Tu es telle un phénix, tu renaît toujours de tes cendres. Si tu tombe sept fois, tu te relève huit fois avec la même détermination et la même volonté de vaincre tous les obstacles. Quasiment indestructible, tu encaisse tous les coups, avec humour et impétuosité, et parfois même avec un poil de cynisme. Il est pas encore né celui qui vous fera tomber. Mais au fond, dort un cœur d'or, simplement, tu refuse de te prendre trop au sérieux et tu as besoin de laisser parler ton instinct. Dynamique et combative, tu n'es pas une faible femme qui se laisse faire. Tu as de la répartie, et quand on essaye de te toucher en plein cœur, tu sors les armes. Les griffes d'une tigresse sauvage et indomptable. Tu es une rebelle de la vie. Quand quelque chose ne va pas, tu mets les pieds dans le plat. Certains trouvent que tu es parfois piquante, normal pour une dame de pique ! Tu es une sorte d'extra-terrestre. Tu as une intelligence supérieure à la moyenne, mais tu ne veut pas le montrer. Tu donne parfois l'impression de ne pas avoir les pieds sur Terre. Pas étonnant, tu es reliée à ta planète, qui est à des années lumière de la Terre. Tu n'es pas toujours facile à décrypter. Pourtant, tu fait des efforts pour être à la portée de tes copains terriens … Ou pas en fait ! Tu préfère être seule que mal accompagnée. Telle es ta devise. Tu es pourtant sociable, mais un peu ours mal léché. Tu sais faire des concessions en société, et tu aime bien la compagnie des autres. Quand celle-ci t'apporte quelque chose ! Les gens bêtes, mal intentionnés ne t'intéressent pas, et tu préfère t'en éloigner, quitte à rester seule. Tu n'es pourtant pas une fan de la solitude. Tu ne souhaiterais pas vivre sur une île déserte pendant une éternité, tout simplement parce que ce serait ennuyant. Toutefois, tu apprécie de petits tête à tête avec toi même pour faire ce qu'il te plaît, sans te soucier des autres. Tu apprécie la solitude quand c'est toi qui l'a choisit.

Tu es rebelle dans l'âme, tu ne supporte pas les faux semblant et les mensonges. Il y a toujours des secrets et une petite dose d'hypocrisie. Tu perce l'abcès quand ça fait mal. Tu es le poil à gratter que tout le monde aimerait éviter. Tu mets ton nez là où il ne faut pas et tu te rebelle souvent. Tu ne fais pas toujours preuve de diplomatie, mais tu as le mérite d'être franche. Et quand une question te dérange, tu préfère fuir que de mentir. Les gens te perçoivent comme quelqu'un qui a un sale caractère. Pourtant, tu peux être adorable quand tu le veux. Tu pourrais te réincarner en chat de gouttière. Un chat simple et indépendant, qui mène sa vie comme il l'entend et adore vagabonder. Tout comme ce chat sans abris fixe, tu as gardé ce besoin de liberté et de grands espaces. Tu n'es pas née avec une petite cuillère en or dans la bouche, mais tu es intelligente, rusée et débrouillarde. Cela te donne un certain côté très attachant, un peu roublarde peut être, mais ce genre de charme a déjà fait ses preuves par le passé. Tu es une femme originale, un peu mystérieuse, une ensorceleuse qui as de l'imagination à revendre. Tu crée du sur-mesure pour que tout te convienne. Petite, tu te perdais dans les comptes des mille et une nuits, tu t'imaginais voleuse malicieuse de Bagdad ou impétueuse voyageuse des mers. Tu as la discrétion et l'âme pure d'un héros. Tu t'engage souvent dans un combat perdu d'avance, mais ta soif de vaincre fait s'incliner les rivaux, même les plus coriaces. On peut souvent te voir voler au secours d'animaux en danger. Petite, alors que tu étais encore dans ton pays natale, tu avais sauvé ce bébé singe si petit, qui pourtant se faisait lapider à coup de pierre par ce groupe d'adolescent deux fois plus grand que toi. Vous êtes depuis, devenus inséparable et pour rendre hommage à ton héros, ce singe s'appelle Abu, éternel acolyte d'Aladdin.

Des marionnettes ! Voilà ce que tu pense des gens. Pour cela, tu n'as pas vraiment d'amis. Pourtant, tu ne joue pas les filles à déplorer. Tu joues avec les sentiments des gens, fine manipulatrice et grande observatrice, c'est facile de reconnaître les attirances, et tu joue les mademoiselle Cupidon. Tu opère dans l'ombre, ainsi tu fais face à l'ennuie qui te guette. Peut être ta seule peur avec celle de tomber amoureuse. Le monde est dominé par les sentiments de chacun et tu refuse et tomber dans ce tourbillon infernal, les réveils mielleux et les surnoms débiles. La méfiance est de rigueur, cela pourrait vous jouer des tours un jour. Tu te fais passer pour la fille dure, au cœur de pierre recouvert de glace, pourtant, on te voit souvent perchée dans un arbre à tenter d'aider un chat coincé. Tu aime les animaux et la nature, d'ailleurs tu es végétarienne et tu refuse de faire du mal à un animal.au fond, tu as bon cœur, tu ne veux juste pas l'admettre, et encore moins laisser parler tes sentiments. Tu joues dons les pestes. Toujours  à chercher de nouvelles astuces pour faire tourner le monde en bourrique, tu ne recule pas devant les obstacles qui peuvent  te barrer la route. Au contraire, tu les ignore et les méprise. Rien, ni personne ne peut t'arrêter quand tu es lancée, et jamais tu n'avouera ta défaite. Tu ne supporte pas l'injuste et tu te mêle de ce que tu ne devrait pas. S'immiscer dans la vie des gens, si cela te semble nécessaire, tu n'hésitera pas. Tu es une fonceuse, tu agis avant de réfléchir et quand cela t'arrive, ton image de grande méchante vole en éclat. Mais tu n'attendra pas les merci ou les applaudissements, tu disparaîtra bien avant. Tu préfère rester anonyme. Dans la vie, tu as tendance à te faire des films. Rêveuse, imaginative et un brin angoissée, tu anticipe toutes les situations. Tu te raconte des scénarios improbables, et imagine souvent le pire. Mais la réalité est tout autre ! Tu n'aime vraiment pas la routine et le train train quotidien. Tu voudrais faire de ta vie une histoire qui bouge, qui sort de l'ordinaire. Tu finis par y arriver, petit à petit ta vie ressemble à un véritable roman, un feuilleton à rebondissements ! Ce qui suscite de la curiosité, comme ce chat de gouttière, tu veux toujours aller plus loin, en découvrir d'avantage. »


→ Mets tes lunettes et lis nous tout ←
Le temps passe, les choses changent, les gens nous font sourire et nous déçoivent, parfois on continue sans y prêter attention, mais au fond, on oublie rien, on sourit en disant que tout va bien...
Douillettement recroquevillée sur toi-même, c’était là ta position favorite. Heureuse de vivre aussi détendue, aussi calme. Ton corps entier était au repos, tu semblais si légère, comme une plume, comme un soupire, comme inexistante. Cette impression de flotter. Aucune drogue, ni aucun remède t’avait aidée à atteindre cette plénitude, à être bien dans ta peau. Prise de ce bonheur un peu égoïste que tu ne voudrais partager pour rien au monde. Sauf que tout changea, lorsqu’en plein sommeil, des douleurs atroces vinrent te saisir, te réveillant. Te sentant serrée dans un étau, te vissant de plus en plus, tu étais écrasée par le poids de cette fatalité qui te tombait dessus. Ce mal qui fonçait sur toi, pourquoi toi et pas un autre. Une punition ou peut être un maléfice t'était infligé. Écartelée, brisée, souhaitant presque de mourir pour cela cesse enfin de te torturer. Une douleur telle que tu t’y abandonna, incapable d’y résister. Ce flot te submergeait, ce courant t’entraînait loin de tous rivages que tu aurais put connaître. Tout force t’avait abandonnée, comme si un carcan te maintenait emprisonnée, ne pouvant ni bouger les pieds, ni bouger la tête et tout ce qui s’y trouvait en intermédiaire. L’inconnu t’attirait, t’effrayait. L’impression d’entendre une musique venue des abîmes, faiblissant encore, le néant t’attirait à lui. Un certain sentiment de solitude vint te cueillir. Tu surmontais cette épreuve seule, terriblement seule, fatalement seule. Aucune aide ! Sans avoir la possibilité de faire marche arrière, c’est en solitaire que tu dus franchir le passage. Ton cœur battant à toute vitesse dans tes tempes, traversé d’ondes douloureuses. C’était la fin. Voûtée, tes épaules s’effondraient sur elle-même, ayant l’impossibilité de gesticuler afin de te sortir de ce mauvais pas. Te croyant arrivée au bout, la douleur s’intensifia encore, si forte, te déchirant une dernière fois. Puis une intense lumière t’aveugla. Le feu embrasa tes petits poumons. Et tu crias pour la première fois !

« C’est une fille ! 
-Infirmière, infirmière, il y a un problème avec mon bébé, ce n'est pas le mien !
-Madame, bien sur, si, regardez le bracelet, c'est bien la votre.
-Mais regardez ses yeux ?
-Madame, le docteur va venir vous expliquer la situation, mais vous tenez bien votre fille, et pour ses yeux, c'est sur, on ne s'est pas trompé !»

Ta mère, seule dans sa chambre, te tenant dans ses bras tout tremblant. Elle avait peur, oui peur de ce que devait lui expliquer le médecin. L'infirmière t'avait laissée là dans ses bras, sans donner plus d'explication avant de tourner les talons et de sortir de la pièce. Alors cette jeune maman, ta maman, attendit la venue du médecin, sagement, tranquillement, mais surtout très angoissée, si elle avait put se lever et faire les 100 pas, elle l'aurait fait, mais avec une perfusion et un nouveau dans les bras, avec la fatigue pas encore tout a fait récupérée du travail de l'accouchement il y a maintenant trois jours, cette jeune dame n'était pas sur de réussir à tenir longtemps. Donc dans ce lit d'hôpital, attendant le docteur, et aussi son mari, ton père, cette femme attendait, et la patience lui manquait quand tu te mis à pleurer. Elle bipa sur le bouton d'alarme pour appeler une infirmière. Elle attendit, et attendit encore, l'infirmière ne revenait pas. Attrapant la sonnette, elle appuya une seconde fois juste quand le docteur franchissait la porte accompagné de l'époux. Ton jeune père semblait triste et désappointé.  Que savait-il que ta mère ne savait pas encore. Le médecin aussi semblait perdu, il devait annoncer une mauvaise nouvelle sur ta santé, mais ne savait pas par où commencer avec la demoiselle qu'il sentait sur les nerfs à force d'avoir tant attendu seule dans cette chambre blanche. Un air décontenancé, un dossier à la main, le médecin se racla la gorge, l'ambiance pesante de la pièce laisser comprendre que ce qu'il avait à dire n'était pas facile et qu'il n'avais pas forcément l'habitude de faire ce genre d'annonce à de jeunes parents. Mais il devait se lancer, ta mère commençait à bouillir et allait bientôt lui faire comprendre. L'infirmière entra à son tour avec le formulaire pour entrer le prénom de l'enfant.

« Madame Suresh, Monsieur, votre enfant se porte très bien, mais je dois tout de même vous faire savoir qu'il y a des chances que ce bébé soit aveugle ou le devienne durant son enfance. »
Quel idiot ce docteur, si il te connaissait aujourd'hui, il aurait le droit de s'en vouloir, et toi de lui en faire voir de toutes les couleurs. Les années ont passé, mais ta vue n'a pas baissée, mais si il avait su que ta grand portait les mêmes yeux bleus intense, il n'aurait pas fait cette erreur. Mais comment savoir, ta mère était un bébé né sous X. mais Layali. Ce très joli prénom, une fois inscrit sur la fiche, l'infirmière chargée des documents le réécrivit d'un trait lisible sur un petit bracelet qu'elle posa ensuite sur ta cheville de bébé nouveau né. Et l'infirmière s’éclipsa de nouveau, laissant à tes parents un moment d'intimité avec ta très jeune personne.  

Cette femme, ta maman, elle porte un nouvel enfant. Un petit frère ou une petite soeur. Tu adore poser ton oreille sur son ventre et lui parler à ce bébé. Tu souhaite le rencontrer, tu lui demande de sortir au plus vite. Tu caresse tout le temps le ventre de la dame ta mère. Tu te bats avec ton père pour en avoir l'exclusivité. Vous êtes tous les deux fous de cette situation. Mais il te laisse bien souvent gagner, car tu n'as encore que deux ans. Tes yeux si bleus, si émerveillés par la vie, si brillant. Dès qu'ils te regardent, dès qu'ils tombent sur ce regard, il repense à ce que leur a dit le médecin. Tu seras aveugle un jour, peut être. Mais il se trompe, car tu vas te battre. Tu es bien plus forte que ça. Tes yeux sont un don et non une malédiction. Trop tard, le sort en est jeté. Tu lui parle toujours plus, tu ne parle pas depuis si longtemps pourtant c'est comme si tu avais toujours parlé. Tu es une telle bavarde avec ce bébé à venir. Tu veux être la grande soeur idéale pour lui, pour elle. Tu l'aime déjà, tu veux l'aimer plus. Tu demande toujours si c'est pour bientôt, cette maman qui voit son ventre gonfler vous fait le décompte. Tous les jours le chiffre change. Tous les jours, ton impatience monte. C'est pour bientôt. Mais bientôt ce n'est pas assez tôt.

Deux ans et demi, tu es là devant un orphelinat, tenant la mère de cette dame qui est encore ta mère. Les deux premières années de ta vie ne sont pas très intéressantes. Une succession de rendez-vous chez des spécialistes pour vos yeux, tous sous le charme de ce bleus si pure, mais tous aussi suspicieux, sauf un. Le seul qui avait raison au final. Enfin durant ces années, tu n'as pas eu la vie la plus passionnante du monde. Et l'année de ton quatrième anniversaire ne va pas tout arranger. Cette année là, ton père est mort dans un accident de voiture. Un conducteur ivre ne l'a pas vu venir et roulant trop vite n'a pas eu le temps d'appuyer sur la pédale de frein. Le plus injuste, c'est que ce conducteur s'en est sorti avec presque rien quand ton père y a laissé la vie.

« Ho arrêtez de me juger avec vos grands aires, je sais bien que vous pensez que je suis une mère horrible, mais les médecins l'ont dit, elle est condamnée à devenir aveugle si ce n'est pas déjà le cas. Comprenez, je viens de perdre mon mari, je suis incapable de m'occuper d'une enfant aveugle toute seule ! De plus je suis enceinte, je vais bientôt accoucher.
-Mais Madame, avec tout le respect que je vous dois, cette enfant semble voire très bien pour l'instant. Attendez ! Le temps peut faire des miracles, les docteurs peuvent se tromper, cette enfant semble plus forte que vous croyez. Elle a besoin de sa mère, elle aussi vient de perdre son père.
-Ma décision est prise !
-Maman, mamaaaan, ne me laisse pas, je te promets d'être la plus sage, MAAAAAMAAAAAAN, je le promets ! Ne me laisse pas, MAMAN, je t'aime, maman ?! … »
Tu hurlais tout ce que tu pouvait pendant que la dame de l'orphelinat te tenait pour que tu ne te sauve pas, et que ta mère , le cœur déchiré par ces cris, les larmes plein les yeux, ta jeune mère s'en allait loin de toi, son unique fille, unique enfant. Layali par-ci, Layali par-là, tu en a marre de Layali, toujours Layali. C'est plus possible, tu n'aime plus ce prénom que ta donné cette mère que t'a sauvagement abandonnée. Tu ne veux plus de Layali. Tu as maintenant 5 ans et tu es déjà une vraie petite teigne, surtout quand ton prénom et prononcé. Tu hurle, tu cris, tu tape, tu es vilaine, tu es peste. Mais il faut te comprendre, jusque là, la vie n'a pas été tendre avec toi. Tous les jours, la gérante te retrouve posée en bas des marches de l'escalier se dressant face à la porte d'entrée. Ton chat en peluche étouffé entre tes bras, épongeant tes larmes. Tous les jours à cette même place, tu pleure en espérant le retour de ta maman, mais jamais tu n'as revus la couleur de ses yeux, ni même sentis l'odeur de son parfum, ou entendu le son de sa voix. Les jours passent, les mois passent et finalement une année supplémentaire sans nouvelle. Maintenant à 6 ans, ce n'est plus l'espoir mais la colère et tu es encore pire que l'année précédente. Tu te bats pour un oui ou pour un non, tu tape même les surveillants. Surtout les femmes. Il y a juste ce jeune surveillant qui arrive à te calmer, il te rappelle ton papa. D'ailleurs lui il est passé où ? Lui aussi t'a abandonné ? Non lui il est mort, mais à ton âge, tu n'as pas encore compris ce qu'est vraiment la mort, juste qu'il ne reviendra pas non plus. Alors tu t'attache fort à cette peluche qu'il t'a offerte. Tu veux que les gens se trompent, et qu'il vienne te chercher. Mais lui non plus ne revient pas. Tu es cette orpheline aux yeux bleus parmi tant d'autres enfants. La grande nouveauté pour toi, fut ton premier jour d'école. D'ailleurs, la maîtresse est une idiote, elle vous donne du coloriage et vous parle comme a des bébés. C'est peut être bien elle qui t'énerve le plus. Du coup, tu passe pour la rebelle de la classe et tu l'a quitte souvent. Se faire mettre au coin quand tu fais une bêtise, ou plutôt quand tu es plus avancée que ce qu'elle demande, c'est injuste, tu préfère partir.

10 ans ! Tu as perdus des dents, tu en as eu de nouvelles. Tes cheveux ont poussés, ont été coupés, puis ont repoussés. Tu as eu des bleus, tu t'es fait des bosses, des bobos, mais tout ça va mieux. Ce n'est jamais vraiment grand chose. On te pousse, tu tombe au sol et t'écorche le genoux, voilà comment ça se passe généralement. Jusqu'à ce jour, où tu es tombée sur ce groupe d'adolescents. Tu voulais juste tester un raccourcis pour rentrer plus tard à l'orphelinat, et bien sur faire ta tête de mule à ne pas écouter la responsable du groupe en charge de vous ramener, vous les orphelins, dans ce qui est votre maison. Et il y avait ce bébé singe tout seul. Seul face à ce groupe de grands garçons. Seul face à ces cailloux. Ils le lapident sans honte et sans que personne n'intervienne. Tu te mets hors de toi. Tu n'es pas contente du tout. Alors tu te mets entre ce petit singe et ces jeunes hommes, quoi que pour s'en prendre à un singe sans défense, ils ne doivent pas vraiment l'être. Tu les as surpris, car ils ont arrêté avec les pierres. Ils te demandent d'abord gentiment de te pousser, puis tente de t'écarter. Mais tu es motivée pour secourir ce bébé abandonné comme tu l'as été. Alors tu sors ta rage et tu frappe. Là où ça fait mal. Une bagarre s'engage. Tu es plus petite, plus jeune, tu es une fille contre ces trois grands garçons. Mais tu n'as pas peur. Tu te défends bien. Sauf quand l'un t'attrape et te repousse avec violence contre cet établit plein d'outils. Ton bras saigne, mais tu te relève, prête à continuer le combat. Pendant ce temps là, le petit animal en a profité pour se cacher. Alors en te regardant, puis avec le monde qui commence à s’attrouper autour du groupe, les garçons prennent la fuite. Mais toi, tu as vu, tu sais où est parti se cacher le singe. Et tu vas le voir. Il tremble, mais te regarde sans fuir. Tu l'attrape, le rassure et le prend avec toi. L'adrénaline qui retombe, tu commence à avoir mal au bras, oui c'est douloureux, mais ça en valait la peine. Cette blessure laissera une trace, et ce singe deviendra ton plus grand ami, car contre les ordres de la surveillante, tu le ramène avec toi à l'orphelinat. La supérieure te connaissant têtue, te donna l'autorisation pour le garder, elle savait qu'elle aurait perdu, autant ne pas se battre pour une cause perdu d'avance et gagner ainsi du temps.

« Tu es une menteuse !
-Ce n'est pas de ma faute si tu es une idiote.
-je te le ferais regretter, tu vas voir la petite menteuse.
-Mais fait donc, ce n'est pas le haut niveau de ton intelligence qui me fera peur. »
D'une totale indifférence, tu tourne le dos à cette pré-adolescente utilisant tous les noms d'oiseaux comme appellation à ton égard. Vous avez 12 ans, c'est l'entrée au collège. Les hormones commencent alors à bouillir. Cette personne t'accuse de l'avoir dénoncée elle et son groupe de copine pour avoir triché au contrôle de Mathématiques. Oui tu l'as remarqué, mais dénoncer ce n'est pas ton genre. C'est surtout pour toi, une perte de temps, si elles en ont besoin pour réussir, c'est que c'est une imbécile sans avenir. Toi, ton contrôle est parfait, sans avoir eu besoin de tricher d'une quelconque manière. Tu as changé, grandis, enfin pour la taille, pas tant que ça, mais ce n'est pas grave, ce qui est petit est mignon. Enfin tu n'es plus la même qu'avant, bien que tu ais toujours cette part rebelle en toi, tu ne te bats plus pour rien, mais pour tes convictions. Et tu remarque facilement qu'il t'est plus simple de t'attacher à un petit chat qu'à un être humain. D'ailleurs ton meilleur ami s'appelle Abu et c'est un petit singe très souvent perché sur ton épaule. Tu ne te mêle pas au gens, tu ne les aime pas. Mais cette année là, tout va changer. Car si jusque là aucune famille n'a voulu s'intéresser à ton cas, voilà qu'un couple d'âge mûre venu de France a demandé à voir ton dossier avec plus d'intérêt et ils ont aussi demandé à te rencontrer. Ton nouveau nom sera Hilly Wood.

Il pleut, mais le soleil est présent, c'est étrange. Dans cette voiture qui roule, tu regarde le paysage qui défile à travers la vitre arrière. Il y a cet arc-en-ciel. Est-ce un bon ou un mauvais présage ? Abu encore sur ton épaule, il fut difficile de le faire accepter par ta famille d'adoption mais ils ont été compréhensifs quand ils ont entendus l'histoire. Tu avais tellement peu d'affaires qu'une seule valise suffit pour tout emporter. Tu n'es pas très matérialiste, seule la peluche de ton enfance est importante. Tu y es attachée. Avec le petit singe, c'est peut être bien les deux seules choses que tu veux garder à n'importe quel prix. Ton plus gros problème ici, c'est que tu ne parle pas un mot de français. À l'école tu avais commencé à parler l'anglais, mais ça ne te sera pas vraiment utile. Tu apprendras vite. De tes nouveaux « parents » seule la dame parle l'hindi. Elle t'aidera. Elle t'aime bien, mais ce qui te renfrogne c'est qu'elle t'a dit aimer tes yeux. Tu vois toujours si bien, pourtant ta mère biologique n'est pas revenus prendre de tes nouvelles. Et tes yeux sont toujours aussi bleus, tu te regarde dans cette glace. Dans cette salle de bain qui sera la tienne désormais, avec cette grande chambre. Ce n'est pas le plus riche des couples mais ils s'en sortent sans mal. Tu regarde ce lit, ton lit, la première chose que tu fais avec c'est d'y installer ton chat, monsieur moustache !  Tu t'assois au bord, et te laisse tomber en arrière, pour ta première nuit dans ce Pays, tu t'endors doucement sur ce lit, sans y toucher. Tu es censée être leur fille, mais tu ne te sens pas comme leur enfant, cette situation est pour toi étrange. Tu as appris à grandir seule, à te débrouiller. Ce repas que vous partagez à trois, ou quatre si on compte le singe, enfin lui il est à la cuisine avec son nouvel ami le chien, tout est bizarre. Tu regarde l'assiette, tu n'ose pas manger.

16 ans, tu t'es habituée à ta nouvelle vie. Apprendre la français fut plus facile que tu le redoutais. Le lycée c'est intéressant, les jeunes cherchent tous à être différents tout en étant identique. Il y a ses filles, toutes si belles, si maquillées, si pompeuses, et ses gars, si beaux, si musclés, si fières. Les gens forment des groupes, les populaires, souvent issus de familles riches, les intellos, grosses têtes de la classe, les anarchistes, les rebelles toujours en colle. Pour ne pas trop apporter de problème à ta famille d'adoption, tu tente de te tenir correctement, mais parfois on te cherche trop, et tu n'aime toujours pas mentir. Alors quand ce gars t'a attaqué pour te faire manger de la viande tu n'as pas put laisser passer. Tu es végétarienne et bien qu'on te trouve toujours bizarre, les gars tente parfois de te draguer mais même les plus intéressant se frottent à un mur sans faille. Du coup l'adolescent se croyant populaire et cool, poussé par son groupe d'imbéciles, il a joué les cons. Tout ça, fini en bataille de nourriture. Vous avez été collés tous les deux, et au lieu de vous garder dans une salle et de vous faire copier bêtement des lignes, on vous a donné pour mission de nettoyer le self, même les chewing-gum sous les tables. Vous êtes là, seuls, et il semble moins con sans sa bande d'amis. Tous les deux dans cette sale, à nettoyer, vous deviendriez presque amis. Après ces heures passées ensemble, vous vous êtes donné des rendez-vous. Enfin lui t'en a donné et tu as accepté pour voir qui il est vraiment. Il est curieux, avec ses potes, couillons et avec toi différent, tu le trouverais presque vraiment cool. Sous ses aires de petit con, c'est une tête en math, et en plus il adore ça autant que vous. Il te trouve étrange, mais quelque chose en toi est attirant apparemment. Est-ce vrai ? Ouais, la bonne méthode pour attraper la fille et la mettre dans son lit. Mais tu as joué le jeu.

Spoiler:

« on s'est connue voici fort peu de temps
tes yeux semblaient si implorant
de nos deux tristesses, un bonheur est né
car j'ai compris que j'allais t'aimer
je ris en pensant à ceux qu'étais nos jeux
ensoleillant les jours pluvieux
la cheminée nous donnait chaud
comment oublier des jours si beaux ?
Pourquoi faut-il se quitter ?
Alors qu'on s'est aimé ?
Mais dans mon cœur où tu étais
tu resteras à tout jamais »


C'est la fin du lycée et tu t'en vas. Ces deux dernières années, vous les avez passé à vous voir régulièrement, sans pour autant penser qu'il s'était attaché à toi. Il était le même avec ses potes, d'ailleurs comme tu l'avais prédit, il s'était beaucoup vanté de son aventure. Par la suite beaucoup de mecs sont venus tenter leur chance, tour à tour. Ce fut chiant. Mais si tu es retourner dans ses bras, c'est bien parce que c'était quand même agréable. Sur la fin, pendant les révisions du bac, il était plus doux, gentil, même en la présence de son groupe d'amis. De là à vous écrire ce poème, tu n'y croyais pas. Une autre blague. Écrit sur une serviette, il te l'a donné au réfectoire. Les rires ont fusé. Tu as prit ton gâteau, le dessert du jour et tu lui as mit dans la figure. Couvert de crème, il a tenté de te suivre. Mais tu es rapide. Ce n'est pas le fait qu'on se moque de toi parce qu'il t'a écrit ce poème qui t'énerve, mais le fait qu'il puisse tenter de se moquer de toi en te pensant idiote et facilement accessible. Ce soir là, à la maison, un colis t'attendait. Portant ton premier prénom. Il contient les bijoux de ta mère et une enveloppe. Tu ne l'ouvre pas, mais tu garde le tout précieusement dans une petite boite. Tu l'as met de côté avec tes affaires. Tu vas quitter cette maison.

19 ans, tu viens de les avoir, voilà un an que tu cherches une place dans la société. Enchaînant les petits boulot pour payer ton appartement. Tu vis désormais à Paris, à 1h de chez tes parents, tu n'aurais jamais pensé les appeler papa et maman, pourtant tu le fais. Mais bien qu'ils aient proposé de t'aider, tu refuse toujours, tu ne veux pas profiter d'eux, ils ont déjà tant fait. Tu veux trouver toute seule comment payer tes études. Tu as juste dis oui, pour une petite sommes, celle qui t'aide pour ton appartement. Ils ne voulaient pas te voir vivre dans un lugubre studio de 9 mètres carrés. Alors oui, tu as un appartement bien sympathique. Maintenant tu es barmaid, et ça te plaît bien comme travail. Et Abu dans tout ça ? Il te suit toujours partout, il sait ouvrir un paquet de croquette et remplir les gamelles, il t'arrive souvent de ramener un chat perdu ou blessé.


I.R.L
pseudo: Je ne sais plus ce que j'avais mit la première fois
age: je n'ai pas fêté mon aniversaire
sexe: toujours le même, ça n'a pas changé
découverte du forum: DC
autre: Je vous aime?!
ALTER EGO
sexe
- femme -
tranche d'âge
15 - 20
nature du changement de caractère
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Acceptes-tu une histoire "trash" ?
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MessageSujet: Re: Les mots sont des mots inventés à l'origine! Les mots sont des mots inventés à l'origine! Icon_minitimeLun 4 Aoû - 11:31
BIENVENUE PARMI NOUS PETITE RÊVEUSEMa thylou. Comme tu le sais, j'étais en stress pour ton AE. Impossible de choisir entre deux personnages très différents. Bref, le bordel dans ma tête, tout ça pour être à la hauteur de ton superbe personnage ;w;
Dukoup, tant pis, j'ai choisis les yeux fermés, j'espère qu'il te plaira ♥ ~

Rome ▬

age: 19 ans
sexe: Masculin. Ou féminin. Zut, c'est compliqué.
orientation sexuelle: Là aussi, c'est perturbant. Il/elle aime les hommes. Mais doit on le/la qualifiée d'héterosexuel ou d'homosexuel ?
situation financière: Vit dans les quartiers moyens. Mannequin pour les dessins de propagandes de la Reine.

signe particulier: C'est une femme. Dans le corps d'un homme. Ce n'est pas une histoire de " je me sens pas bien dans ma peau, dans mon corps ". Non. C'était une vraie petite fille avant, elle en ait sûre !

Traits de caractère: Agit comme si elle était dans un corps de femme. Jalouse. Possessive. Rigolote. Souriante, vous savez, ce sourire charmeur qu'ont parfois les filles, celui qui semble éclairer le monde par sa bonne humeur. Le problème, c'est que dans un corps de mec, ça peut paraître étrange. Inaproprié. Bavarde, elle aime parler lingerie. Là aussi, ça peut sembler assez inaproprié, pour ne pas dire pervers. Des beaux mecs qu'elle peut croiser aussi.

autres informations: Il/elle est très maniéré(e). Très douée en maquillage - ou camouflage, comme vous préferez l'appeler.

avatars possibles: Mishakuji Yukari ( K Project ) / Makishima Shougo ( PSYCHO-PASS )

/!\ Si l'avatar choisit ne correspond pas à la description, le staff à le droit de demander au membre de le changer, s'inscrire à Irréel c'est savoir ce qui nous attend, à savoir un personnage quasi "imposé". Mais comme on est des gentils (*auto-lancé de fleurs*), si vous avez une quelconque réclamation par rapport à votre Alter-Ego vous pouvez la faire par MP au membre du staff qui vous a validé !


Maintenant que tout est dit, tu peux enfin vagabonder comme bon te semble dans les plaines verdoyantes d'Irréel. Mais avant tout, laisse moi te donner quelques petites indications. Je te conseilles d'aller recenser tes avatars avant ton départ, et pour être bien préparé de ne pas oublier de t'afficher avec ton Alter-Ego dans ta signature. Si tu veux on a préparé un petit codage par ici pour qu'on voit bien de qui il s'agit ! Ensuite tu pourras enfin partir pour l'aventure ! Les premières étapes conseillées sont simple, se faire des amis et ennemis par , créer ton obligatoire cahier de suivi pour Alter-Ego et si tu le souhaites, chercher un compagnon de route pour un instant dans les demandes RP. Pour ce qui est du reste, c'est à toi de tout découvrir !


UN PEU DE DÉCORATION

Ta chambre, elle ressemble à une chambre de jeune femme. Mais avec des habits d'hommes dans la penderie. Bon, d'accord, quelques habits de femmes aussi. Tu sais, ceux que tu mets le soir quand tu es seule pour te sentir à nouveau toi. Même si ce corps masculin t'énerve. Tu fais pourtant des efforts. Tu mets des chemises et pas des robes. Mais dans ta chambre, tu te lâches un peu plus. Le dessin d'un beau jeune homme sur un mur, une petite touche de senteur printanière dans l'air. Une coiffeuse où tu passes du temps à coiffer tes cheveux encadrant ce visage que tu essaies parfois de rendre plus féminin grâce à du maquillage.
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Hilly L. W. | Rome
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MessageSujet: Re: Les mots sont des mots inventés à l'origine! Les mots sont des mots inventés à l'origine! Icon_minitimeLun 4 Aoû - 12:03
C'est magnifique Ma Maxou d'amour
j'espère surtout que j'en serais à la hauteur, ça va être une première sur Irréel
*trop fière* /pan/

je vais garder les cheveux blancs XD
ça fera un raccord entre les deux lol
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Maxime W. | Swatch
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MessageSujet: Re: Les mots sont des mots inventés à l'origine! Les mots sont des mots inventés à l'origine! Icon_minitimeLun 4 Aoû - 12:40
J'en suis sûre que tu seras à la hauteur 8D ♥
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MessageSujet: Re: Les mots sont des mots inventés à l'origine! Les mots sont des mots inventés à l'origine! Icon_minitime
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Les mots sont des mots inventés à l'origine!

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